Bergson Conscience être Libre

pour assurer la survie de chaque espèce Mais il ne reste plus rien pour les hommes, leur survie est en péril Prométhée dérobe alors aux dieux le feu (symbole du génie créateur et de l’intelligence appliquée aux besoins de la vie) Homme est un être à part car il lui manque l’instinct qui détermine les comportements (en vue d’assurer leur survie) de toutes les autres espèces Technique se substitue à l’instinct Instinct : désigne chez les animaux, un comportement spécifique, héréditaire, et

l’écoulement du sable. Tous les jours on voit les choses vieillir, grandir, changer et mourir. Cependant c’est justement cette perception du temps qui angoisse. On n’a aucune certitude sur le futur sauf la mort. Ce manque de sécurité sur l’avenir et la conscience de la mort : éminente mais qui surprends font ils notre existence tragique ? Faut il penser le temps comme ce qui s’écoule ou il y a-t-il une autre manière ? L’angoisse du temps est un phénomène bien connu, mais la réponse est aussi bien fameuse :

massivement admise, telle semble être une des démarches les plus anciennes de la philosophie, qui trouve ici son application dans la transformation directe de l’affirmation d’un lieu commun en une interrogation : « Faut-il être de son temps ? » Comme souvent en philosophie, une telle question se décompose en une série de questions. Que signifie par exemple le lien posé ici entre l’impératif et la temporalité ? S’il signifie que nous avons le choix d’être ou de ne pas être de notre temps, il laisse

des siècles, comme un seul homme, qui, de l’enfance à la vieillesse, poursuit sa carrière dans le temps en passant par tous les âges. saint AUGUSTIN, Quatre-vingt trois questions diverses. 2. Néanmoins, pour que notre libre arbitre ne soit éteint, j'estime qu'il peut être vrai que la fortune soit maîtresse de la moitié de nos œuvres, mais qu'elle nous en laisse gouverner à peu près l'autre moitié. MACHIAVEL, Le Prince. 3. Ce n'est pas la fortune qui domine le monde. [...] Il y a des causes

image, l’homme accède ainsi à la conscience et à la liberté. Dialectique du maître et de l’esclave, dans La Phénoménologie de l’esprit (1807), par Hegel. / 1 / Situation initiale : le maître domine l’esclave ; ce dernier accepte d’être esclave pour ne pas mourir. Mais ce dernier va se libérer par le travail. / 2 / Evolution : * le maître se contente de jouir passivement du fruit du travail de l’esclave. * L’esclave extériorise sa conscience dans le monde ; il acquiert progressivement

apparence la vie se montre indifférente à l’égard des efforts qu’entreprennent les hommes lorsque ceux-ci ont en vue de créer leur propre sens de la vie. Cela découle peut-être du fait qu’il faille plutôt chercher un sens à la vie indépendamment de la volonté humaine, comme si la vie était à considérer comme une force dotée de conscience et dont l’homme n’en n’est qu’une représentation dans le monde matériel. Cependant, de la contrariété qu’il y a à reconnaître un sens à la vie qui précède l’homme, nous

d'avoir des règles ? (Action) "Soyez réalistes, demandez l'impossible!" (Action) "Repartir a zéro " Quels thèmes / idées peut-on employer pour répondre et argumenter le thème ? (Action) Est-il bon d'avoir peur? (Action) L'action pratique peut-elle etre autre chose que la recherche du moindre mal ? Que faire ? (Action) Qui veut ne se contente pas de juger et de condamner. Qui veut agit. "Alea jacta est" (Action) Bien faire Qu'est-ce que réussir ? Y a-t-il des actes indifférents ? (Action) Qu'est ce

leur est propre. C’est alors ces sociétés qui décident de ce qui est bien et de ce qui ne l’est pas. Ainsi la morale devient un fait social mais également une entreprise subjective. En effet, l’homme obéit à la société car elle lui apporte un bien-être matériel et intellectuel. Il se laisse alors juger par elle et devient en quelque sorte dépendant. En fonction du système dans lequel il vit, l’homme va se voir attribuer des devoirs et devra respecter des lois dites morales caractéristiques de sa

C’est-à-dire un être qui existe. Tous les êtres qui existent. C’est le contraire de l’imaginaire. Si on prend l’univers entier, le nombre des choses qui existent dépasse la connaissance de l’homme. On a une expérience ou on peut avoir une expérience (exemple je n’ai pas l’expérience de la Tour Eiffel mais lorsque je vais à Paris je peux en faire l’expérience) pour prouver que tout existe. Maintenant s’il n’y a pas d’homme, la réalité n’existe pas. L’existence n’existe que parce qu’il y a une conscience qu’elle

pour être libre? Les réflexions consacrées au travail laissent apparaître une opposition sur la relation existant entre travail et liberté. Certains sont persuadés que du travail découlent une libération de l'esprit et une humanisation évidentes alors que d'autres pensent que le travail aliène, asservit et est source de contraintes. Ce sujet met en question cette relation entre le travail et la liberté, sous l'angle particulier de la nécessité. Est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être, ni