Bernard de Clairvaux

purement militaire, constitué en 1119 par Hugues de Payens. Baudouin Il leur donna un emplacement dans son palais près de l’emplacement du temple de Salomon, - d’où leur nom de Templiers. Cet Ordre essaima très vite, encouragé par les papes et par saint Bernard, dont le traité De laude novae Militiae (Éloge de la nouvelle Milice, Migne, T. 182) célébra leur simplicité et leur gravité. Les Templiers se divisaient en trois classes : les chevaliers, de noble naissance, les frères servants armés (fratres

transport était extrêmement lent et coûteux ; néanmoins, selon l'historien français Jean Gimpel, de 1050 a 1350, la France a charrié plus de pierres que l’ancienne Égypte. « On ne mesure pas l'effort quand on travaille à la gloire de Dieu » disait Bernard de Clairvaux. Sur les chantiers, les bâtisseurs réalisaient des exploits au moyen des engins de levage rudimentaires dont ils disposaient : des leviers, des poulies et des palans souvent actionnés par des hommes marchant à l'intérieur de roues en bois

seigneur, mais de Dieu : il s’agit d’une sorte de don mystique à un être supérieur, Dieu, le roi, la patrie, la dame, le service… Les Templiers ne furent certainement pas étrangers à cette transformation, eux qui se réclamaient de l’esprit de Bernard de Clairvaux. Le chevalier accepte donc désormais les renoncements monastiques, devenant ainsi moine et soldat, en offrant un modèle de perfection virile ; un ordre de chevalerie était donc avant tout un corps religieux, militaire et hospitalier chargé

sommaire > Décrypter l'iconographie Le langage de l'image médiévale Deux époux au lit- Enluminure du Cantique des Cantiques Bibliothèque du Mans 1. L'utilisation de l'image n'a jamais fait l'unanimité On connaît les diatribes de saint Bernard contre la présence, "dans les cloîtres, sous les yeux du moine qui lit ou médite, d'images sculptées ou peintes, ces monstres ridicules, cette beauté difforme, ces singes immondes..." (Apologia CXII). Mais ce qu'on sait moins, c'est que la question

Elles embrassèrent de grand cœur notre institution en dépit de sa rigueur » (l.3-4 txt2). Cette affiliation nécessita l’accord du pape, comme il en était alors coutume. Eugène III (pape de 1145 à 1153), qui fût moine cistercien et disciple de Bernard de Clairvaux, était de ce fait davantage réceptif aux initiatives monastiques, ce qui facilita probablement le rattachement de Prébayon à l’ordre cartusien. A l’image des recluses, les moniales chartreuses, de part la rigueur de leur ascèse, bénéficiaires

• Château de Calmont d'Olt • Rodez • Millau • Plagnolles • Pons • Villefranche-de-Rouergue • Villeneuve • le Trou de Bozouls • Vallon de Marcillac : vignoble et bourgs : Marcillac-Vallon, Salles-la-Source, Clairvaux-d'Aveyron, Muret-le-Château. • Lacs du Lévézou • Laguiole • Les Gorges du Tarn • Sainte-Eulalie-de-Cernon • Salles-Curan et le lac de Pareloup • Salvagnac-Cajarc • Roquefort-sur-Soulzon • Saint-Sernin-sur-Rance

DIRECTS 11 ème : Nicolas II intervient pour les modes de désignation du pape + phénomène d’inversion de la dislocation avec une certaine reconstruction. 1027 Principe de la primogéniture. 1075 : Grégoire VII Dictatus Papae 12ème : Saint Bernard de Clairvaux 1155 : première ordonnance d’un roi capétien. Elle n’a pu être effective que grâce à de grands personnages réunis par le roi. 1158 : Diète de Roncaglia 1199 Jean sans Terre, roi d’Angleterre Jusqu’au 13ème : hôtel le roi (officiers domestiques)

Marcabru nous est totalement inconnu hors de son œuvre, mais cette œuvre compte au moins quarante-quatre poèmes. L’expression d’histoire poétique prend avec lui tout son sens… Les formes de l’amour Nous sommes aux alentours de 1130. Marcabru, Bernard de Clairvaux, Guillaume de Saint- Thierry sont des contemporains. Laissons passer les années, et même plus d’un siècle. Transportons-nous à la fin du xiiie siècle, au moment où l’art des troubadours est sur le point de disparaître. Le sentant

lui donner cette forme de croix), chœur (partie réservée aux clercs), l’autel (lieu de rassemblement pur l’eucharistie). L’ordre des cisterciens a été fondé par Robert de Molesmes en 1098 à Citeaux, en Bourgogne. L’ordre est dynamisé par Bernard de Clairvaux. En 1300, on compte 650 abbayes cisterciennes (hommes et femmes) dans le royaume. L’abbaye du Valasse fondée par Galéran de Meulan en 1181, participe au dynamisme de l’ordre cistercien. Les moines respectent la règle de Saint-Benoît en proposant

tuer tous les membres de sa famille. III. Analyse du personnage principal Jean-Claude ROMAND est née en 1954, il avait dont 39 ans au moment des faits. Il est issu d’une famille de forestiers Jurassiens est a passé son enfance dans le bourg de Clairvaux-lesLacs, dans le Jura. Son père, Aimé, est « né au lendemain de la guerre », il est droit, travailleur et a toujours su éduquer son unique fils. Sa mère était fragile, c’est pourquoi JeanClaude et son père prenaient soin de garder leurs problèmes