Bernard Accoyer

compagnon de l’homme. Il est une aide précieuse pour l’homme dans les situations les plus délicates. Le Saint-bernard est un chien bien adapté à la neige car il ne craint pas le froid. Le plus connu d'entre eux est Barri qui en 12 ans a sauvé 40 personnes ensevelies sous la neige. Il est mort en 1814 et a été naturalisé au musée de Berne ( en Suisse). De nos jours, le Saint-Bernard a été remplacé par le Berger-Allemand pour effectuer les recherches lors des avalanches. Les chiens permettent aussi

Appréciation : 2/5 Je n’ai pas aimé cette histoire, parce que je trouve l’intrigue principale sans intérêt. Je trouve l’histoire banale. Je considère d’ailleurs qu’un récit d’anticipation peut être beaucoup plus amusant à lire. Il n’y a qu’à lire du Bernard Werber pour en avoir la preuve. Le seul point positif que j’ai trouvé à cette histoire : la façon dont l’auteur a démontré avec ironie l’égocentrisme du chef Angora, c’est ce qui fait l’histoire, selon moi. Le Uhu (page 23) -le récit fantastique-

BERNARD WERBER, Les Fourmis, Paris, Le Livre de Poche, 1993, 312 pages RESUME : Jonathan Wells est serrurier et hérite d’un appartement qui appartenait à son oncle Edmond. Ce grand appartement se situe au sous-sol mais la situation financière de Jonathan ne lui permet pas de refuser cet héritage. Il décide de s’informer sur cet oncle qu’il connaît très peu et se rend chez sa grand-mère, la mère d’Edmond. Il tombe sur un message de son oncle qui lui est destiné car Edmond avait prévu que son neveu

I. Introduction . L’œuvre se nomme « Les Fourmis », écrit par Bernard Werber . Edition : « Le Livre de Poche » . Le livre a été publié pour la première fois en Avril 1993 . Le genre du roman est à la fois scientifique et aventurier. II. Les personnages . Les 2 personnages principaux sont : La fourmi n°327 : Une fourmi (2 griffes à chaque patte – sang transparent – antenne longue et sensible– belle cuirasse rousse – fourmi rousse des bois

grande difficulté à rendre compte de la reproduction qui est une des fonctions principales du vivant. D'un autre côté, le vitalisme semble purement verbal en invoquant un principe vital qui ne peut rendre compte de ce qu'est le vivant.C'est Claude Bernard qui, en définissant les règles de la méthode expérimentale pour l'étude des phénomènes vitaux et en introduisant le concept de milieu intérieur, va dépasser ces deux impasses et fonder la physiologie comme connaissance de la chimie du corps. En découvrant

du défi. Posez donc la question aux visiteurs médicaux qui portent la cangue lorsqu’ils franchissent la porte des cabinets médicaux : brocardés en janvier dernier par l’ancien Haut commissaire Martin Hirsch -qui fut aussi directeur de cabinet de Bernard Kouchner à la Santé, ils subissent aujourd’hui la mauvaise humeur des médecins de ville (qui ne veulent plus les recevoir) et l’agressivité des patients qui les traitent d’ « empoisonneurs ». Fichu métier ! Déjà victimes des coupes claires dans leurs

Ce que vous avez envie d'entendre  Ce que vous croyez entendre  Ce que vous entendez  Ce que vous avez envie de comprendre  Ce que vous croyez comprendre  Ce que vous comprenez  Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer.  Mais essayons quand même...  Bernard Werber  Cet Ebook est l’outil qui va vous permettre de faire vos premiers pas dans le monde fascinant de la communication non-verbale. Si le sujet vous intéresse rendez-vous à cette adresse : CLIQUEZ-ICI pour vous procurer la suite qui vous

Carrère recouvrent les vingt années avant le 9 Janvier 1993. On reconnaît les années 70-80 par les titres de films ou spectacles (Le grand bleu, le père Noël est une ordure, One Man Show…). De plus les personnalités admirées par JC (L’Abbé Pierre, Bernard Kouchner, Mère Teresa, Brigitte Bardot…) ont marqué cette époque. Des événements comme le suicide de Pierre Bérégovoy en 1993 ou la sortie de Une époque formidable que Romand voit une année avant les crimes permettent cadrer dans le temps le roman

relatif et absolu, livre-testament d'Edmond Wells. Bernard Werber décrit ce premier tome de la manière suivante : « Les Fourmis. C'est le premier. Commencé à seize ans, écrit avec une discipline de quatre heures et demie tous les matins. Le livre est construit sur l'architecture de la cathédrale d'Amiens. Pour moi dans le premier il y avait tout en germe. Mais tout étant à peine évoqué, effleuré, sous-entendu, il fallait poursuivre1. » Bernard Werber aurait réécrit 18 fois son roman avant de

qu’il pense, même si cette réponse inattendue semble déranger Marie. Et il nous montre, par cet exemple, qu’il est tout à fait libre de ce qu’il veut dire, qu’il n’a aucune retenue face à la vérité, même quand celle-ci dérange fortement. Comme disait Bernard Werber : « Je réalisais que moi aussi, au fond, j'avais toujours été gentil par égoïsme. Par fainéantise aussi, et pour ne pas me compliquer la vie. La gentillesse est juste un confort pour être tranquille. ». Meursault l’a compris, et ne veut pas