Basilique

l'une des particularité de la capitale est la présence d'une seconde citée, celle du Vatican. La place incontournable du tourisme religieux reste l'une des attractions principales de la ville, avec de nombreuses visites à faire comme celle de la Basilique Saint Pierre ou encore de la Chapelle Sixtine, symbole du faste passé de l'Église catholique. Rome reste aussi l'une des capitales de l'art baroque avec ses églises, palais et autres « piazzas ». Madrid, quant à elle, mise sur ses musées ou encore

jaloux, n’hésite pas à interrompre son travail pour la rejoindre. o En 1513 le pape meurt. Sous son successeur Léon X — un Médicis — Raphaël voit croître ses responsabilités et son influence. En 1514, le pape lui confie le chantier de la basilique Saint-Pierre après la mort de Bramante et les fouilles d’antiquités à Rome. Cette dernière période de sa vie est caractérisée par une intense activité, qui, avec la malaria et les multiples crises de fièvre, aura raison de sa santé déjà fragile.

qui est donc la suite de la phrase commencée au vers 1, l'expression "jugement commun" signifie l'opinion partagée par un groupe de personnes, un énnoncé tenu pour vrai. Dans le second hémistiche, "le siège de Pierre" est une ? qui signifie la basilique Saint Pierre, située dans la cité du Vatican. v.3 : Au vers 3, l'emploi du pronom indéfini "on" confirme que la majorité des habitants de Rome considèrent le Vatican comme un "Paradis en Terre", c'est à dire un séjour de bonheur parfait sur Terre

capitale de l'Église. 1. Jules II, pape de 1503 à 1513, est le premier commanditaire de monuments. Il nomme Bramante (1444 - 1514) architecte de tous les édifices pontificaux. Le projet le plus ambitieux de Jules II est la reconstruction de la basilique Saint-Pierre de Rome, qui abrite la tombe de saint Pierre et dans laquelle le pape souhaite installer son propre tombeau. Le projet est confié à Bramante, qui conçoit une gigantesque église à plan central en croix grecque (dont tous les bras ont

architectes d’en appliquer les principes à leurs constructions. On assiste donc à un retour aux éléments de l’art antique : colonnes de supports, festons décoratifs, encadrements des fenêtres,… Le monument le plus grandiose de la Renaissance est la basilique Saint-pierre à Rome dont Michel-Ange redessina et construisit l’immense dôme. La sculpture : On découvre la beauté de corps humain. On sculpte des nus gracieux et musclé comme par exemple : le David de Michel-Ange. La peinture : Comme en sculpture

Piombo Le Martyre de sainte Agathe  Rosso Fiorentino Moïse défendant les filles de Jethro Galerie des Offices à Florence . Clément VII enrichit la bibliothèque vaticane, poursuit la construction de la basilique Saint-Pierre et il fait terminer les travaux de la cour de San Damaso et de la villa Madama. Il charge Michel-Ange de représenter le Jugement dernier dans la chapelle Sixtine, travaux qu'il suit personnellement. Il commente et fait publier toutes

et donne naissance au style baroque - dont témoigne encore son centre historique, classé par l'UNESCO comme site du patrimoine mondial4. Des artistes comme Michel-Ange, Raphaël ou Le Bernin s'y installent et produisent des œuvres telles que la Basilique Saint-Pierre, la Chapelle Sixtine ou les Chambres de Raphaël. Au XIXe siècle, Rome est le symbole de l'unité italienne et devient la capitale du Royaume d'Italie, puis de la République à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ville globale, Rome

On ignore toutefois quel était l’aspect de ce premier tombeau impérial. C’est trois siècles et demi plus tard que la réalisation d’un nouveau tombeau donne le coup d’envoi à la réorganisation sous saint Louis du nouveau transept et du chœur de la basilique Saint-Denis en lieu mémoriel de la royauté. Lorsque l’abbé Eudes Clément (1229-1245) partit pour Rouen en 1245, le tombeau de Charles II le Chauve était achevé. Il s’agissait d'un gisant sur dalle en bronze porté par des colonnettes. L'empereur

dignitaires de l’État et de la cour. Mais Léon III ne suit pas le rite dans cet ordre. Il le fait dans le but de se donner le premier rôle. [...] [...] Ce serment fut dit par Léon III le 23 décembre 800, lors d’une réunion présidée par Charlemagne à la basilique Saint-Pierre de Rome. Léon III gravit l’ambon (ligne 14 du texte c’est-à-dire une tribune élevée dans le chœur ou à la séparation de la nef et du chœur et il se disculpa par serment (ligne 16 du texte B). Suite au rétablissement du pape, les chefs

remplois dans ce monument. Cette pratique n'est par ailleurs en rien exceptionnelle à l'époque, puisque de nombreux monuments élevés sous le règne de Constantin font aussi largement appel à des remplois : c'est le cas par exemple de la première basilique Saint-Pierre de Rome ou encore de nombreux monuments de la nouvelle capitale impériale, Constantinople.