Bellicisme

en face. Les annexions se font vite et Louis XIV enchaine victoire sur victoire dans un premier temps. Il ne cesse d'étendre les frontières françaises. L'avidité et l'orgueil du Grand Roi le fait la médiation de la Hollande. ♦ Au contraire, le bellicisme de Louis XIV amènent ses ennemis à se souder davantage, Guillaume d'Orange, qui sera l'un des plus grands ennemis de Louis XIV au long de son règne, arrive au pouvoir grâce à lui. Au fur et à mesure, le Saint Empire et d'autres alliés européens

(les Français, sauf Thiers, sont convaincus de la supériorité de leurs armées, victorieuses | |depuis la Crimée, 1854-55, le Mexique passant pour une victoire). | |[pic]3o) Bellicisme des garibaldiens : les partisans de la République italienne savent qu'une guerre obligerait la France à rappeler | |les troupes envoyées à Rome pour soutenir le pape. Ils poussent à la guerre sur le Rhin pour dégarnir l'État pontifical.

Elle était aussi, au début du régime, avant les traités qui unirent l’Eglise et le régime, catholique surtout, protestante assez peu (les régions protestantes étaient plus favorables au nazisme). L’Eglise dénonçait les abus, les violences et le bellicisme, mais cela ne dura guère : le Concordat fut signé le 20 Juillet 1933. Il y eut aussi une résistance bourgeoise, assez paradoxale : elle était d’accord sur le principe autoritaire et sur l’expansionnisme, mais condamnait la violence du nazisme. Le

de se proclamer, anticlérical, antireligieux, antimilitariste et anti-école « éducastratrice ». Le Journal d’une femme de chambre (paru en juillet 1900) concentre bon nombre de ses thèmes de prédilection : dénonciation de la bêtise humaine, du bellicisme, de l’antisémitisme, de la bourgeoisie cupide et parasitaire qui dirige une république dont la vocation est de perpétuer la mainmise d’une minorité de privilégiés sur tout le pays. L’extrait commenté témoigne de l’engagement dreyfusard de Mirbeau

milieu du XVIIe siècle (I) Ils s'appuieront sur deux principaux moyens d'affirmation : la culture d'un sentiment national fort et le dirigisme économique... qui se retourneront contre lui. Le nationalisme dépassera l'étatisme, le dirigisme se fera bellicisme (II). I. L'oubli de l'Europe : de la Guerre de Trente Ans (1618-1648) aux guerres idéologiques (1814-1914) La rivalité la plus marquée entre Etats européens, aboutissant à une destruction de l'idée d'Europe, se manifeste durant le Moyen-Âge, et

être aussi l’incarnation d’un idéal, de valeurs ( Ainsi Gargantua de Rabelais est-il, à travers son appétit gigantesque, l’incarnation de l’appétit des Humanistes pour le savoir. Son père Grandgousier est l’incarnation du bon souverain opposé au bellicisme désordonné de Picrochole. A travers le héros et à travers le jeu des personnages, Rabelais diffuse un message humaniste. (C’est le cas dans le roman de chevalerie ou dans les romans héroïques ou précieux du XVIIème ( voir manuel) 3-Au contraire

Sans-Souci. La coopération entre un homme de pouvoir et un homme de lettres, d’abord idyllique, tourne court rapidement. Finalement les deux hommes se brouillent, et Voltaire doit quitter l’Allemagne. Voltaire n’a pas apprécié l’autoritarisme et le bellicisme du souverain. Cette expérience malheureuse servira à illustrer les malheurs de Candide dans le chapitre III du conte éponyme ainsi que dans l'article "Guerre" du Dictionnaire philosophique. Ce texte présente l’intérêt d’une argumentation au travers

lAbsurde 2-Il peut tre aussi lincarnation dun idal, de valeurs ( Ainsi Gargantua de Rabelais est-il, travers son apptit gigantesque, lincarnation de lapptit des Humanistes pour le savoir. Son pre Grandgousier est lincarnation du bon souverain oppos au bellicisme dsordonn de Picrochole. A travers le hros et travers le jeu des personnages, Rabelais diffuse un message humaniste. (Cest le cas dans le roman de chevalerie ou dans les romans hroques ou prcieux du XVIIme ( voir manuel) 3-Au contraire, il peut

nationalisme grec, ou l’Empire austro-hongrois contre lequel se forgera les nationalismes allemands et surtout italiens. L’émergence des Etats-nations européens donne un cadre différent à l’idée nationale, qui de révolutionnaire va finir dans le bellicisme et la xénophobie. C’est dans ce contexte que se préparent des alliances tactiques et militaires qui aboutiront au déclenchement de la Première Guerre Mondiale. Une Guerre dont nous verrons les détails dans la troisième thématique de l’année

objectifs de remontée sur la scène internationale, puisque c’est la Russie elle-même qui vient lui demander de l’aide. Seulement au sein du pays naissent différents courants. Le premier très revanchard, le nationalisme français qui penche vers le bellicisme, reprend le thème de la revanche. La droite se retrouve hantée par la menace germanique. La priorité est donc donnée par la droite française d’un redressement des mentalités contre le péril allemand dans la politique intérieure. Par exemple, à