Berceuse

« aimante » et maternelle - La structure cyclique du pantoum semble également en harmonie avec la nature « cyclique » de la femme en même qu’il s’en dégage un rythme lancinant et monotone, accentué par absence de ponctuation, qui fait penser à une berceuse, relevant le caractère maternel de cette femme renforcé par allitération en « m » particulièrement douce. - « patience » vertu féminine et dans cette atmosphère d’attente tragique ou la longueur du temps est renforcée par l’utilisation de l’imparfait

pénétrant ", le phonème an est répété trois fois produisant par assonance sur le lecteur un effet d'envoûtement pour mieux nous faire prendre dans le charme de la parole. La conjonction « et » qui apparaît dans la première strophe crée l’effet d’une berceuse rythmique (rythme ternaire : v.2-3-4) • Par l’exclamation « hélas ! », Verlaine essaye peut être de nous dire qu’une seule personne appartenant au monde onirique peut l’aimer et le comprendre, mais rien dans le texte ne nous l’affirme. Les

que la mort ». Le poème préserve ici jusqu’au bout sa fragile béatitude, en niant précisément l’objet qu’il s’était assigné : le voyage. C’est parce que celui-ci n’aura jamais lieu, parce que le poème « s’endort » (v. 39-40) dans la musique de la berceuse qu’il devient au fil des strophes, qu’une félicité s’installe et s’étire jusque dans l’ultime distique, qui semble accomplir parfaitement cette stratégie du sommeil réparateur ou salvateur. À cet égard, le « Là » indéterminé des refrains, s’il désigne

jetais mes quelques centimes sur ma couverture, débarrassais mes poches de ma brosse et de mon pot à cirage. Les sirènes des voitures de polices, les aboiements des chiens, et surtout les cris des locataires italiens de l’immeuble d’en face furent ma berceuse, ce soir là. Tous les soirs j’en avais droit à une nouvelle, avec, évidemment, toujours un même bruit de fond : New-York. Les nuits passaient vite. Je me suis réveillé avec le bruit des ouvriers qui discutaient de la dernière bagarre dans un des

sentimentale », un poème tout en musique et en harmonie puisque dès les premiers vers, on relève des allitérations en « be » et « me » dans « berçait », « blêmes », suprêmes », « calmes » ainsi que des nombreuses sonorités nasales qui rappellent un berceuse. Le rythme lent ainsi que les enjambements au sixième, septième ou huitième vers marquent la douceur, le calme et la mélancolie de l’atmosphère. La poésie de Verlaine est ici très riche car l’on trouve beaucoup de sonorités similaires dans les

Souvent d’apparence maladresse * Mais produisissent ici un effet : * D’envoutement servant : * Mieux faire rentre le charme de la parole * La conjonction « et » * Crée l’effet d’une berceuse c) Elle l’apaise * « Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. » V6-7-8 * Anaphore de « Elle seul » * Femme

second livre de préludes pour piano, Trois poèmes de Mallarmé, et une ballet pour enfants, La boîte à joujoux (piano seul).Il se rend à Saint-Petersbourg et à Moscou, et, qu début d e1914 à Rome, Amsterdam, La Haye, Bruxelles, Londres. Il compose La Berceuse héroïque pour une commande du Daily Telegraph pour le «King Albert's Book». En 1915, il subit une opération du colon il passe l'été à Pourville, ville côtière de la mer du Nord. Il y compose la Sonate pour violoncelle, Blanc et noir, Les Études,

Tout un monde, Éditions Thierry Magnier * 2001 : Voutch, Pourquôôââ, Éditions Thierry Magnier * 2002 : Ruth Brown (auteur), Dix petites graines, Gallimard Jeunesse * 2003 : Chantal Groléziat, Paul Mindy et Élodie Nouhen, Comptines et berceuses du baobab, Didier Jeunesse * 2004 : Martine Perrin, Méli-Mélo, Milan * 2005 : Jean Gourounas, Grosse légume, Éditions du Rouergue * 2006 : Martine Perrin, Qui où quoi, Milan * 2007 : Audrey Poussier, Mon Pull, L'École des loisirs

d'étudier la géologie et était destiné à une carrière dans l'industrie pétrolière algérienne. L'avenir va cependant le diriger sur un autre chemin. En 1973, il démarre sa carrière par hasard en remplaçant une chanteuse, pour qui il avait composé une berceuse, à Radio Alger et interprète une chanson qui va devenir son premier succès radiophonique : Rsed A Yidess qui signifie « Que le Sommeil Tombe ». En 1975, il monte à Paris et signe un contrat avec Pathé Marconi qui lui produit son premier album :

En effet, s’entrecroisent les champs lexicaux du sommeil, de la paix et de l’inertie suspecte. * Le champ lexical du sommeil (on peut aussi employer le terme d’isotopie) : on trouve le verbe dormir à trois reprises comme s’il s’agissait d’une berceuse, « il fait un somme », « il est étendu dans l’herbe », l’adjectif « tranquille » en position de rejet au vers 14, « bouche ouverte » … Sommeil réparateur comme celui d’un enfant malade qui s’est endormi après que la fièvre soit retombée. * Cependant