Bâton lumineux

F = 10 cm) La distance focale de la lentille divergente doit être différente de la convergente. 5. Quel est l’angle critique pour un rayon lumineux passant de l’eau à l’air ? Indice de réfraction de l’eau : 1,33 Indice de réfraction de l’air : 1,0003 6. Vrai ou faux a. L’eau est plus réfringente que l’air. b. Quand un rayon lumineux pénètre dans un milieu plus réfringent, il se rapproche de la normale. c. L’image formée par un objet placé devant un miroir convexe est toujours

7 Dioptres plans. 7.1 Image d’un point lumineux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.2 Formules du dioptre plan dans l’approximation stigmatique. 8 ` Lames a faces parall` les. e 8.1 Marche d’un rayon lumineux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8.2 D´ placement lat´ ral dans le cas n1 e e n3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8.3 Image (approch´ e) d’un point lumineux (n1 e n3). . . . . . . . . . . . . . . .

nous permet de déterminer comment un rayon lumineux va se comparé lorsqu’il passe d’un milieu transparent à un autre. C’est-à-dire plus l’indice de réfraction du deuxième milieu est grand plus le rayon réfracté se rapprochera de la droite normale. Inversement plus l’indice de réfraction du second milieu est bas, plus le rayon réfracté s’éloignera de la normale. La réfringence d'un milieu transparent se définit comme sa tendance à dévier les rayons lumineux. Il s'agit donc d'une propriété caractéristique

Un mode de propagation correspond à un rayon lumineux possédant une inclinaison  donnée (angle d’incidence donné). (1pt)  Exercic ce : (12 po oints)  La propagation d’u un rayon lum mineux à l’a aide d’une fibre optique à saut d’in ndice peut être  schématisée par la figure ci‐de essous :  1‐ C Calculer la v vitesse de la a lumière d ans le cœur r.    v v = c/n1 (0.75pt)  A AN v = 3 108/1.85 = 1,6 0 62 108 ms‐1 (0.25pt)  st guidé par 2‐ Montrer qu ue le rayon lumineux es r réflexion t totale dans 

« ? » est aligné avec A et B ′ . B′ A Le trajet solution est « A - C- B », où C est le point d’intersection du miroir et de (AB ′ ). Des propriétés élémentaires des angles permettent alors d’affirmer que les angles que forment les rayons lumineux avec la normale au miroir sont égaux. B miroir C B′ 2. Point de vue analytique En reprenant les notations utilisées pour la réfraction, et en notant d(x) la longueur du trajet en passant par le point C (point variable du miroir)

de la propagation (de gauche à droite) sont appelés rayons ; Un faisceau est un ensemble de rayons lumineux. Bilan tp1 Les lentilles → Une lentille est constituée d'un milieu transparent limité par 2 faces dont l'une au moins est arrondie, et au moins une face des lentilles convergentes est bombée. → Le centre de la lentille est appelé CENTRE OPTIQUE O. Tous les rayons lumineux passant par ce centre n'est pas dévié. → La droite qui est perpendiculaire à la lentille passant

d’optique B formé de l’association de deux lentilles. A1 O2 Dans tous les cas que nous étudierons, les O1 deux lentilles auront même axe optique. A' A La première lentille L 1 donne de l’objet B1 ponctuel B une image B 1 : cela signifie que les rayons lumineux émis par le point B sont concentrés par la lentille en un point B 1 . Ensuite, ces rayons lumiL1 L2 neux rencontrent la deuxième lentille qui les concentre en un point B′ . A A1 A' Tout se passe, pour cette deuxième lentille L 2 , comme si les rayons

en son centre, est appelé axe optique de la lentille. Dans ce cadre, on représente les lentilles comme indiqué g 2. Le comportement d'un a) b) O O Fig. 2  Schéma d'une lentille convergente (a) et d'une lentille divergente (b) rayon lumineux traversant une lentille se déduit des lois de la réfraction. Cependant, une telle étude, quoique pas dicile, est assez fastidieuse, aussi allons nous nous placer dans le cadre d'une approximation, qui rendra cette étude nettement plus aisée.

être considérée comme se propageant sous forme de rayon lumineux. Nous en présenterons ici les lois générales, qui nous permettrons dans le prochain chapitre d’étudier la formation des images. Les notions que nous aborderons sont très d’une grande importance en physique. En effet, dans son domaine de validité, l’approximation de l’optique géométrique est transposable directement à tous les phénomènes ondulatoires : les rayons lumineux dans un télescope, les rayons acoustiques lors d’une échographie

en ligne Séquence 1 Représentation visuelle Sommaire Correction des activités Correction des exercices Corrigés des activités – Séquence 1 – SP13 3 © Cned - Académie en ligne C orrection des activités de la séquence 1 Activité 1 Un objet lumineux émet de la lumière (Soleil, lampes, … ) alors qu’un objet éclairé diffuse la lumière (la Lune, …) Activité 2 Aristote, philosophe grec (-384, -322). Aristote critiquait la conception de la vision qui consistait à considérer la vision comme l’effet