Benjoin

sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Charles Baudelaire J’ai choisis ce poème tout d’abord car il est extrêmement bref. D’autre part, le dialogue entre l’homme et la nature qui se met en place m’a beaucoup plu.

la parfumer avec notre dernière création « Quelque Notes D’amour ». Avec plaisir me répond-elle. Je lui fais tout d’abord découvrir sur une touche d’essai en lui citant les trois principales notes de l’eau de parfum qui sont la rose damascena, le benjoin et le bois de gaïac. Puis je la parfume. 8 - Encaissement : Nous passons donc en caisse. Je récupère ces articles et lui demande si elle possède la carte de fidélité. Elle me dit que non. Je lui propose de lui offrir et lui explique que c’est

voyait point ; sa pensée maintenant revenait en arrière, et devant ses yeux éblouis par l'éclatant soleil flottait l'image de Mme de Marelle rajustant en face de la glace les petits cheveux frisés de ses tempes, toujours défaits au sortir du lit. 1 - benjoin : résine utilisée en parfumerie. 2 - baron Georges du Roy : Bel Ami. 3 - sacristie : pièce dans une église ou l'on conserve les objets nécessaires au culte et les vases sacrés. 4 - Palais-Bourbon : la Chambre des députés à Paris. Texte D : Victor

tante Kenza. C’est une voyante très exigeante et très étonnante, respectée par crainte. Une fois par mois, elle organise une soirée de danse et de musique, animée par des gnaouas, ou se mêlent les sons des crotales et des gambris et les odeurs de benjoins et d’encens, dans une atmosphère de fraternité entre les djnouns et l’homme, qui dure le temps d’une nuit. Elle est la principale locataire de Dar Chouafa. Dris El Aouad:Driss al Aouad est un fabricant de charrues. Il est l’époux de Rahma, qui a

couleurs et les sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Lautréamont, Les Chants de Maldoror, 1869 Mais je ne me plaindrai pas. J’ai reçu la vie comme une blessure, et j’ai défendu au suicide de guérir la cicatrice. Je veux que le créateur

sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Les Fleurs du Mal, Baudelaire Fonction du poète (extrait)
 Peuples ! écoutez le poète !
 Ecoutez le rêveur sacré !
 Dans votre nuit, sans lui complète,
 Lui seul a le front

précis. À ces termes on peut encore ajouter les verbes qui indiquent comment tout se fait entendre : « répondent », « chantent » - l’odorat est également convoqué à travers différents « parfums » exposés dans une énumération : « l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens ». Les parfums orientalistes sont tous forts et entêtants et seront déployés dans d’autres poèmes de Baudelaire pour ouvrir souvent vers un monde exotique et idéal. Ils renvoient encore à une dimension religieuse puisque ce vers semble

majoritairement connotés positivement, d' "enthousiasmes" à "apaisement" en passant par "élans".+ Passivité du poete (le verbe faire est ici employé avec le pronom réfléchie « se »)Troubles de la circulation du sang; souvenirs d'amour;Parfum de benjoin du tub matinal; rêves d'amour;Ces 2 vers s’analysent ensemble : parrallélisme de construction ( [Nom + CtdNom + Ct du CdNom + point-virgule + nom + "d'amour"] : Comme Proust à la même époque, Larbaud semble ici s'intéresser aux réminiscences

sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Illustration Baudelaire – Correspondances L’IDEAL Ce ne seront jamais ces beautés de vignettes, Produits avariés, nés d'un siècle vaurien, Ces pieds à brodequins

ambre …». Le champ lexical du touché se traduit à travers les mots « frais, chair d’enfant, doux… » et celui de la vue avec les mots « regards, clarté, couleur… ». Pour finir nous remarquons que le vocabulaire du goût est exprimé à travers le mot « benjoin ». Mais ces sens doivent être complémentaire pour pouvoir atteindre l’Idéal. La ville peut être un territoire de l’Idéal car elle présente beaucoup de nouveautés. Nous pouvons remarquer que la ville apporte de la légèreté au poète grâce aux vers :