Beau Dommage

le vivre ou le ressentir. Il s’appelle la souffrance. Lui et l’amour sont pratiquement inséparables. Mais la question dont nous nous posons tous: est-ce que l’amour est nécessairement accompagné de souffrance ? Nous qui le considérons comme le plus beau et le plus merveilleux des sentiments ressentis pouvait nous procurer de la tristesse ou de la douleur. Alors oui, je crois que l’amour est nécessairement accompagné de souffrance. Premièrement, qu’est-ce que l’amour? Il désigne un sentiment d’affection

d'esprit mais son grand problème est qu'il est très laid. C'est une fée à sa naissance qu'il lui donna le don d'avoir beaucoup d'esprit. Il a pour but d'épouser une très belle princesse malgré sa laideur. A la fin du récit Riquet à la houppe devient beau et épouse une magnifique princesse pleine d'esprit comme lui grâce aux dons de la fée donnés à leurs naissances. Résumé du livre: Un jour une reine mis au monde un fils très laid, mais grâce à une fée, celui-ci eut beaucoup d'esprit et

l'énonciation, et raconte une histoire, une anecdote. Comparaison à la ligne 13 « ...comme font les chats ». Premières lignes : description du cadre dans lequel l’enfant riche se trouve. Termes positifs comme : joli, château, vaste jardin, enfant beau et frais, la blancheur, frappé par le soleil Condition sociale de l’enfant riche. Généralisation de la beauté des enfants riches. Les noms communs : luxe, richesse et innocence insistent sur la condition aisée de l’enfant. Comparaison du

les paroles de Socrate et d’Agathon ainsi que de montrer pourquoi, ce dernier, a parlé sans savoir ce qu’il disait [201b]. En premier lieu, Agathon démontre, durant ce discours, qu’Éros, grand dieu grec de l’amour, est le plus vertueux, le plus beau, le plus heureux, courageux et sans faille de tous les dieux grecs, lors d’un éloge à celui-ci. Il démontre, donc, de l’admiration envers le dieu. Il est « l’esprit de tous les dieux et de tous les hommes, » déclare-t-il, lors de ces louanges. Le poète

reprocher aux artistes d’être inutile ? Les artistes créent du beau, sont ils alors inutiles ? Nuisent ils a la société ? Lorsqu’un artiste produit une œuvre d’art, est ce seulement dans le but de créer de la beauté ou y a-t-il une autre fonction a son œuvre ? Car si l’art n’est fait que pour faire du beau, peut on réellement lui reprocher d’être inutile ? L’art est un univers, qui n’a qu’une seule fonction qui est de créer du beau. S’il n’a aucune autre fonction alors a quoi sert il ?

A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuéesQui hante la tempête et se rit de l'archer;Exilé sur le sol au milieu des huées,Ses ailes

s'aperçoit que ceux-ci représentent un vieillard, une grosse femme, un autre homme. La laideur de ce portraits contraste avec les têtes des rhinocéros qui sont devenues très belles. Bérenger s'écarte pour contempler les tableaux.) Je ne suis pas beau, je ne suis pas beau. (Il décroche les tableaux, les jette par terre avec fureur, il va vers la glace.) Ce sont eux qui sont beaux. J'ai eu tort ! Oh, comme je voudrais être comme eux. Je n'ai pas de corne, hélas ! Que c'est laid, un front plat. Il m'en faudrait

trouve ; et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne ; j’ai beau être engagé*, l’amour que j’ai pour une belle n’engage point mon âme à faire injustice aux autres ; je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et rends à chacune les hommages, et les tributs* où1 la nature nous oblige. Quoi qu’il en soit, je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d’aimable, et dès qu’un beau visage me le demande, si j’en avais dix mille, je les donnerais tous. Les inclinations

Que ces rois de l’Azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons trainer à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;

Parfois l’art nous bouleverse, nous bouscule dans nos habitudes. En plus de divertir il peut donc déranger. Or l’art n’est pas essentiellement que divertissement, l’art n’est pas ce qui est agréable à entendre ou à regarder. L’art c’est aussi le beau, un moyen de dénoncer, de montrer, de faire prendre conscience. Certes, l’art nous divertit, mais il nous cultive, nous éduque aussi. L’art nous fait réfléchir. Son but ne serait donc pas .uniquement de divertir. L’art nous détourne-t-il