Bertrand Badie

contemporaines 1. Norbert Elias : La dynamique de l’Occident A.La société féodale B.La monopolisation du pouvoir politique C.La socialisation du monopole 2. Immanuel Wallerstein : le poids de l'économique 3. La sociologie de l'Etat chez Bertrand Badie : le poid du religieux Chapitre 2. L’émergence de la compétition politique démocratique Section.1. : La compétition politique en régime censitaire 1.Une démocratisation relative de la compétition politique 2.Les formes pratiques de

Fiche de lecture croisée : relations internationales ou espace mondial ? Livres : - Un monde sans souveraineté, Bertrand Badie - La résistance des Etats, Samy Cohen - Soft power, the means to success in world politics, Joseph Nye Propos liminaire : pourquoi ce titre ? De nombreux auteurs ont défendu l’idée d’un déclin de l’Etat dans les relations internationales dès les années 1970 (notamment Joseph Nye et Robert Keohane). Le livre de James Rosenau intitulé Turbulence in world politics publié

différence entre la guerre et la paix : ici la mondialisation, en multipliant les possibilités de conflits, débouche sur des reconfigurations inédites « d’états de violence » instituant un désordre général de basse intensité (7). D’autres analystes – Bertrand Badie, Zaki Laïdi et Ghassan Salamé (8) – insistent au contraire sur la rupture que constituerait, à la fin du XXe siècle, l’entrée des sociétés démocratiques structurées par la modernité, dans les fonctionnements politiques du monde. George Kennan

cette redécouverte des lieux : car si les processus de puissance sont planétaires (la guerre froide ou le projet impérial de l’administration de George W. Bush), les lieux de l’affrontement ne sont pas de simples espaces neutres. Comme le dit Bertrand Badie (8), les sociétés sont entrées dans l’arène internationale et la géopolitique a désormais des choses à dire sur le fait que les chars ne servent à rien contre la frustration et la misère (comme en Irak), et qu’un avion aussi sophistiqué soit-il

lutte contre la pauvreté sont hypothéqués dès lors que la sécurité fait défaut. Il n'est pas et il ne saurait être question ici de "sécurité de l'État", mais avant tout de sécurité des citoyens. 2 11-Septembre, le début du déclin américain ? Bertrand Badie : "On sortira du 11-Septembre quand on portera un nouveau regard sur le monde" Point de vue | LEMONDE.FR | 30.08.11 | 17h20 • Mis à jour le 30.08.11 | 19h56 6 Classez Imprimez Envoyez Partagez Facebook Twitter LinkedIn Viadeo

bananes) ou même jusqu'à renverser un régime qui leur est défavorable. La chute du régime de Salvador Allendeau Chili en 1973 est ainsi due en grande partie à la participation d'International Telephone and Telegraph (ITT).[réf. nécessaire] Pour Bertrand Badie, ces multinationales privent les États des moyens d’intervenir dans leur évolution économique, dans le niveau de l’emploi, le niveau de vie ou la protection sociale de leur population. Plus généralement, l'organisation et l'importance de ces

élus prenant tous les jours des décisions qui affectent des millions de personnes. Cela est lié en partie au fait que ce n'est plus la guerre ou la paix entre les nations mais la prospérité qui est au centre des préoccupations des citoyens. Selon Bertrand Badie, l’Etat aurait perdu de son utilité face à la mondialisation, aux particularismes et aux revendications identitaires. L’extension des réseaux a clairement ouvert la voie à la formation d’autres coopérations en dehors des Etats :« l’autorité des

RELATIONS INTERNATIONALES Jean-Christophe MARTIN Professeur à l’Université de Nice - Sophia Antipolis 2010-2011 BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE I. OUVRAGES - Bertrand BADIE et Marie-Claude SMOUTS, Le retournement du monde : sociologie de la scène Internationale, 3ème éd., Paris, FNSP/Dalloz, 1999, coll. « Amphithéatre ». - Dario BATTISTELLA, Théories des relations internationales, 2ème éd., Paris, Les Presses de Science Po, 2006, coll. « Références ». - Pascal BONIFACE, Les relations internationales

religion islamique ce qui le conduira sur la voix de l’étatisation. Cette tradition profondément ancrée a guidé le monde musulman pour transformer ce qui était une multitude de tribus en un ensemble d’empires. On aborde alors la question de ce que Bertrand BADIE et Guy HERMET identifient sous le nom d’ « argument fonctionnel ». L’action politique s’oriente en regard des valeurs prônées par la religion et l’obéissance apportée au prince par la population émane d’une volonté de respecter ces valeurs. Le

entre l’Iran, le Hezbollah, le Hamas et différents groupes palestiniens, la situation au Liban, et influerait sur le rôle de la Turquie, alliée des États-Unis, qui pourrait accroître son influence régionale à la faveur de ces événements [2]. Bertrand Badie, professeur à Sciences Po, le jeudi 19 janvier 2012 Dernier ouvrage paru : Nouveaux mondes, carnets d'après-guerre froide, CNRS Editions-Le Monde.fr, Paris, 2012. Frédéric Charillon et Alain Dieckhoff (sous la direction de), Afrique du Nord