Bergson La Conscience Et La Vie

n'est pas nôtre mais qui s'exerce sur nous. - État affectif intense et irraisonné qui domine quelqu'un - par opposition à l'action. -> les désirs sont multiples et divers dans la vie. La passion implique une unification du désir. -> Une passion est un désir dominant,exclusif,suffisamment puisant pour envahir toute la vie de l'esprit et polariser une existence sur un seul sujet. En dehors de l'intérêt porté à l'objet passionnel plus rien n'importe. Tout l'univers du passionné converge vers un unique

tarderait pas à leur ravir l’autre »Rousseau, Du contrat social.               Chez les Grecs, la liberté (eleutheria) désigne avant tout ce que l’on appelle aujourd’hui liberté politique. C’est la liberté du citoyen en tant qu’il participe à la vie politique et qu’il n’est pas soumis à un pouvoir despotique, tyrannique. Le citoyen grec se définissait par opposition à l’esclave comme l’homme accompli à l’homme n’ayant pas développé les possibilités de la nature humaine. L’esclave, parce qu’il ne

intellectuellement. Outre sa fonction magique, créatrice, le langage sert également et peut-être prioritairement à agir sur autrui. Le langage et la pensée sont indissociablement liés. 1. Le problème du langage animal A. L’homme, un être qui parle Pour Bergson, l’homme se définit d’abord comme homo faber. Mais pour un linguiste il est fondamentalement homo loquens, c’est à dire homme de parole. L’homme est donc avant tout un être qui parle. Du coup la question de l’origine des langues, débattue par les

CHEIKH Myriam Chiraz T°ES2 Sujet : La conscience que j’ai de moi-même épuise-t-elle ce que je suis ? « L’homme est conscience de soi ». Par ces mots, Alexandre Kojève, dans sa lecture de l’œuvre hégélienne, veut nous faire comprendre que l’homme se définit par la conscience qu’il a de lui-même et que c’est en ce point qu’il se distingue de l’animal. Cela signifie que l’être humain va au-delà d’une simple connaissance spontanée liée à son affectivité et son intuition mais il parvient

(Kant). Ici ce n’est plus seulement la liberté d’action qui est compromise, c’est l’usage entier de mes pensées, c’est toute ma conscience qui est « malade ». L’homme portant le fardeau du passé honteux ne peut que « souffrir de réminiscences » et s’enfermer dans la maladie. Si la liberté exige une conscience clairvoyante pour me garantir de diriger moi-même ma vie en sachant ce que je fais, le passé ici m’en prive totalement pour me rendre dépendant d’un inconscient pathologique ! Pour

Faire son devoir sans être heureux, est-ce toute la morale? Bon nombre d’entre nous viendraient à définir un devoir et le bonheur comme nous nous les représentons dans la vie de tous les jours; c’est-à-dire comme une obligation et la satisfaction d’un désir. Or, le bonheur, ici représente l’état de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du coeur et de l'esprit de l’individu qui serait «heureux». Le devoir lui, représente effectivement une obligation interne qui serait donc morale

matériel au sens imaginaire. Théorie de la matière-image de Bergson : utile car la conception de Bergson permet de montrer que l’imade intermédiaire : mise en relation de nous même et du monde. Bergson : le corps est par rapport aux représentations un instrument de sélection, il ne saurait ni engendrer ni occasionner un état intellectuel. Le rôle du corps n’est pas d’emmagasiner les souvenir mais simplement de choisir pour l’amener à la conscience distincte. LA mémoire est libre : il ne peut alors

raison et l'autre à tord. I/Les origines historiques de la philosophie Philosophia apparait au 6e siècle av J-C avec Pythagore. Il vient de philein: aimer et sophia: sagesse, le savoir. Philosophe veut atteindre le bonheur, bien conduire sa vie ( aspect moral). Seul la vérité nous permet d'atteindre, d'approcher le bonheur. 1) Le questionnement socratique Socrate est nommé le « père de la philosophie ». Pensée pré-socratique fondée sur les mythes, relation Dieu-Hommes mais on ne parlait

Quelles peuvent être les raisons qui permettent d’avoir foi en l’homme, en l’humanité en dépit de toutes les horreurs dont il est capable et dont les actualités nous abreuvent quotidiennement ? Car si on ne croit pas en l’homme, alors notre vie n’a pas plus de sens que celle des animaux dont les espèces n’évoluent qu’afin de survivre aux conditions naturelles. L’humanité serait-elle figée, n’évoluerait-elle que comme les espèces animales, c’est-à-dire, uniquement en fonction des facteurs

peut pas s’exprimer, la liberté physique est un leurre. Enfin, la Vraie liberté qui est l’aboutissement de la liberté de penser voir même une des raisons d’être est la liberté d’être Soi en s’élevant spirituellement. Elle permet d’œuvrer avec une conscience renouvelée et d’ouvrir de nouvelles portes. Par elle nous comprenons que « toi et moi ne faisons qu’un » et que ce n’est pas une faiblesse à tendance bisounours que de vouloir le meilleur pour les autres. Le civisme  : «Etre