Bertrand Badie

Chagnollaud, Science politique, Dalloz, 2006 Jean Philippe Lecomte, Introduction à la vie politique et éléments de sociologie politique, Gualino/Mémentos LMD, Paris 2004 M. Hastings : Aborder la science politique, Seuil 1996 Dictionnaire Bertrand Badie et alii. Dictionnaire de science politique, Armand Colin, Pour approfondir certains chapitres Eric Agrikoliansky, Les partis politiques en France au 20e siècle, Armand Colin, coll. « Synthèse ». Yves Déloye, Sociologie historique du politique

BANASAYAG conteste. Pour cet auteur, loin d'être cette instance transhistorique et transculturelle, l'individu est une forme d'organisation sociale. Il est le nom d'un projet économique, d'une vision du monde qui est loin de la fatalité42. Selon Bertrand BADIE et Marie-Claude SMOUTS, «la mobilité de plus en plus marquée et de plus en plus aisée de l'individu au sein du système international tend à lui concéder des ressources spécifiques qui en font peu à peu un acteur en propre des relations internationales

déjà signalée par Paul Valéry, mais répétée par beaucoup d’analystes de la mondialisation. Dans le domaine des relations internationales, certains ont pu de même prévoir avec la mise entre parenthèses des frontières, la « fin des territoires » (Bertrand Badie), parce qu’ils pensent que l’Etat-nation est définitivement dépassé et que la référence spatiale (territoriale) traditionnelle est en voie d’être remplacée par des réseaux supranationaux ou infranationaux. Ces représentations, même si elles ont

principe d’autodétermination a acquis au cours du XXème siècle un rôle juridique. Pourtant, sa formulation n’a jamais été précisée et sa définition reste vague. En effet, il est légitime de se demander ce qu’est juridiquement « un peuple » ? Comme Bertrand Badie l’a évoqué dans son cours, le peuple est une représentation variable qui peut ramener aussi bien à une culture qu’à un territoire. C’est donc par une interprétation subjective du droit des peuples que les Nations Unies jugent les conflits identitaires

nuances au sein d’une même « civilisation », simplifie à l’extrême en les transformant en acteurs. Il nie la complexité de la culture comme système de sens, tout comme il nie le rôle de l’individu dans la formation de ces cultures (voir travaux de Bertrand Badie). Surtout en négligeant d’autres causes possibles à l’émergence d’un conflit : éco, politi, sociales…, Huntington n’explique pas pourquoi les tensions éclatent à un moment plutôt qu’à un autre. Il ne définit pas clairement ce qu’est une civilisation

autorité. La mondialisation semble s'attaquer à ces trois pilliers. => Le territoire: Un territoire est défini par ses frontières, or le monde globalisé tend à faire disparaitre les frontières ce qui signifierait une sorte de "fin des territoires" ( Bertrand Badie ). Ainsi les territoires des Etats sont désormais traversés par divers flux transnationaux qui échappent au contrôle de l'Etat. Les frontières traversées par des réseaux transnationaux, l'unité du territoire est alors rompue et cette notion apparait

bananes) ou même jusqu'à renverser un régime qui leur est défavorable. La chute du régime de Salvador Allende au Chili en 1973 est ainsi due en grande partie à la participation d'International Telephone and Telegraph (ITT).[réf. nécessaire] Pour Bertrand Badie, ces multinationales privent les États des moyens d’intervenir dans leur évolution économique, dans le niveau de l’emploi, le niveau de vie ou la protection sociale de leur population. Plus généralement, l'organisation et l'importance de ces

et Institution Politiques, Dalloz, Paris, 2000, p.215 * 24 MAURICE HAURIO, Lexiques des termes juridiques, 13èm Ed, Dalloz, 2001, p.215 * 25 HAURIOU M. Droit public et Institutions Politiques, Puf, Paris, 18è Ed, 1978, p.200 * 26 GY HERMET, BERTRAND BADIE, Cie, Droit Constitutionnel et Institutions Politiques, LGDJ, 26è Ed, 1999, pp130-133 * 27 KIMBERE KITHAKA, Cours des Droit constitutionnel et Institutions Politiques, UNIGOM, FSSAP, inédit, G2 SPA 2006-2007 * 28 KIMBERE KITHAKA, Cours déjà

Hanspeter kriesi « les démocraties occidentales » economica, 1993 .(proche du cours d’amphi) YVES SUREL- MENY « Politiques Comparées »Montchrestien,2009 .(incomplet car comparaison sommaire sur des pays particuliers et non comparaison globale) Badie Bertrand- Guy Hermet « La politique comparée » Armand Colin,2001.(plan théorique intéressant) Introduction La comparaison est la méthode fondamentale de la science politique, comparé est l’une des activités les plus communes de l’esprit humain ceci

représentent35 ». De ce rôle symbolique découlent bien sûr des tâches protocolaires formelles comme l’accueil des chefs d’État étrangers et des diplomates, ou, encore, sur le plan de la politique interne, la promulgation officielle 35. Guy H ERMET, Bertrand BADIE, Pierre B IRNBAUM et Philippe B RAUD, op. cit., p. 45.