Baudelaire Les Deux Bonnes Soeurs

rend-il compte du monde ? Lectures analytiques : Rimbaud, Poésies, « La bateau ivre », 1871. Mallarmé, Poésies, « Brise marine », 1887. Apollinaire, Alcools, « Zone », 1913. Documents complémentaires : 1. Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Parfum exotique », 1857. 2. Baudelaire, Le spleen de Paris, « Les fenêtres », 1869. 3. Rimbaud, Illuminations, « Ville », 1873-1875. 4. Rimbaud, Lettre à Paul Démeny dite « du Voyant ». OBJET D’ETUDE I : LA POESIE Séquence 2 : la poétique de Ponge

troupeau de brebis tondues, qui remontent du lavoir ; chacune porte deux jumeaux, et, parmi elles, il n’est pas de stérile. 3 Tes lèvres sont comme un fil de pourpre2, et ta bouche est charmante ; ta joue est comme une moitié de grenade, derrière ton voile. 4 Ton cou est comme la tour de David3, bâtie pour servir d’arsenal4 ; mille boucliers y sont suspendus, tous les boucliers des braves. 5 Tes deux seins sont comme deux faons, jumeaux d’une gazelle, qui paissent5 au milieu des lis6. 6 Avant

promènent au Jardin des Plantes. Ensuite, le dîner. La troisième journée voit la visite de Rastignac chez Mme de Restaud, puis celle chez Mme de Beauséant. Ensuite le dîner à la pension, la passe d’armes avec Vautrin et les lettres à sa mère et à ses sœurs. À partir de là, l’attente des réponses et les enquêtes sur le passé de Goriot. L’action ne reprendra que « vers la fin de cette première semaine du mois de décembre », au début de la deuxième partie (p. 109). 6. Paris, ville labyrinthe dont la maison

6 Récapitulatif (textes uniquement) – Sandrine Turenne Dindoyal LDM 1D Objet d’étude : La poésie du XIXe au XXIe siècle Parcours associé : Les mémoires d’une âme Extrait : Baudelaire, « N’importe où hors du monde », Le spleen de Paris, 1869 Dans ce poème, l’auteur présente un dialogue atypique entre un poète et son âme. Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit. Celui-ci voudrait souffrir en face du poêle, et celui-là croit qu’il guérirait en

un procureur, ou il apprit, outre le droit, l'anglais, l'italien et les mathématiques. Mais il ne se pressait point de choisir une profession; son père, irrité, lui refusa tous subsides. Alors il dut gagner sa vie par n'importe quelles besognes, étant bon, heureusement, à n'importe quoi. Malgré l'opposition paternelle, il épousa par amour et secrètement une jeune fille aussi pauvre que lui, MUe Champion. Cependant, il commençait à se faire un nom et à gagner davantage. Son activité littéraire était prodigieuse

Des « monstres » ou des « enfants » ? Enchaînement 14 S’engouffrer dans la trouée Figure 15 L’androgyne Point technique 16 La profondeur de champ Lecture critique 17 Une « réputation de cruauté » Filiation 18 Une comédie monstrueuse : Deux en un Passages du cinéma Directeur de publication : Véronique Cayla. Propriété : CNC (12, rue de Lübeck – 75784 Paris Cedex 16 – Tél.: 01 44 34 36 95 – www.cnc.fr). Rédacteur en chef : Stéphane Delorme. Conception graphique : Thierry Célestine. Révision

ferme dans le petit village de Roche près d'Attigny où elle avait grandi et durement travaillé, avait été élevée à la dure, avec des hommes. À cinq ans, elle avait perdu sa mère, à dix, sa grand-mère ; sa jeunesse s’était passée avec son père et ses deux frères (des mécréants), sans autre horizon que le village de Roche... La ferme, qu’elle exploita seule ensuite, allait brûler en 1863, être reconstruite en 1873, la famille y habitant alors. Fière, indépendante, forte, elle refusa de suivre le capitaine

secret se teinte de fantastique. L'enfant se rêve « enfant libre »2. Desnos fait sa première communion en 1911 en l'église Saint-Merri. À l'école, il n'est pas bon élève. Il s'ennuie profondément et ne supporte pas le discours patriotique qui s'y développe. Il préfère lire Les Misérables de Hugo et s'embarquer avec les Marins de Baudelaire. Il se passionne aussi pour la culture populaire : romans – Émile Gaboriau, Eugène Sue, Jules Verne4 ou Ponson du Terrail –, et bandes dessinées, avec une affection

ferme dans le petit village de Roche près d'Attigny où elle avait grandi et durement travaillé, avait été élevée à la dure, avec des hommes. À cinq ans, elle avait perdu sa mère, à dix, sa grand-mère ; sa jeunesse s’était passée avec son père et ses deux frères (des mécréants), sans autre horizon que le village de Roche... La ferme, qu’elle exploita seule ensuite, allait brûler en 1863, être reconstruite en 1873, la famille y habitant alors. Fière, indépendante, forte, elle refusa de suivre le capitaine

Laura VANEL-COYTTE Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval  Mémoire de Maîtrise sous la direction du professeur Patrick Marot, soutenu le 25 septembre 2001 à l’université de Toulouse le Mirail, UFR  de Lettres, Philosophie et Musique, département de Littérature Française. TABLE DES MATIERES (avec modifications post-impression et soutenance) Page N° INTRODUCTION