Bergson Quadrige

que nous comprenons notre situation dans le monde qui nous entoure. C'est ainsi qu'il est utile d'examiner le produit de notre travail, ou de quelque autre forme d'expression à laquelle nous avons eu recours ; la conscience de soi se doit, selon Bergson, d'être connaissance de ce que nous avons exprimé, de la part de nous que nous avons transféré en dehors de nous-mêmes. Il n'est alors, en pratique, pas souhaitable de n'exprimer que ce dont nous avons conscience. Plutôt que de chercher à conrtôler

Mémoire, Bergson a critiqué la théorie de Ribot ; et les faits mis en lumière par la neurologie paraissent, aujourd'hui encore, confirmer les critiques bergsoniennes. D'après Bergson, le souvenir ne peut pas être conservé par le cerveau car l'expérience montre que la destruction d'un territoire cérébral supprime non les souvenirs correspondants, mais seulement la possibilité de leur évocation dans certaines conditions. III ] LA MEMOIRE BERGSONIENNE A – DISTINCTIONS BERSONIENNES Bergson s’attaque

philosophique Henri Bergson est un philosophe français du début du 20 éme siècle vécue de 1859 à 1941. Bergson était un professeur de philosophie qui fit plusieurs apparitions sur la scène politique international entant que représentant de la France .Pour sa participation à la création des nations-unies. Du point de vue philosophique Henri Bergson écrit plusieurs ouvrages dont « L’essais sur les donnée immédiates de la conscience» en 1889. Dans cet ouvrage Bergson développe sa thèse allant

table », février 1991), sur les façons dont on a pu apprendre à se tenir à table, au cours de l’Histoire, et sur les objectifs visés par cet enseignement plus ou moins forcé. Devant les élèves du lycée de Clermont-Ferrand, en 1885, le philosophe Henri Bergson distingue une « politesse des manières », un partage équitable de la considération qu’on porte à autrui, et une « politesse de l’esprit », une intelligence vive et généreuse de la diversité des relations humaines (« La politesse », Ecrits et paroles

ou, si vous voulez de création, que nous distribuons sur notre conduite. Tout porte à croire qu'il en est ainsi de la conscience en général. Si conscience signifie mémoire et anticipation, c'est que conscience est synonyme de choix." BERGSON  Analyse du texte: Bergson part d'un observation: la conscience qui accompagne nos actions spontanées disparaît dans les actes automatiques.Il propose ensuite des exemples: * La situation d'apprentissage: quand nous apprenons quelque chose, nous sommes conscients

se rapprochant du cynisme. Au sens strict, on distingue l’humour, manière de faire rire de soi, et l’esprit, manière de faire rire les autres. Parlez-moi d’humour… Il n’ y a pas de comique en dehors de ce qui est proprement humain. (Henri Bergson) Redite moi des choses drôles ! Je ne suis pas las de les entendre... On peut tout dire avec humour, aborder tous les sujets : la mort,  l'amour... et même le nazisme (Chaplin, Le Dictateur) ou les camps de concentration (Benigni,  La vie est

extrait de l’ouvrage de Jean de La Bruyère, les caractères ou les mœurs de ce siècle « De la ville » en 1688 et qui dénonce avec distance et humour les excès et les injustices de la société à laquelle il appartient. Le second est un extrait d’Henri Bergson, Le rire .Essai sur la signification du comique en 1899 Il s’agit de donner à la personne une impression pénible et par conséquent le rire ne peut être empreint d’aucune bonté à l’égard de sa victime. Le troisième d’Axel Khan, L’homme ce roseau

| | |Établissement d’affectation* : ( CFA Stephenson PARIS |( Lycée Bergson PARIS | |Lycée St Exupéry CRETEIL |( Lycée Paul Eluard St DENIS | |Lycée G. Braque ARGENTEUIL

Le rire, Henri Bergson 1. Le rire garantit une certaine inertie de la société 2. Le rire dans la sphère littéraire 3. Le rire comme puissance régénératrice s'affirmant au travers de l'écriture et de la création Résumé de l'exposé « Le rire est, avant tout, une correction. Fait pour humilier, il doit donner à la personne qui en est l’objet une impression pénible. La société se venge par lui des libertés qu’on a prises avec elle. Il n’atteindrait pas son but s’il portait la marque de

paradis enfantin. La poésie et le rêve nous enlève à notre désolante solitude. Du fond des fonds de la tristesse qui nous avait détournés de la vie s’élève le chant de la plus pure allégresse. Henri Bergson, p20 recueil Audencia. 1859/1941, Les deux sources de la morale et de la religion, 1932. Bergson : il semble y avoir une sorte de contradiction dans la nature humaine, intelligente et sociale, (lignes 1-5), bien que celle-ci soit un des deux aboutissements de l’évolution de la vie animale (l’autre