Bergson Conscience Automatisme

dissertation Conscience Sujet : « Faut-il se méfier de sa conscience ? » On sait de nos jours que 30% des accidents de la route sont liés à l’alcool en France, on sait également que des campagnes de sensibilisation sur le sujet sont faites, mais il y’a toujours autant d’accident. En consommant de l’alcool nous sommes conscient du risque que peut entrainer l’alcoolémie. Le fait de prendre la route met en danger les autres et nous même, alors pourquoi n’avoir pas écouter sa conscience et prendre

singulière. En effet il est à penser que de même que Bergson relève dans le sous-chapitre « L’intuition philosophique » de La pensée et le mouvant que chaque philosophe possède une intuition propre à l’origine de sa pensée et que celle-ci aurait demeurée dans son essence la même qu’elle que soit l’époque où aurait vécu le philosophe, chaque individu est disposé à formuler sa représentation particulière et unique de la vie. Et de même que selon Bergson cette intuition se caractérise principalement par

La question du sujet – La conscience et l’inconscient Conscience = savoir, lucidité, connaissance, réflexion qui va avec la raison (cum/scientia), conscience de son état, son corps, son environnement, son rapport aux autres ≠ Inconscience = ignorance de mon été physique, folie, absence de savoir, automatisme des peurs paniques Conscience comme faculté morale : siège de l’évaluation morale, du bien, du mal, la conscience suppose la responsabilité = répondre de ses actes et la volonté ≠ Inconscience=

Faut-il rester soi-même ? L'homme est le seul animal qui dispose d'une conscience réflexive, c'est à dire qui est capable de se penser lui-même et de se vivre dans la singularité : dire "je suis moi-même", c'est dire "je ne suis pas un autre et j'assume la responsabilité de mon originalité". Mais, en même temps l'homme est aussi un être social qui subit l'influence des autres et on peut se demander si cela ne le conduit pas à changer. Il semble bien qu'on ne puisse être soi

Peut-on ne pas savoir ce que l’on fait ? INTRO 1. Savoir, c’est d’abord prendre acte de quelque chose. Je sais que l’autre est là, que j’ai chaud, que nous sommes lundi. 2. En ce sens, il semble que tous nos actes s’accompagnent d’une conscience immédiate. Nous sommes présents à nous-mêmes, on sait donc qu’on est là, que c’est nous et pas un autre. 3. Mais savoir c’est aussi et surtout avoir compris, or comprendre quelque chose, c’est en saisir les causes ou le but, le sens, le contenu. Or si

La conscience I – La conscience, condition essentielle du sujet A – La définition de la conscience Le mot conscience vient du latin « cum scientia » Qui signifie « savoir ensemble », « savoir rassembler ». Au sens général la conscience est le savoir intérieur immédiat que l’homme possède de ses propres pensées, sentiments et actes. Il existe plusieurs sortes de conscience : - La conscience spontanée des choses existant autour de soi La conscience réfléchie de soi, qui demande un certain raisonnement

agir. Peut-on ne pas savoir ce que l’on fait ? INTRO 1. Savoir, c’est d’abord prendre acte de quelque chose. Je sais que l’autre est là, que j’ai chaud, que nous sommes lundi. 2. En ce sens, il semble que tous nos actes s’accompagnent d’une conscience immédiate. Nous sommes présents à nous-mêmes, on sait donc qu’on est là, que c’est nous et pas un autre. 3. Mais savoir c’est aussi et surtout avoir compris, or comprendre quelque chose, c’est en saisir les causes ou le but, le sens, le contenu

poursuive sa route dans une conduite adaptée et voilà que, distrait par une trop jolie personne, il heurte brutalement le poteau du réverbère… On rit même lorsqu’ on se précipite pour lui porter secours. Alors pourquoi rit-on ? Il faut suivre ici Bergson et remarquer que l’objet du rire est toujours l’humain. Le rire est le propre de l’homme parce que l’homme rit de ce qui lui est propre. « Il n’y a pas de comique en dehors de ce qui est proprement humain. Un paysage pourra être beau, gracieux, sublime

simple étiquetage de la réalité comme le montre Benvéniste, Martinet et Bergson) , ma pensée se fait dans le cadre de cette pensée. Aussi on peut par l’intermédiaire de la langue décider en partie pour moi sinon de ma manière de pensée de manière de cerner ce que je pense.  A cela s’ajoute parfois l’inadéquation entre ce que je voulais dire et ce que j’ai dit ou ce qui a été compris. Les mots sont parfois inadéquats ( Bergson, qualitatif et quantitatif) ou porteurs de connotations que j’avais négligées

machine. De même, les mains d’un pianiste jouent parfois sans que celui-ci pense vraiment à ce qu’il fait : il ne joue que par habitude. Donc ce qui fait la vie chez l’homme, que ce soit dans l’art, dans notre mode de vie… procède aussi d'un automatisme mécanique, et non seulement de la réflexion. L’homme a utilisé son esprit pour avancer de manière toujours plus performante dans tous les domaines : art, sciences, philosophie… Nous sommes aussi capable d’effectuer avec une machine de nombreuses