Bergson Le Poète Est Ce Révélateur

Roşioru est né le 15 novembre 1976 dans la ville de Hârşova, dans la région de Constanţa, en Roumanie. Il est marié, depuis 8 novembre 2004, avec MirelaGeorgeta Roşioru (née Mulţescu) : leur fils, Sorin-Ion Roşioru, est né le 11 novembre 2005. Il est poète, prosateur, essayiste, traducteur, critique littéraire, rédacteur de la revue culturelle « Tomis » de Constanţa (depuis le 1er août 2000), ancien enseignant (entre 1999 et 2005 ; entre 2002 et 2005, il a été aussi maître assistant à l’Université «

Alexander Doroszlaï, après d'autres (cf. Adelin C. Fiorato, «L'empreinte du réel dans l'invention utopique de la Contre-Réforme», in Discours littéraires etpratiques politiques, Sorbonne Nouvelle, 1987), s'attache à étudier «penché sur son planisphère le poète (qui) embrasse du regard le monde entier.» EÁrioste lui-même s'est présenté (Satire III, 58-66) comme l'homme qui s'embarque «plus sûr avec les cartes qu'avec les grands vaisseaux.» C'est donc tout autant le pouvoir de l'image que celui du texte

morbide, mais au contraire à stimuler sa volonté, sa créativité, sa vie, à le pousser à l’action et au dépassement de soi. L’artiste ne doit pas montrer le ciel à son public, mais lui donner des ailes : Attrait de l’imperfection. – Je vois ici un poète qui, comme tant d’hommes, exerce un plus grand attrait par ses imperfections que par ce qui sous sa main s’arrondit et prend une forme parfaite – c’est même sa suprême incapacité, bien plus que la richesse de sa force, qui lui confère son avantage

morbide, mais au contraire à stimuler sa volonté, sa créativité, sa vie, à le pousser à l’action et au dépassement de soi. L’artiste ne doit pas montrer le ciel à son public, mais lui donner des ailes : Attrait de l’imperfection. – Je vois ici un poète qui, comme tant d’hommes, exerce un plus grand attrait par ses imperfections que par ce qui sous sa main s’arrondit et prend une forme parfaite – c’est même sa suprême incapacité, bien plus que la richesse de sa force, qui lui confère son avantage

et spectateurs étaient rassemblés dans un même lieu. Toutes les classes de la société assistaient, en même temps, au même spectacle. Le théâtre grec. Platon oppose deux modes d’écriture : la mimésis, ou imitation parfaite, dans laquelle le poète donne l’illusion que ce n’est pas lui qui parle, mais ses personnages, et la diégésis, ou récit pur, dans lequel il perle en son nom. Platon abordant le théâtre d’un strict point de vue de lecteur (et non de spectateur, puisqu’il ne parle pas du

..........................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac : « Chanter la révolte » ..............................................

..........................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac : « Chanter la révolte » ..............................................

l’énervement qui se fait de plus en plus vif du marquis et le flegme du domestique qui sait, qui devine, souligne l’extravagance de l’étourdi qui perd contact avec la réalité. Parfait exemple des analyses de Bergson, le marquis manque de l’élasticité nécessaire à la vie sociale et « le rire, écrit Bergson, en est le châtiment ». Exercice 6* 168 1. La répétition de l’adjectif anglais crée un effet comique seulement pour le lecteur. On aurait du mal bien sûr à représenter une soirée anglaise, un

paragraphes rédigés 1. Le souvenir ne s’oppose pas à l’oubli ; au contraire, il participe d’un même mouvement permettant à l’individu de se construire. De ce point de vue, au même titre que le souvenir, l’oubli a un sens et une portée symbolique ; il est révélateur de ce que nous sommes. C’est ce qu’explique Marc Augé dans son essai et c’est aussi ce qu’illustre « Le Dernier Amour du prince Genghi » de Marguerite Yourcenar, puisque l’oubli du personnage se porte sur le prénom de la seule femme qui l’a jamais

poésie et remarque que, durant le processus de création littéraire, la chose observée devient signe. «L'empire des signes, c'est la prose; la poésie est du côté de la peinture, de la sculpture, de la musique.» (pp.17-18), affirme Sartre. Si pour le poète le mot est un matériau au même titre que la couleur pour le peintre et les sons pour le musicien, pour le prosateur les mots ne sont pas des objets mais ils désignent des objets. Le deuxième chapitre de l’essai sartrien s’ingénie à répondre