Barricade

d'étudiants occupent la cour de la Sorbonne le lendemain : ils en sont chassés par les CRS qui procèdent à des arrestations. Le mot d'ordre "Libérez nos camarades" mobilise des dizaines de milliers d'entre eux toute la semaine suivante jusqu'aux barricades du 10 mai qui donnent lieu à une répression policière sauvage. Face à la colère qui s'empare de la grande majorité de la population et particulièrement de la classe ouvrière, les centrales syndicales appellent à des manifestations pour le 13 mai

victoire") Théophile de La Tour d'Auvergne (premier grenadier de France, commandant de la Colonne infernale en 1793, enterré sans son coeur) Jean-Baptiste Baudin (député qui défendait une barricade en 1851 avec des ouvriers ; quand ceux-ci lui reprochèrent de gagner trop d'argent, Baudin se dressa sur la barricade en disant avant de tomber sous les balles ennemies : "vous allez voir, Messieurs, comme on meurt pour 25 francs par jour") François Marceau (génaral de l'armée de Sambre-et-Meuse, tiers de

2. où se déroule la scène ? Qu’est ce que ce lieu symbolise ? L’Hôtel de ville : symbolise le nouveau pouvoir 3. Relevez tous les éléments de l’image qui évoquent l’insurrection qui a eu lieu la veille ? des pavés, des chariots évoquant les barricades, des cadavres. 4. A quelles catégories sociales appartiennent les insurgés représentés sur la gauche ? des ouvriers : blouses , panatalons 5. Que représentent pour eux le drapeau rouge ? (voir texte ci-dessous) « c’est celui du peuple, c’est

bleu, une chemise blanche, et une ceinture rouge, qui se relève à la vue de la femme. En dessous de lui un homme mort dépouillé de son pantalon. En bas à droite un homme mort lui aussi, habillé comme un bonapartiste. Au sol beaucoup de morceau de barricades, des pavés, des armes... Sur ce tableau on voit 3 plans mais qui sont verticales, le premier plan serai le centre du tableau avec la femme, l' enfant et les corps qui gisent au sol, le second plan le coté gauche du tableau avec la foule d' hommes

alors un mécanisme de véritable guerre civile. Le 6 mai, l’agitation reprend face à la fermeture de la Sorbonne et à la comparution de DCB. Des milliers d’étudiant investissent le boulevard St Michel, puis St germain et l’on construits quelques barricades symboliques. Le soir, un immense cortège composé d’étudiants, mais aussi d’enseignants, remonte le boulevard Raspail où de véritables batailles de rue feront plus de 600 blessés des 2 côtés, et des centaines de nvelles arrestations. Les étudiants

journées révolutionnaires du 27, on passe du refus de l'obéissance à une résistance active avec l'érection de barricade. Le préfet de police a envoyé des agents démonter des presses. Ils ne sont pas très bien reçu. Dans l'après – midi, les étudiants vont ériger les barricades, et les premiers coups de feu sont tirés. Le 28 est une véritable journée révolutionnaire : le peuple s'arme, les barricades se multiplient et on assiste aux premières fraternisation de la troupe avec les insurgés. Les insurgés sont

menacé. Finalement, incapable de voir Marius malheureux, elle n'hésitera pas, après l'avoir attiré puis suivi jusqu'à une barricade de l’insurrection du 5 juin 1832, à s'interposer entre lui et le soldat qui le visait pour mourir à sa place. Elle sera ainsi le premier instrument du bonheur de Marius en lui remettant la lettre de Cosette avant d'expirer sur la barricade de la rue de la Chanvrerie où Hugo a situé l'action (aujourd'hui rue Rambuteau, près du Forum des Halles).

l’opposition libérale dont la suspension périodique de la liberté de la presse. Le peuple se lève pour contester ces réformes radicales. Le peinture est datée d’un jour cruciale : la prise de l'hôtel de ville par les émeutiers. Ce tableau représente une barricade type de ces journées révolutionnaires. Des personnes de groupes sociaux divers sont représentés sur cette peinture. La meneuse de cette vague est une femme à moitié dénudée portant un drapeau tricolore dans une main, une baïonnette dans l’autre et

conteur de Hugo en racontant avec habileté course-poursuites, guet-apens, intrigues et complots.   Le tome 4 se déroule principalement en 1832 lors de l’insurrection républicaine du mois de juin 1832. Tous les destins du roman vont converger vers les barricades de l’insurrection, Hugo lui-même ayant une âme révolutionnaire. On retrouve donc Jean Valjean et Cosette qui continue son histoire d’amour avec Marius. On découvre le personnage d’Eponine, amoureuse sans réussite de Marius. On retrouve le personnage

juillet 1830 Les 3 glorieuses sont une insurrection populaire qui durent 3 jours, en 1830. Le peuple de paris (ouvriers et bourgeois) se révolte au nom de la liberté contre la l’armée de Charles X. Les combats de rues sont très violents, avec des barricades. Cause des révoltes  Charles X signe des ordonnances qui suspendent les libertés de la presse et réduisent la souveraineté nationale (suffrage censitaire renforcé).Certain peintre romantique, c’est à dire qui a un rapport avec la mort, les sentiments