Barricade

combats qui opposent les parisiens aux troupes royales. 2) Décrire et expliquer l'oeuvre Que voit-on ? C'est une image de combat dans une «nuée lumineuse». Une foule converge vers le spectateur brandissant des armes. Elle franchit les barricades. A sa tête, quatre personnages debout, au centre une femme. C'est une représentation de «La Liberté» (allégorie). A leurs pieds gisent des soldats. Comment sont organisés les éléments de l'oeuvre ? L'action s'élève en pyramide selon deux

techniques : • • • Peinture à l’huile sur toile Toile de grande dimension (260 x 325 cm) : A nécessité la couture de 3 lés d’une grosse toile et les coutures sont restées visibles A faire repérer : la signature du peintre située à droite sur une barricade En interrogeant sur les usages : • Usage politique pour valoriser le peuple français En interrogeant sur les significations : • • • Delacroix, considéré comme le chef de file du mouvement romantique, était passionné de liberté : il a voulu

le peuple a pour sujet un fait d'actualité : les journees revolutionnaire du 27 28 29 juillet 1830 appelees TROIS GLORIEUSE auxquelles Delacroix a participe. Delacroix a realise cette peinture en quelque mois seulement. Le tableau represent une barricade lors de la journee d 'emeute du 28 juillet 1830. C'est sans doute l'un des tableaux le plus celebres de ce peintre romantique. LES PERSONNAGES La liberte : Une femme au bonnet phrygien brandissant le drapeau tricolore et un fusil semble mener

découle des études faites pour les œuvres philhellénistes et d’une recherche nouvelle de détails et d’attitudes. C’est l’assaut final. La foule converge vers le spectateur, dans un nuage de poussière, brandissant des armes. Elle franchit les barricades et éclate dans le camp adverse. A sa tête, quatre personnages debout, au centre une femme. Déesse mythique, elle les mène à la Liberté. A leurs pieds gisent des soldats. L’action s’élève en pyramide, selon deux plans : figures horizontales à

et l'Irlande du Sud, indépendante depuis 1937. Le massacre a eu lieu pendant une manifestation pacifiste pour le droit civil qui allait en direction de Guildhall mais en raison de barricades faites par l'armée elle fut dirigés vers Free Derry Corner. L'émeuthe commança car un groupe de personnes attaquèrent la barricade a coups de pierres. L'armée Britannique utilisèrent des canons à eau, des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc pour disperser les émeutiers. Cet événement a provoqué plus

fraternelle : un ensemble de frères, illusion idéaliste. L’apothéose du 4 mai : le vote du 23 avril élit une Assemblée nationale constituante dont la grande majorité est favorable au régime nouveau. Proclamation de la République improvisée par les barricades de février. 4°) Réparer les injustices : faire régner le droit, réaliser les principes (égalité, liberté, fraternité). Le droit de vote donne une dignité politique égale à l’homme du peuple et du bourgeois. La tentative d’arracher l’ouvrier de

d’un libéralisme inégalitaire ? Cette monarchie qui s’appuie sur ce libéralisme inégalitaire a pour enjeu de contenir la poussée démocratique et la contestation ouvrière des années 1830-1840. I. La révolution de juillet 1830 ou la victoire des barricades A. Les trois glorieuses : 27, 28 et 29 juillet 1830 Nous sommes pendant la période des ordonnances de Saint Clou, soit le bras de fer entre les libéraux et Charles X, ainsi le 27 Juillet 1830 est la première journée d’émeute qui va aboutir à la

Thème 2: la France dans l’Europe des nationalités: politique et société, 1848-1871.Chapitre 1: la difficile entrée dans l’âge démocratique: la deuxième République et le Second Empire.Mise en perspective: depuis 1789, la France cherche un régime stable. Pas de franc succès, instabilité politique changement de régime fréquent: . monarchie constitutionnelle : 2 ans .1ère république: officiellement 12 ans, mais avec de nombreux changements: période de la Terreur, Directoire, Consulat… . empire: 10 ans

se rassemblent place du Panthéon, puis se rendent à la Madeleine où ils se mêlent aux ouvriers. Les manifestants se dirigent ensuite vers la Chambre des Députés aux cris de « Vive la Réforme ! à bas Guizot ! ». Quelques rixes et des ébauches de barricades pendant le reste de la journée. Dans l’ensemble, les forces de l’ordre contrôlent la situation. L’occupation militaire de Paris a été décrétée. La garde nationale parisienne, 40 000 hommes, a été dans les premières années de la Monarchie de Juillet

dispa­raissait, repa­raissait, se sauvait, revenait, ripostait à la mitraille par des pieds de nez, et cependant pillait les cartouches, vidait les gibernes [1] et remplissait son panier. Les insurgés, haletant d’anxiété, le suivaient des yeux. La barricade tremblait ; lui, il chantait. Ce n’était pas un enfant, ce n’était pas un homme ; c’était un étrange gamin fée. On eût dit le nain invul­nérable de la mêlée. Les balles couraient après lui, il était plus leste qu’elles. Il jouait on ne sait quel