Bernard de Clairvaux

des offrandes de l’extérieur, refus des enfants de l’extérieur dans les écoles, refus des sépultures laïques * Retour au silence * Retour à l’idéal de pauvreté. Etienne Harding envoie Bernard de Fontaine fonder Clairvaux, une des 4 filles de Cîteaux après la Ferté, Pontigny et Morimont. Bernard possède un idéal d’ascèse mais est au cœur des grands débats intellectuels du XII° siècle. Il défend la primauté romaine, lutte contre la simonie et le nicolaïsme, défend l’unité de l’Eglise et

comtés de Tripoli et d’Edesse. Mais la croisade relance l’idée du djihad dans le monde musulman. Ainsi, en 1144, le sultan Nur al-Din reprend le comté d’Edesse aux Francs. Le pape Eugène II lance alors la 2ème croisade en 1146 et chargé l’abbé Bernard de Clairvaux de la prêcher. ➢ La 2ème croisade sera suivie d’une 3ème entre 1189 et 1192, après que Saladin a repris Jérusalem en 1187. Celle-ci fut également un échec. Au total ce sont 8 croisades qui sont menées par les Chrétiens. Ils ne récupéreront

dans une perspective dynamique : structuration, approfondissement et diffusion de la foi, mais aussi résistances et répression. De nombreux exemples permettent de lier les deux dimensions. Un personnage de réformateur (le pape Grégoire VII, Bernard de Clairvaux, François d’Assise, Dominique de Guzman …), à travers son parcours ou un épisode particulièrement révélateur de sa vie permettant d’aborder les questions liées à de nouvelles formes de spiritualité, à la place et au rôle du clergé, au rôle

les deux pouvoirs mais pas une stricte séparation : collaboration entre les deux pouvoirs. b) Thèse de Boniface VIII : Théorie des deux glaives. ➢ Il s’inspire de la conception de St Bernard de Clairvaux qui développe la théorie des deux glaives. « deux glaives, le spirituel et le temporel » • St Bernard développe sa théorie des deux glaives grâce à deux passages tirés des écritures saintes. « Il y a deux glaives ici »… « C’est assez » Evangiles selon St Luc « mets ton glaives au fourreau

manuscrits et la réalisation d’enluminures. TRACE : La règle de St Benoît régit la vie des moines. Ils doivent vivre pauvrement, reclus, éloignés du monde, travailler et prier Dieu. En réaction à l’enrichissement de certaines abbayes (Cluny), St Bernard de Clairvaux (1090-1153) fonde l’ordre des cisterciens qui se caractérise par un retour à une vie plus pauvre et au travail (défrichements). P 68/69 SAINT FRANCOIS D’ASSISE 1- St francois d’Assise fonde l’ordre des franciscains dont la règle est approuvée

employé pour désigner l’action cultuelle ; c’est sacramentum qui triomphe en ce domaine. les théologiens de l'époque énumèrent, selon les cas, et sans vouloir en fixer une liste exhaustive, quatre sacrements (Lanfranc), cinq (Abélard), dix (St Bernard de Clairvaux), douze (St Pierre Damien). Or, l’époque est à la clarification et à la précision. Après de longs débats théologiques sur la finalité et la causalité de ces signes que sont les sacrements, on distingue les sacrements des sacramentaux: seuls

un système de gestion de type arborescent car les maisons filles sont rattachées à la maison mère de Clairvaux. Ces robes blanches connaissent un fort dynamisme. Ils appliquent la règle bénédictine à la lettre notifiée dans la charte de charité. Cela se fait par la rupture totale avec le monde, la pauvreté, le silence, le travail manuel et le dépouillement. Saint Bernard, fondateur de Clairvaux (1115) et patricien de la spiritualité cistercienne, va plus loin encore que Robert de Molesme. Il exige

découverte de Dieu. Le poète latin Virgile, qui représente la raison, est son guide à travers l'enfer et le purgatoire, mais c'est la douce et vertueuse Béatrice qui l’accueille, le juge, pardonne et le conduit au Paradis. C'est finalement Saint Bernard qui lui fera rencontrer Dieu. La Divine Comédie se révèle être d’abord l’histoire de la conversion de Dante. Tout au long de son voyage, le poète rencontre des personnages mythologiques, historiques ou contemporains de son époque. Chacun d'eux est

Croisades Les croisades du Moyen Âge sont des pèlerinages armés prêchés par le pape ou telle autorité spirituelle de la Chrétienté comme Bernard de Clairvaux ; ce sont également des expéditions militaires qui visent à délivrer Jérusalem des Turcs seldjoucides (musulmans comme les Arabes abassides, mais refusant contrairement à ceux-ci les pèlerinages chrétiens). Il faut remarquer qu'un souverain pouvait mener sa propre croisade, comme le fit Frédéric Barberousse. La vision traditionnelle identifie

dans l’église. Exemple  : les cloîtres sont des endroits où déambulent les ecclésiastiques pour prier tout en étant accompagnés de représentations sur les chapiteaux. · Le texte de Bernard de Clairvaux du XIIe siècle est critique des représentations que l’on peut retrouver sur les chapiteaux. · Son apologie à Guillaume saint Thierry se déroule dans un contexte de réforme religieuse ou les clunisiens