Bavard

ce qu’il est en train de leur dire. Il s’adresse indirectement à C. Son discours ne les concerne pas eux seulement, mais il concerne tout le monde : P généralise. le ciel n’est pas pour elles. Tous leshommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleuxet lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides,artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’unégout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent surdes montagnes

mots avec les « bonnets carrés » qui deviennent « octogones » par exemple, le comique de gestes que l’on peut imaginer (lors des lignes 8 et 9 par exemple). De plus, Marivaux fait rire sur la « parole » des femmes en utilisant le cliché de la femme bavarde, repris par Mme Sorbin, « langue assez bien pendue », cet humour rappelle le comique de Molière, les femmes sont capables d’auto dérision, elles se moquent d’elles-mêmes en s’accordant une capacité primant sur les autres. Le dramaturge choisit de

commencer, à faire ou à terminer. 10. Etre concentré sur ce qui se fait, sur ce qui se dit. 11. Eventuellement, la grande copie double déjà commencée. 12. Le cahier. 13. Le livre (un pour deux élèves). 14. Les crayons de couleurs. 15. Ne pas bavarder (sinon les conditions pour travailler sont mauvaises et on se pénalise). 16. Oser demander, quand quelque chose n’est pas compris. 17. Parfois, en début d’heure, un contrôle de connaissance rapide, non prévenu sur la dernière leçon et noté sur

aurait bien aime vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout... Et, depuis que ce rideau s'est levé, elle sent qu'elle s'éloigne à une vitesse vertigineuse de sa sœur Ismène, qui bavarde et rit avec un jeune homme, de nous tous, qui sommes là bien tranquilles à la regarder, de nous qui n'avons pas à mourir ce soir. Le jeune homme avec qui parle la blonde, la belle, l'heureuse Ismène, c'est Hémon, le fils de Créon. Il est le fiancé

réussir son orientation. AVANT ET A L'ENTREE EN CLASSE J'ai le droit -d'être absent uniquement pour des raisons valables    (maladies contagieuses, accidents) - d'être en sécurité a l'école et de circuler normalement    - de discuter, bavarder sans crier    J'ai le devoir - téléphoner au lycée dès que je suis absent    - arriver à l'heure au lycée et respecter les horaires de mon  emploi du temps - avoir une tenue décente  - me ranger dans les couloirs avant d'entrer

ttes les formes de retenue : dandysme, stoïcisme, froideur aristocratique. Mais son dédain ne se mêle-t-il pas d’une secrète envie ? Il souligne la vanité et le faux sublime des discours de chaire. Le gazetier appartient lui aussi à la race des bavards. Evocation du tribunal révolutionnaire avec « il ne décrète pas d’accusation ». Dans le 4e par., ils dénoncent les hommes volubiles, ils sont comme certains perroquets. L’éclat des voix est suggéré par la succession des 3 [a] dans « races jacassières

elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout… Et, depuis que ce rideau s'est levé, elle sent qu'elle s'éloigne à une vitesse vertigineuse de sa sœur Ismène, qui bavarde et rit avec un jeune homme, de nous tous qui sommes la bien tranquille à la regarder, de nous qui n'avons pas à mourir ce soir. Le jeune homme avec qui parle la blonde, la belle, l'heureuse Ismène, c'est Hémon, le fils de créon. Il est le fiancé

Deschiens ». 2) Henri est le gérant d’un bar à Pont-à-Vendin. Il est d’origine italienne et semble avoir la quarantaine. Il est de nature taciturne et introvertie et même paraît blasé. à l’inverse, Rita est ouverte aux gens, se montre heureuse, bavarde et souriante. Le film ne nous montre que peu d’éléments concernant le passé d’Henri. On sait à la base qu’il est d’origine italienne immigrée et ton aspect blasé nous laisse deviner un passé plutôt lourd. Pendant les scènes dans le bar, on remarque

Pendant la dernière guerre, une femme japonaise d’Hiroshima, Madame Hatano, et son petit garçon Ichiro avaient pris l’habitude de s’écrire presque tous les soirs dans un cahier, parce que la maman rentrait tard de son travail et ne pouvait pas bavarder de vive voix avec son fils. ICHIRO À SA MÈRE 2 février 1945 Maman, cela me préoccupe depuis un certain temps, mais je n’ai rien dit, parce que je craignais

elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout… Et, depuis que ce rideau s'est levé, elle sent qu'elle s'éloigne à une vitesse vertigineuse de sa sœur Ismène, qui bavarde et rit avec un jeune homme, de nous tous qui sommes la bien tranquille à la regarder, de nous qui n'avons pas à mourir ce soir.     Le jeune homme avec qui parle la blonde, la belle, l'heureuse Ismène, c'est Hémon, le fils de créon. Il est le fiancé