Beau Dommage

L’esthétique d’une poésie. Un poème doit-il obligatoirement être beau pour être esthétique ? car de nos jours nous pouvons affirmer que la laideur est une beauté ? Baudelaire a souvent défendu cette cause. Disant que la beauté était une question de laideur. Le fait qu’un lecteur soit déconcerté ou même pris d’un sentiment de protection grâce au « contre banale » présent dans ses poésies était une preuve suffisante pour prouver le fait que la laideur représentait la beauté. A quoi bon écrire des

thèmes de l'universalité du beau, mais aussi et avant tout le respect d'autrui, car autrui étant notre semblable, c'est aussi un être libre: libre des ses actes et de ses choix, ses décisions. Dans un premier temps, nous allons donc nous demander si nous sommes en mesure de convaincre autrui qu'un objet est beau. Pour que nous puissions réaliser une telle démarche, nous devons déjà supposer l'universalité du beau. Sans cela, démontrer et définir que quelque chose est « beau » serait assez difficile

Dissertation: Le Beau selon Théophile Gauthier Sujet : « Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature » (Théophile Gautier) De nos jours, beaucoup d'objets garnissent nos musés, jadis considérés comme utiles, ils sont aujourd'hui jugés comme beaux. Qu'ils soient vases, statues, peintures, ils n'avaient principalement

des ombreuses retraites, Germer mille sonnets dans le coeur des poètes, Que vos grands yeux rendraient plus soumis que vos noirs. Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal Le serpent qui danse Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain

côté, succombe au charme du beau Christian. Christian ne résiste pas à la sublime face de la belle. C'est donc un amour assez complexe. Roxane n'est pas vraiment amoureuse de Christian au début, elle ne l'est qu'au fur et à mesure qu'elle reçoit ses lettres pleines de beaux vers (écrites en réalité par Cyrano). Le poète, y décrit tous ses sentiments personnels dans ces lettres et donc, cela lui permet d'exprimer indirectement ses sentiments à Roxane. L'amour est beau, seulement s'il est partagé

plus impressionnant, ce sont les reflets qui apparaissent dans la vitrine du restaurant, tout se reflète comme si le soleil rayonnait réellement sur le tableau. D’ailleurs, la lumière est elle aussi représentée d’une façon très subtile, un véritable beau temps entoure ce restaurant. On aperçoit d’autres reflets sur la voiture, aile gauche. Cela donne l’impression que la voiture vient d’être lavée, polie et le soleil s’y réfléchit. Sans oublier l’ombre imposante du restaurant( qui se trouve à contre-jour)

simple)  du  v.  1  à  36  situent  le  souvenir  dans  le  passé : « nous vîmes », « ouvrait », « rayonnait », « était », « crûtes »   ‐ Le  souvenir  semble  heureux  d’après  les  indications  temporelles :  CCL  « ce  beau  matin d’été si doux » (v. 2) + adjectifs mélioratifs « beau » et « doux ». La saison  estivale est également une connotation méliorative.  Une célébration de la femme aimée.  ‐ Métaphores  des  astres  pour  désigner  la  beauté  de  la  femme :  « étoile  de  mes  yeux/soleil de ma nature » (v

quelque chose d’assez exceptionnel, quelque chose que même moi j’ai eu du mal a croire, c’est tellement extraordinaire, tellement surprenant, tellement grand, tellement énorme, tellement impressionnant a mes yeux, tellement gigantesque, tellement laid et beau en même temps, c’est tellement original : enfin une chose qui ne peut arriver qu’ a Notre famille, une chose que même tata yoyo, la plus grande commère du village, ne peut croire au jour d’aujourd’hui. C’est une chose qui a fait parler d’ elle à travers

vers la captivité + « souvent » et présent de vérité générale. + à « indolents » fait écho « piteusement ». · Opposition entre les dénominations et les attitudes - rois / maladroits - voyageurs / veule - piteusement / grandes ailes blanches - beau / laid => Résumé dans un hémistiche au vers 12 (qui est aussi le vers final de la description de l’oiseau) : « l’infirme qui volait ». =/ La souffrance naît donc de la rencontre de deux mondes antithétiques. II/ La rencontre de deux univers

sous un grossier « vernis ». dans le cas de l’enfant pauvre, ce vernis est « la répugnante patine de la misère » (l. 20-21) qui correspond à la face « fuligineuse » (l. 17) de l’enfant : nettoyé de la suie inhérente de sa condition, le visage serait beau. Il 1 devient ici évident que le regard esthétique, « impartial » (l. 18), s’oppose aux préjugés de la médiocrité et de la pauvreté » (l. 8-9) : c’est le regard du poète lui-même, auquel il veut bien sûr associer le lecteur. Ainsi la communion