Bergson Nous Ne Voyons Pas Les Choses Mêmes

vingt ans, en quinze jours mais d’affilée, quinze jours sans interruption. Et puis je ne l’ai plus jamais rouvert. (...). C’est comme Bergson, que l’un de mes biographes m’attribue comme source directe et que je n’ai absolument pas lu ! Bergson, je ne connais pas ! (...) Pourtant, aujourd’hui encore je me vois accrocher ces étiquettes-là : Proust et Bergson ! » 3 Jacques Aumont, Michel Marie, l’Analyse des films, deuxième édition, Paris, Nathan, 1999, (Nathan, 1988, première édition), p121

| | | |Henri BERGSON (1859-1941) | | | |

il y a de l'aperception (petite perception). La conscience n'est pas très loin de l'aperception. Il y a t il un début de conscience pour les animaux ? Pour l'instant, le 27 Mai 2010, on a jamais montrer de conscience animal. Mais on a montrer des choses qui y ressemble. Par exemple, chez les grands singes, comme faire semblant de ne pas avoir trouver de nourriture qu'on a trouvé. Certains professeurs ont parler de cogito kantien. En effet, dans la « Critique de la raison pure », les perceptions vont

dont est extrait ce conte : A la pointe extrême du Kamtchatka romantique. "Les trois filles d'un roi qui portait en permanence un casque de football américain sur la tête s'étaient rendues célèbres par leur tendance à trébucher sur les choses. Leur père demanda à un grand professeur de leur apprendre à regarder devant elles. Le grand professeur, qui s'était recyclé dans le moulage des empreintes de pneus, s'inclina à plusieurs reprises, puis prenant la main que lui tendait le roi, il la

l’humide, le dur, les couleurs) sont subjectives, ce ne sont pas des propriétes physiques des corps eux-mêmes. Cette idée, qui pour nous est extrêmement évidente, a mis du temps à le devenir, et Descartes est, avec Galilée, celui qui est parvenu à l’établir et à ouvrir ainsi la voie de la physique. Que sont donc les corps matériels s’ils ne sont pas en eux-mêmes tels qu’on les perçoit ? des choses étendues, figurées et en mouvement ou en repos. Voilà les seules propriétés qui leur conviennent vraiment

c’est d’abord être affecté par quelque chose, aussi la conscience peut-elle apparaître comme essentiellement réceptive, voire passive. La conscience est-elle libre, ou déterminée ? La conscience signifie-t-elle l’acceptation résignée de l’ordre des choses, ou se définit-elle au contraire par s Les définitions des notions apparues dans le dialogue les données de la conscience sont extrêmement lacunaires. » F Métapsychologie, 1 Les notions-outils Les pensées de plusieurs auteurs feront

conscience de chose et réciproquement. La conscience d’image ne se développe qu’en donnant congé provisoirement au Monde de la vigilance, sans que pour autant la conscience ne tombe dans la torpeur d’un sommeil. La vigilance suppose une conscience des choses et une conscience du Monde, une tension caractéristique qui appelle une surveillance . Cette tension de la surveillance est celle qui justement doit se relâcher pour que je m’évade et me livre tout entier à des images. D’un côté, il y a donc le réel

nature, s’organise selon des lois, des normes, d’après des habitudes et des représentations morales. A ce titre tout homme est cultivé ou presque pcq ils appartiennent tous ou presque à une société ? Le problème c’est que ca semble impliquer plusieurs choses : un relativisme des valeurs culturelles cad que si tout homme est cultivé, toutes les cultures se valent , où s’arrête le champ d’application de cette définition ? Cela implique que la culture s’applique a un groupe d’hommes (entreprise, famille

fantastique de plusieurs manières et le surnaturel se manifeste dans un prolongement de la figure rhétorique. Dans Le Horla il y a plusieurs exemples des figures rhétoriques qui nous font penser au fantastique car l’exagération conduit au surnaturel14. Voyons quelques extraits de ce conte qui illustrent le fantastique à travers les figures de style où le personnage principal du Horla exprime son angoisse pour la menace que cet être surnaturel représente pour lui : « 12 mai comme si quelque malheur m’attendait

 Henri BERGSON (1859-1941) La pensée et le mouvant ESSAIS ET CONFÉRENCES. (Articles et conférences datant de 1903 à 1923) Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, bénévole Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et