Bestiaire Poétique

n’éprouve qu’un seul rêve, celui de reconquérir son terroir natal pour revisiter son royaume d’enfance, l’exile européen est une véritable déception et le poète pour calmer et apaiser sa fureur angoissante se lance dans l’entreprise de l’inspiration poétique pour remonter vers les véritables sources authentiquement ancestrales. C’est ainsi que le poète pour revisiter ce territoire et ce passé glorieux de l’Afrique convoque par la mémoire de la femme noire, les femmes noires, les cérémonies familiales

voit apparaître en France un nouveau courant littéraire qui s’intitule le symbolisme. Le symbolisme est une opposition de tout ce qu’est le réaliste. Les symboles permet d’atteindre la réalité supérieure de la sensibilité et inspirent l’imagination poétique, mais le symbolisme ne se limite pas à la poésie, il touche tous les arts : la poésie, la peinture, le théâtre, la musique, etc. Le symbolisme recherche la communication entre les arts. Le symbolisme trouve ses origines dans Les Fleurs du mal qui

Le poème ‘Spleen LXXVIII’ de Charles Baudelaire est tiré d’un recueil : Les fleurs du mal. Ce recueil, publié en 1857, réunit tous les poèmes composés depuis 1840 par Baudelaire. Ce dernier a en effet mené « la vie du poète du 19e siècle », c’est-à-dire qu’il s’est consacré à l’art, composa peu de poèmes très longuement travaillés et des articles ou des essais critiques dans les journaux afin de gagner sa vie. Il fut très inspiré par le romantisme et ses œuvres mais il alla cependant vers un travail

Boileau, Art Poétique, 1674. Boileau rédige ce poème en1674. C’est un manifeste de l’écriture classique. Cette mise en forme de l’idéal classique se fait dans une forme pure, mesurée, didactique et versifiée : « ce qui se conçoit bien s’énonce clairement/ Et les mots pour le dire arrivent aisément ». Ce long poème en alexandrins montre 3 étapes à l’écriture : _ La pensée _ La langue _ La méthode Comment le registre didactique permet-il l’éloge du travail poétique ? I) Un poème

| |Anneaux lui fait rêver à une union à Lou. | |Tout ce qui touche à l’armée, obus, armes à feu allusion poétique au cadre de la guerre (plus de fleurs, d’étranges signes gesticulant dans les nuits bleus). | |

poètes suivants : Leconte de Lisle, Banville, Hérédia, mais aussi Coppée, Mendès, Sully Prudhomme, etc. PRINCIPES COMMUNS AUX « PARNASSIENS » Les écrivains considérés comme « parnassiens » ont en commun une vision de l’art et de l’écriture poétique que l’on peut résumer brièvement ainsi : 1. contre la poésie-confidence des romantiques et le laxisme de l’expression excusé abusivement par l’intensité des sentiments ; 2. contre une poésie subordonnée à la défense d’une cause quelconque ;

immoralité et son obscénité. Le titre des Fleurs du Mal est fondé sur une antithèse, que la préposition assortit d’une dépendance. Le sens du titre est donc : la beauté que l’on extrait du mal. Les fleurs peuvent représenter la beauté, l’élaboration poétique, la recherche, la culture. Le mal représente quant à lui le péché mais aussi la souffrance. Il y a donc deux possibilités d’interprétation du titre, qui orientent évidemment la lecture de l’œuvre : les fleurs sont cueillies sur un champ de souffrance

Guillaume Apollinaire « Zone » 1912 Problématique : -Dans quelle mesure peut-on parler de renouveau poétique ? Plan : I – Un poème à caractère autobiographique . a) Ambiguïté de l’énonciateur. b) Les souvenir de l’enfance, des études. c) Ancrage spatio-temporel. II- La conception moderne de la poésie. a) La modernité source d’inspiration. b) L’art nouveau. Introduction : Alcools est un recueil de 30 poèmes, « zone » est le dernier rédigé mais

Le thème de la "Belle Matineuse" est devenue un topos poétique (un lieu commun) dans laquelle la femme est comparée à un élément naturel et divin pour ensuite finir sur l’affirmation de la supériorité de l’amante dans un renversement hyperbolique. La virtuosité baroque tient par ailleurs des jeux de périphrases, de la mise en scène dramatisée de ce qui est en fait un éloge descriptif, du mouvement et du rythme du poème : phrase qui se poursuit de strophe en strophe, ou qui se concentre sur un tercet

Ce poème est un sonnet de la section spleen et idéal où Baudelaire parle de la beauté comme un intérêt poétique, en utilisant la suprématie de la beauté (comme dans de nombreux poèmes adressés à des femmes), les caractères d'un poème idéal, et la méthode du travail d'un poète. Le premier quatrain commence par un "je" orgueilleux, "je suis belle", Baudelaire incarne la beauté dans le corps d'une belle femme il s'agit d'une allégorie. Cette femme se vante et se compare à une pièce sculptée,