Benzodiazépine

inhibiteurs de l’éveil et de la vigilance (effet sédatif). Ils sont prescrits en cas d’insomnie et provoquent un sommeil normal c’est-à- dire avec conservation des cycles de sommeil. Ils sont très nombreux et très variés, ce sont notamment des benzodiazépines, des antihistaminiques ou la dernière génération 4 d'hypnotiques les imidazopyrines et les cyclopyrrolones. En traitement prolongé, certains d'entre eux sont susceptibles de provoquer une dépendance. Les barbituriques ne sont plus utilisés en

toxicomanie (France, juin 1998)8 La consommation de tabac génère rapidement une dépendance durable. Article détaillé : Tabagisme. Facteurs de dangerosité des drogues | | Héroïne (opioïdes) | Alcool | Tabac | Cocaïne | Psychostimulants | Benzodiazépines | Cannabinoïdes (dérivés du Chanvre) | Dépendance physique | très forte | très forte | forte | faible | faible | moyenne | faible | Dépendance psychique | très forte | très forte | très forte | forte mais intermittente | moyenne | forte |

antidépresseur ayant une action anxiolytique, sédative et régulatrice du sommeil (CI prise d’alcool et hépatopathie) qui nécessitera une surveillance clinique de l’état psychique. Il prend également du Bromazepam 1,5mg 3cp au coucher qui est une benzodiazépine anxiolytique indiqué dans le traitement de, l’anxiété (CI IR/IH/prise d’alcool) ainsi que du Zolpidem 10mg 1cp au coucher qui est un ttt psycholeptique hypnotique sédatif indique dans les insomnies transitoires (surv clinique état psychique et

plus fréquente, posant le problème des effets secondaires mais aussi celui de l'aggravation des addictions (terme anglo-saxon signifiant dépendance au sens large), puisqu'il existe de nombreux phénomènes de dépendance croisée entre l'alcool, les benzodiazépines (famille à laquelle appartient de nombreux tranquillisants et somnifères courants) et les opiacés (opium, héroïne, morphine, codéine...). Il existe dans certains quartiers des grandes villes un véritable marché noir des médicaments psychotropes

médicaments influent sur certains systèmes comme le système vestibulaire ou le sommeil. L'étude de Moylan et al. (2007) répertorie les différents types de médicaments associés à un risque de chute élevé. Parmi ces derniers, l’auteur identifie les benzodiazepines, les antidepresseurs, les antipsychotiques, les antiépileptiques, les anticholinergiques, les sédatifs, les hypnotiques, les relaxants et les médicaments pour les troubles cardio-vasculaires. Il apparaît que la prise concomitante de plus de 3

symptômes d’allure dépressive. Indiqués lorsqu’il existe une symptomatologie dépressive en dehors de la phase aiguë (dépression post-psychotique), en association avec un neuroleptique.! Cette association réduirait le risque suicidaire.! ! Les benzodiazépines : ! ! Potentialisation des effets sédatifs des antipsychotiques permettant d’employer des doses moins importantes. Durée de prescription limitée du fait de leurs EI (dépendance, amnésie antérograde, diminution du tonus musculaire).! ! Les

buccale, des maux de tête, la somnolence, l’étourdissement et de la fatigue. - Administration traitements anxiolytiques : 50mg d’Oxazépam (Séresta®) le matin, dans l’après-midi, le soir et au coucher. Il s’agit d’un anxiolytique de la famille des benzodiazépines dont les effets indésirables sont la dépendance, l’ataxie, l’hypotonie, la somnolence ou encore une amnésie rétrograde. - Administration traitement neuroleptique : 25mg de Clozapine (Léponex®) matin et midi et 100mg de Clozapine (Léponex®) soir

institutionnalisation, altération de la qualité de vie, alcoolisme… • Monothérapie initiale • Augmentation progressive pour tolérance • Atteindre une posologie efficace +++ • Eviter les ATD imipraminiques (hypoTA, rétention urinaire, constipation…) • Eviter les benzodiazepines (confusion, risque de chute…) • Traiter plus longtemps L’épisode maniaque et mixte Traitement de la phase aiguë • Hospitalisation, parfois ambulatoire • HDT souvent… sauvegarde de justice • Traitement médicamenteux : – Thymorégulateur (Lithium

(exposition progressive, désensibilisation) 2. Approches thérapeutiques Elle varie selon les besoins du patient. Souvent, c’est l’utilisation de concepts dynamiques et humanismes. 3. Médication anxiolytique C’est l’utilisation de la benzodiazépine. Il crée la modification des récepteurs GABA et/ou autres récepteurs nécessaires à la relaxation en modifiant les formes. Toutefois, il rend impossible la chimie entre nos neurotransmetteurs et les nouveaux types de récepteurs. Il est vrai que

vasopresseurs. Oxygène si hypoxie. Ventilation mécanique si insuffisance respiratoire. 2. douleurs: paracétamol, opioïdes si douleurs violentes. Eviter l’acide acétylsalicylique. 3. anxiété, agitation: tranquilliser par des paroles ou des médicaments (benzodiazépines) 4. local: mise au repos du membre atteint. Demander un avis en chirurgie plastique 5. infection: si infection confirmée, traitement antibiotique. Rappel antitétanique. 6. allergie: si réaction anaphylactique, antihistaminiques et corticostéroïdes