Bep Blanc

sa peau, son orientation sexuelle, son sexe, ou religion, est traité de manière différente qu’une personne « normale » généralement un homme blanc et de religion catholique en France, et protestante en Amérique. Cette discrimination peut se manifester de plusieurs manières. Il est possible que la discrimination se fasse au moment de l’embauche ou un homme blanc et hétérosexuel et choisit au dessus d’une personne de religion, de sexe, ou d’orientation sexuelle. Après avoir être embauché, la discrimination

L’IMPRESSIONNISME : Une nouvelle peinture, qui prendra le nom d'impressionnisme en 1874, va voir le jour en France, entre 1860 et 1890. Elle succède aux mouvements du Réalisme puis de l’Impressionnisme. ( La formule de Manet : "Je peins ce que je vois, et non ce qu'il plaît aux autres de voir", résume à elle seule cette revendication de l'artiste à donner sa vision personnelle. D’ailleurs, il faudra attendre de nombreuses années avant que l'impressionnisme profite d'une certaine reconnaissance

presque nus pour attirer les spectateurs. Un jour sa fiancée est emmenée avec d’autres en Allemagne et il tente alors de la retrouver avec son ami Badimoin. Il leur arrive de nombreuses péripéties et Badimoin meurt. Gocéné lui est sauvé par un homme blanc nommé Caroz avec qui il restera ami tout au long de sa vie. Avis personnel : J’ai bien aimé se livre car il dénonce très bien le racisme, surtout lors de l’époque coloniale. Cependant la poursuite de Gocéné et de Badimoin et un peu longue. Mais je

orange, le bleu foncé, mais sur la partie droite nous pouvons ressentir un certain contraste puisque les couleurs sont bien plus froides, tristes comme par exemple sont utilisées le bleu très clair, le gris et même les « non-couleurs » que sont le blanc et le noir, ce qui assombrit la peinture. Les formes sont assez difficiles à reconnaître puisqu’elles sont totalement emmêlées mais nous pouvons distinguer des cercles ou des carrés relativement facilement. Les formes s’assemblent si bien au fond du

Ferdinand Oyono est une œuvre qui nous relate l’histoire d’un jeune nègre du nom de Toundi qui s’enfui vers Fia ou se trouvait le père blanc suite à une bastonnade de son père.Celui-ci le conduisit à l’église St Pierre de Dangan où il devint le servant de messe et son boy.Il le baptisa sous le nom de Joseph et l’apprit à lire et a écrire.Après la mort du père blanc, il devint le boy du commandant.Là il commence encore une nouvelle vie mais sera plus tard confronté à de multiples problèmes qui le conduiront

y a un autre pélerin. On l'aperçoit de 3/4. Il est légèrement tourné et regarde vers sa gauche. On le voit au dessus du premier personnage. Il tient un récipient posé sur la table. Il a un chapeau qui ressemble à une kippa. Il est habillé en ocre, blanc et rouge. Il n'a pas de barbe. Au centre de l'oeuvre apparaît le Christ. Il est face à nous. Il lève sa main droite ouverte dans notre direction. Son bras gauche est accoudé sur la table mais sa main est légèrement levée. Il est habillé d'un vêtement

Cher frere blanc , Leopold Sedar Senghor Quand je suis ne, j'etais noir, Quand j'ai grandi, j'etais noir, Quand je suis au soleil, je suis noir, Quand je suis malade, je suis noir, Quand je mourrai, je serai noir. Tandis que toi, homme blanc, Quand tu es ne, tu etais rose, Quand tu as grandi, tu etais blanc, Quand tu vas au soleil, tu es rouge, Quand tu as froid, tu es bleu, Quand tu as peur, tu es vert, Quand tu es malade, tu es jaune, Quand tu mourras, tu seras gris. Alors

vieux canapé accompagnée de... 3 petits chatons !!! Qui devaient avoir 1jour même pas .J'allais la voir . Mia était devenue une Maman !!! MAIS, je m'apercevais qu'ils avaient quelque chose de spécial … Ils étaient tout petits, il y en avaient un blanc comme sa mère l'autre gris et rayé ,et le dernier tout noir avec des pattes blanches .Ils etaient trop mignons. Au fur et a mesure, je découvris qu'ils parlaient ! Chaque jour j'allais les voir pour les admirer et parler avec eux pour découvrir ce

notations de noir et de blanc ; mais le noir et le blanc sont des absences de couleur. Aux « lettres noir » (l.3) de l'enseigne répondent les « boutons noirs » (l.19) fixés sur des cartons ; le blanc est partout mais avec des nuances qui vont du « blanc éclatant » (l. 14) au « blanc jauni » (l.) en passant pas les cartes « blanches » (l.19) et la mousseline « blafar(e) » (l.16). Deux fois sur quatre le blanc est connoté défavorablement puisque « jauni » évoque un tissu blanc et vieux et « blafard »

L'IMAGE ET PHOTOCOMPOSITION La selection des 15 valeurs de gris de l'image se fait à l'ordinateur, avec l'outil « seuil » lors de la conversion de l'image du « niveau de gris » au « noir et blanc ». L'image a été préalablement scannée pour être traitée avec un logiciel de traitement d'image. Les 15 imges noir et blanc sont flashées pour obtenir les 15 typons qui permettront de graver 15 écrans pour imprimer les 15 couches du bas-relief. IMPRESSION Chacun des 15 passages de l'impression anaglyphe