Bâton

2.1 – caractères discrets ▪ Diagramme en bâtons Lorsque le caractère étudié est discret, une représentation simple consiste : - A tracer un repère orthogonal, - A porter sur l’axe horizontal de ce repère les valeurs x1, x2, ..., xp du caractère étudié, - A tracer enfin en chacun des points xi, un segment vertical dont la hauteur est proportionnelle à l’effectif ni de cette valeur. Le graphique ainsi obtenu est appelé digramme en bâtons des effectifs. Exemple : Reprenons le tableau

graphiques • Si une hiérarchie peut être admise, on préférera un diagramme en bâtons (nombre d’enfants, de pièces défectueuses, niveau hiérarchique…). Les bâtons sont souvent verticaux. Lorsqu’ils sont horizontaux, ils sont dénommés « diagrammes en barres » par Excel. On peut colorer différemment le ou les bâtons qu’on souhaite mettre en exergue. Notez bien qu'une présentation en camembert peut toujours être transformée en bâtons. Les représentations graphiques • Les variables continues sont quant à

Galler décide qu'il faut se diversifier par rapport au traditionnel bâton de chocolat fourré, son unique produit à l'époque. Il lance alors "le Clown", une bouché en chocolat, plus petite que le bâton, donc moins chère, destinée à être un produit d'appel. Ce fut l'échec. Mais celui-ci fut très porteur d'enseignements : - "J'avais cru que les consommateurs étaient sensibles au prix, même à ce niveau, et que, sensibles au prix d'un bâton entier, ils se tourneraient facilement vers la bouchée, moins chère

produire, par transformation de la nature des instruments qui servent eux-mêmes de moyens dans cette transformation. L’animal se content d’user d’organes spécialisés (le bec, les ailes etc.) ou d’user de la nature sans vraiment la transformer (un bâton, une pierre etc.). Comparant l’homme et l’animal, Pascal observe que l’animal ne progresse pas, contrairement à l’homme, car il ne raisonne pas mais agit par instinct. Les animaux ont un savoir-faire inné alors que les hommes doivent apprendre pour

servent de guides de façon permanente au cours de notre vie. Dans une deuxième partie nous verrons comment nos sens peuvent être trompés, d’abord avec la réponse du rationalisme, puis avec la thèse de Descartes illustrée avec le morceau de cire et du bâton brisé et ensuite avec l’exemple de Freud de l’acte manqué. Enfin dans une partie à part, nous verrons comment nos sens sont troublés, dénaturés par les drogues mais aussi le long apprentissage des sens pour les personnes handicapés. A

juste avant notre extrait, Olympion est trompé, bafoué. Puis, c’est au tour de Lysidame d’être tourné en ridicule. La bataille menée à coups de bâtons avec la pseudo-Casina est également un élement comique : « cet individu va me mettre les riens en miettes, avec son bâton », « un brise rein », «  à gauche travail au baton ». Le spectateur, loin de prendre en pitié Lysidame, se réjouit de le voir ainsi transformé en victime, chosifié pour ainsi dire. Le vieillard

des jeux où un objet était frappé avec un bâton incurvé. Par exemple, une peinture de Pieter Bruegel (père), Les chasseurs dans la neige (1567), montre des joueurs qui utilisent des bâtons courbés pour jouer avec un petit objet sur la glace. L’utilisation du mot « hockey » pour désigner de tels jeux est attestée depuis 1785 (1527 pour hockie) mais son étymologie est incertaine. Il dérive peut-être du vieux mot français d’origine germanique hoquet (bâton de berger, crochet)[6], ou de l’hokkie hollandais

L.66), «je veux une vengeance» (Sc.3, L.6), «pour me venger» (Sc.4, L.14), «invention pour me venger» (Sc.4, L.41). L’auteur accentue l’effet comique par un comique de geste dans la scène 1 et la scène 5 : «Il prend un bâton et lui en donne» (Sc.1, L.86), «Ils prennent un bâton et le frappent» (Sc.5, L.126); un comique de mot (scène 1) lorsque Martine et Sganarelle se disputent et s’insultent : «Traître, insolent, trompeur, lâche, coquin, pendard, gueux, bélître, fripon, maraud, voleur» (Sc.1, L

décapitation dans la quatrième et l’enterrement en cinquième. La responsabilité de Salomé est suggérée poétiquement dans le troisième vers :«sire je danserais mieux que les séraphins», l’art est au service de la mort. On retrouve le bâton pastorale (l’attribut de JB) et l’union du bâton du prophète et la banderole brodée par Salomé est métaphorique de l’union rêvée par la jeune femme. 1. Les remaniement et prolongement Apollinaire la transforme. Elle porte la tête de JB dans ses bras et danse une seconde fois

guère De voir Ulysse en cette affaire. La tortue écouta la proposition. Marché fait(3), les oiseaux forgent une machine Pour transporter la pèlerine(4). Dans la gueule, en travers, on lui passe un bâton. « Serrez bien, dirent-ils, gardez de lâcher prise. » Puis chaque canard prend ce bâton par un bout. La tortue enlevée, on s'étonne partout De voir aller en cette guise(5) L'animal lent et sa maison, Justement(6) au milieu de l'un et l'autre oison. « Miracle ! criait-on : venez voir dans