Bergson Dans Des Conditions Déterminées La Matiere Se Comporte

culture, l’ensemble des pratiques spécifiquement humaines dans le culturel. Cette vision avaliserait autant le fatalisme selon lequel un destin inéluctable gouverne le monde et les hommes que l’innéisme biologique selon lequel l’humanité serait déterminée par son génotype dans ces caractéristiques physiques et dans son comportement social. Une telle vision déresponsabiliserait l’homme de ses actes quels qu’ils soient car son essence précèderait et prédéterminerait son existence. Penser l’homme comme

Catherine Malabou Le temps Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Edition numérique : Pierre Hidalgo La Gaya Scienza, © octobre 2011 1 Table des matières Introduction .................................................................. 6 Abords de la question ...................................................... 6 La définition du temps et son destin ontologique............ 9 La question de l’être du temps ............................ 10 La résistance du temps ...................

et aussi pour les commentaires pertinents qu'il m'a faits et qui m'ont permis de recentrer mes analyses sur le roman à l'étude. TABLE DES MATIÈRES LISTE DES TABLEAUX vi RÉsUMÉ vii INTRODUCTION 1 CHAPITRE 1 LE SCHÈME SENSORI-MOTEUR 1.1 La Route des Flandres et le cinéma 21 22 1.1.1 La narrativité au cinéma 23 1.2 Le premier chapitre de Matière et mémoire 25 1.2.1 Les centres d' indétermination 28 1.2.2 L' intervalle 29 1.3 La formule SAS' 31 1.3.1 Les trois types d'images

pensée ne conviennent qu’à l’homme. Cf. Discours de la méthode, V. Théorie de Descartes : pour lui il n’existe que deux sortes de réalités mais bien séparées l’une de l’autre : la matière et l’esprit. Il n’y a que deux « substances » : « la substances étendue » et la « substance pensante ». * La matière se définit par ce que Descartes appelle l’étendu et le mouvement càd des propriétés géométriques et mécaniques seulement. * L’esprit (substance pensante) n’a aucune propriété mécanique

et la pensée ne conviennent qu’à l’Homme. Cf. Discours de la méthode, V. Théorie de Descartes : pour lui il n’existe que deux sortes de réalités mais bien séparées l’une de l’autre : la matière et l’esprit. Il n’y a que deux « substances » : « la substances étendue » et la « substance pensante ». La matière se définit par ce que Descartes appelle « l’étendu et le mouvement » càd des propriétés géométriques et mécaniques seulement. L’esprit (substance pensante) n’a aucune propriété mécanique

technique est ce qui nous rend « comme maîtres et possesseurs de la nature. » (comme car c’est une réserve de la part de Descartes, Dieu étant considéré comme le vrai maître de la nature.) La technique apparaît à tel point comme un développement que Bergson propose de ne pas définir notre espèce comme "homo sapiens sapiens" mais comme "homo faber", un fabricateur plutôt qu’un savant. La valorisation de la technique comme facteur de progrès reste profondément ancrée dans la mentalité moderne : d’après

question et la première question que tout homme se pose « Pourquoi travailler ? ». Ensuite vient la question « Comment atténuer la pénibilité du travail ? ». La technique est l’ensemble des moyens artificiels que l’homme a inventé pour améliorer les conditions de travail et atténuer la pénibilité de celui-ci Le travail est il une malédiction ? * Tradition Biblique : La Genèse, Dieu a dit « Tu travailleras à la sueur de ton front » suite à la désobéissance d’Adam et Eve. * Hypothèse du travail

peut être appris d'après une règle quelconque». Les beaux arts doivent donc nécessairement être considérés comme des arts du génie. Que faut-il entendre par génie sinon « un talent qui consiste à produire ce dont on ne saurait donner aucune règle déterminée » ? Certes, l'art, comme toute production, exige des règles, mais celles ci ne pré-existent pas à l'œuvre. Aussi le génie peut être définit plus précisément comme le talent naturel de « donner des règles à l'art ». Il n'obéit qu'aux règles qu'il

l’analyse des notions de temps et de vitesse. Et aujourd’hui, la technique moderne n’est plus qu’une application systématique de connaissances scientifiques : il n’y a pas de microscope sans connaissance des lois de l’optique, pas de fabrication de matières plastiques sans connaissances en chimie et pas de clonage animal sans connaissance en génétique. Raison pour laquelle on parle de “ technoscience “ pour qualifier la technique moderne. Les relations entre sciences et techniques sont donc des relations

au mythe le pouvoir d’assurer  aussi bien le côté ténébreux que le côté lumineux de la condition humaine. Bien plus, le sacré c’est ce qui nous attire et nous fait peur.  Le mythe porte l’’expérience des grands récits d’origine, de porté cosmique ou anthropogenèse devient une partie de la cosmogénèse comme en témoigne Mircea Eliade. En décrivant comment le monde  a commencé, le mythe dit comment la condition humaine a été engendrée sous sa forme globalement misérable. C’est pourquoi le problème