Bergson Robinson

Newton ! III. LA PERSISTANCE DE LA CROYANCE ET SA NECESSITE DANS LE MONDE RATIONNEL * La croissance est nécessaire à la vie, la vie est dans nos rêves, la religion est le rêve de l’humanité, remède contre la mort contre le découragement. BERGSON –les deux sources de la morale et de la religion- 1932. * Cercle vicieux car la religion affaiblit la société qui l’a créé et se maintient ainsi (Nietzsche – le gai savoir) * Donc la croyance a une raison d’être, bien que l’on puisse penser

respecte rien, elle n’à qu’un moyen, transformer toute chose en moyen, elle est désacralisante. ». - La morale doit constituer la conscience de la technique. Cf. Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » (Pantagruel). - Henri Bergson : nous devons enrichir la science et la technique d’un supplément d’âme. Retrouver les anciens sujets de philosophie du Baccalauréat Ivoirien sur : www.ledozophilosophique.netne.net 3

notre existence en tant qu’humain. C’est-à-dire que nous croyons savoir ce qui opposent les bonnes aux mauvaises moeurs. Or, nous nous retrouvons confronté au choix moral et à notre «mode de vie» qui, ensemble, sont devenue mystérieux pour nous. Bergson qualifierait cette situation de morale «close». Ce dont il est question à présent est, est-ce que cette morale dîtes «close» serait pour nous, humain, une sorte de domestication progressive devenue de l’automatisme à force de vouloir différencier

Texte de BERGSON. S'interroger sur le language, reviendrait à s'interroger sur l'essence même du moyen de communication, qui souscrirait l'expression d'un objet, ou d'un sentiment. Henri Bergson, philosophe de la première moitié du XXe siècle, étudie dès lors ce concept original. D'après ce texte, le language serait donc dans l'incapacité de transposer la pensée de manière correct, et qui serait malheureusement à l'origine d'une fausseté par rapport à la réalité de ce que nous pensons intérieurement

qu’à l’allonger [conscience de l'autre animal]. Avec l’homme, la conscience brise la chaîne. Chez l’homme, et chez l’homme seulement, elle se libère.". Bergson, Evolution créatrice. Ainsi conscience chez l'Homme rime avec libre et potentiel infini. Ce sui lui permet d'être également satisfait, grâce à sa conscience. - Conscience pour Bergson veut dire choix. Et en effet, à partir du moment où un être a une certaine intuition de soi et de la réalité qui l’entoure, il peut prendre par rapport à

La conscience et la vie INTRODUCTION Bergson est un philosophe français (1859-1941). L’énergie spirituelle, œuvre dans laquelle on trouve notre conférence, est un recueil de divers essais et conférences que Bergson publia en 1919. Bergson publiera ainsi deux recueils, le premier est l’énergie spirituelle, qui traite de problèmes de psychologie et de philosophie, tandis que le deuxième, la pensée et le mouvant, traitera de la méthode philosophique. L’unité des divers problèmes de notre recueil

l’égoïsme et la conscience. Celui qui choisit la conscience est l’homme libre. » Ainsi l’auteur nous indique que la conscience est synonyme de liberté. Choisir la conscience, c’est choisir la liberté. Selon lui, liberté et conscience sont la même chose. Bergson, lui, a écrit « Radicale est la différence entre la conscience de l’animal, même le plus intelligent, et la conscience humaine. Car la conscience correspond exactement à la puissance de choix dont l’être vivant dispose ; elle est coextensive à la

Explication rédigée du texte de Bergson, extrait de L'évolution créatrice S'il est un être qui intrigue le philosophe, c'est bien l'animal. On serait bien tenté de ne voir en lui qu'un être sans âme, duquel l'esprit est totalement absent, mais n'est-ce pas oublier que, comme son nom l'indique, nous avons affaire à un être animé, c'est-à-dire un être en mouvement et dont les mouvements sont imprévisibles. Je peux en effet, calculer la trajectoire que suivra la chute d'un corps purement matériel

Bergson : « L'évolution créatrice » Dans ce texte, Bergson parle du rôle des inventions dans la vie de l'Homme, en mettant en évidence que les inventions sont l'une des principales occupations de l'Homme, et que notre vie tourne autour d'elles. On peut tirer de ce texte la question suivante : « Que fait l'Homme à part créer des outils ? » . D'après l'auteur, l'Homme ne se préoccupe que de la création d'outils durant toute sa vie, et ce serait même sa marque d'intelligence. Ces outils

comportement particulier. En définissant le comique comme « du mécanique plaqué sur du vivant » (Le Rire. Essai sur la signification du comique, 1964), Henri Bergson privilégie l'inadaptation à une situation donnée. Un homme qui trébuche peut être comique dès lors qu'il n'a pas vu un obstacle qu'il aurait dû contourner. Or cet écart est ramené par Bergson à un mécanisme de groupe et, plus exactement, à une réponse de la majorité à un comportement jugé inapproprié. Ainsi le comique frappe-t-il ce qui s'éloigne