Bergson Cohesion Sociale

qui constitue la phase achevée du procès ». Comme on sait, on a rapproché le procès whiteheadien de la mobilité et de la durée bergsoniennes. On songe évidemment à l’ « évolution créatrice » et à l’ « élan vital » de Bergson. Comme l’esprit est « lancé » à travers la matière chez Bergson, la conscience ne prend naissance, pour Whitehead, que « dans les phases supérieures de l’intégration ». Mais il s’agit là d’une inspiration commune à toutes les philosophies de la nature. (Un autre auteur de langue

italienne de l'après-guerre. Au lendemain d'une victoire chèrement payée, l'Italie ajoute à ses difficultés traditionnelles un lourd passif hérité de la guerre. •Un pays fragile et contrasté. Unifiée depuis les années 1860 seulement, man¬quant de cohésion, l'Italie présente encore de profondes contradictions. L'économie demeure déséquilibrée, malgré un « décollage» industriel récent. Développées depuis les années 1890-1910, les industries modernes se sont concentrées en bordure des Alpes et dans

élémentaire et rationnelle, à savoir l’idée d’une faute originelle, de la nécessité pour lui de travailler pour subvenir à ses besoins. L’idée d’inconscient et surtout chez Freud, le complexe d’œdipe. La sociobiologie affirme que les comportements sociaux sont relatifs à de l’inné et qu’on peut établir une sorte de typologie des caractères face à des situations données, les hommes réagissent instinctivement de la même manière mais cet instinct est ensuite socialisé. 2) La diversité culturelle

institutions sociales. - IV. L'archipel des d'Entrecasteaux. Les tribus de Dobu. Importance mythologique de leur pays. Certaines de leurs coutumes et institutions. Sorcellerie. Spectacle pittoresque devant la plage de Sarubwoyna. - V. Départ vers le Nord. Les Amphletts. Peuple monopolisateur. Chapitre II : Les habitants des îles Trobriand I. L'arrivée dans ces îles. Première impression de ce monde indigène. Quelques traits frappants et leur signification plus profonde. - II. Position sociale des femmes;

plus riche que celui de fonction cérébrale par laquelle s'opère l'acquisition, la conservation et le retour d'une connaissance chez un individu. Elle est un patrimoine mental, un ensemble de souvenirs qui nourrissent les représentations, assurent la cohésion des individus dans un groupe ou dans une société et peuvent inspirer leurs actions présentes. L'usage du mot avec ce sens s'est aujourd'hui généralisé, souvent associé à l'idée d'un devoir de mémoire. La généralisation de cet usage est telle que

cultures sont des monolithes plutôt que des flux, et que donc les rencontres sont impossibles, sauf si elles sont des affrontements, des « chocs » ; soit, dans une nouvelle mouture d’universalisme ou d’humanisme axé non plus sur le discours du contrat social mais sur celui du représentativisme, de la victimisation, d’un féminisme délirant et de normes de droit souples et concrètes, parfois pénales – lesquelles ont remplacé la mystique abstraite des Lumières. Ensuite, parce que, d’une part, l’avènement

conception du concours humain, l'attention concerne naturellement la solidarité, de préférence à la continuité. Mais, quoique celle-ci soit d'abord moins sentie parce qu'elle exige un examen plus profond, sa notion doit finalement prévaloir. Car l'essor social ne tarde guère à dépendre davantage du temps que de l'espace. Ce n'est pas seulement aujourd'hui que chaque homme, en s'efforçant d'apprécier ce qu'il doit aux autres reconnaît une participation beaucoup plus grande chez l'ensemble de ses prédécesseurs

rupture économique : fin 19éme siècle, l’évolution économique si elle enrichit certaines classes elle a aussi fait apparaître une grande misère dans la nouvelle classe ouvrière. C’est à ce moment que va apparaître la question sociale et des auteurs vont s’intéresser à la question sociale et aux problèmes de la misère ouvrière. La rupture scientifique : 19éme siècle, siècle de la science, cela va avoir une double influence sur la pensée, naissance de la sociologie. : - les sciences nouvelles (chimie

POINT DE VUE PHILOSOPHIQUE PAR Bernard PIETTRE Professeur de Philosophie Nous craignons le désordre et désirons l'ordre. Nous pourchassons, dans la vie sociale, les fauteurs de désordre. Nous préférons une chambre, un bureau ou des papiers en ordre plutôt qu'en désordre. Nous aimons, de façon générale, nous repérer dans un ordre social, historique, naturel, cosmique. Les notions d'ordre et de désordre relèvent du discours pratique, éthique, politique, voire mythique et religieux. Elles semblent

que les acquis personnels et les compréhensions passées.1 Chaque personne, en tant que sujet de conscience et dans sa relation au monde, n’est jamais neuve. Elle est toute remplie des expériences du passé, les siennes et celles des autres, du milieu social et familial qui est le sien, expériences cristallisées en manières d’être, en préjugés, etc. De ce fait, la rencontre avec la réalité extérieure est sans cesse l’occasion d’une trahison de cette réalité. L’homme vit donc, la plupart du temps, dans