Bergson Le Langage Les Fourmis

Audencia. 1913/1978, L’incertitude qui vient des rêves, 1956. Remarque : Nos rêves, par le souvenir que nous en gardons, nous fascinent. Ne seraient-ils pas l’expression de nos désirs inconscients ? En réalité, on peut être piégé par un fait de langage : le « rêve » en est venu, subrepticement, à signifier « désir irréalisable ». C’est une illusion : oblitération (oblitérer : effacer peu à peu) de la différence radicale entre le rêve et la rêverie. Le rêve nous place dans l’aliénation, la rêverie

conscience, la manière dont je me rapporte au fait que les choses passent. Intensités variables, réversible (voyage possible dans le temps de la conscience). Proust, l’épisode de la madeleine : le souvenir présence du passé, perception complète. BERGSON : si nous avons besoin du temps pour organiser notre vie, nous sommes intimement lié à la durée. Soucis : vient de sollicitare (secouer/agiter violemment). L’inquiétude, le trouble. L’agitation intérieure. Chez Heidegger le sens philosophique,

en société. Par exemple, en construisant des établissement scolaires où chacun possède une fonction formalitaire, soumise à un odre hiérarchique, et à un règlement intérieur. Engendrant une meilleure cohésion sociale. Dans le même état d'esprit, Bergson parle de la religion en tant qu'Amour universel, fondé sur la morale ouverte cet à dire des valeurs qui dépassent notre simple particularité pour pouvoir aimer notre prochain et ainsi vivre de manière plus proche. De ce fait, l'Homme de tous temps

2004 / Louis-Roi-Boniface Attolodé, Quelques repères sur le langage QUELQUES REPERES SUR LE LANGAGE Par Louis-Roi-Boniface Attolodé Inspecteur de spécialité Coordonnateur Pédagogique National de Philosophie CNFC/ DAKAR On est tenté de placer le langage parmi les Institutions humaines et cette façon de voir présente des avantages incontestables : les institutions humaines résultent de la vie en société ; c'est bien le cas du langage qui se conçoit essentiellement cornme un instrument de communication

Le langage = instrument ? Le pb majeur que pose le langage c’est de savoir si le langage est oui ou non un instrument. Autrement dit, on s’interroge sur la relation entre le langage ou la pensée. Si on parle d’un instrument, on parle aussi de quelqu’un qui est actif, de qqun qui en est distinct et qui se sert de l’instrument. Un instrument sans acteur n’est plus rien. (la guitare ne devient un instrument de musique que s’il y a qqun qui joue avec) Si on dit donc que le langage est un instrument

l'histoire ou enchaînement d'actions qui est à la base d'un récit imaginaire, quel qu'il soit. C'est en ce sens que, dans la Poétique, Aristote désigne la « fable » comme un des six éléments qui constituent une tragédie, conjointement avec les mœurs, le langage, la pensée, l'appareil scénique et la mélopée3. Le mot fable vient du latin fabula (« propos, parole »), qui désigne le fait de parler en inventant (d'où dérive aussi le terme « fabuler »). En grec, il n'y avait pas non plus de mot spécial pour nommer

bien compte que la spécificité culturelle de l'Homme rencontre des limites. Inversement, il n'y aurait selon Bergson, qu'une différence de degrés entre l'intelligence des différents êtres vivants, et non une différence de nature. En effet, certains êtres vivants communiquent grâce à un langage qui leur est propre, comme par exemple les dauphins et leurs ultrasons. D'autre, comme les fourmis créée une société, et font la preuve d'une intelligence collective...Bien plus encore, alors que l'inconscient

lumière. Le langage Si l’on admet que la culture commence avec des formes socialisées de transmission où « j’apprends des autres », on voit bien que la question du langage est centrale. Dans une langue s’est déposée, sous forme symbolique, une masse immense de connaissances, construite, transformée et enrichie par une communauté de morts et de vivants. L’évolution des modes de communication doit être distinguée de celle de l’origine des langues. L’art C’est comme le langage. Il faut d’abord

titre « De la topique à la figuration spatiale ». Mais, en articulant ses contenus sur la rencontre disciplinaire de la philologie, de la rhétorique et de la sémiotique qui trouve un beau cas d’école dans la réflexion sur la spatialité dans le langage, il en modifie de nombreux aspects. La sémiotique entretient avec la linguistique des relations complexes, parfois méfiantes, parfois ombrageuses. Il ne m’appartient pas de faire la genèse de ces problèmes de famille, ni d’en exposer aujourd’hui

Intelligence : raisons – instrument universel / Langage, « art de composer des discours », pour communiquer, pour penser 2 moyens de distinguer l’homme de la machine  Usage du langage : pour l’homme, le language est une COMPOSITION de paroles et de signes : dont le but est la déclaration ou l’expression de nos pensées (+ de nos émotions) et le moyen : Tous les outils de communication, c'est-à-dire la parole, les mots, la gestuelle (y compris le langage des signes), la danse, le théâtre, cinéma :