Betabloquants

endommagé. La fibrinolyse : facilite la reperméabilisation des vaisseaux obstrués par des caillots de fibrine en facilitant la dissolution des caillots intravasculaire par la plasmine. 14 MEDICAMENTS : Avlocardyl : (chlorhydrate de Propanolol) bétabloquant. C’est utilisé en prévention primaire et secondaire des hémorragies digestives par rupture varices œsophagiennes chez les cirrhotiques. Effets indésirables : asthénie, bradycardie, refroidissement des extrémités, syndrome de Reynaud (trouble de

mg/mg 20/50 mg/mg 20/12,5 mg/mg 80/12,5 mg/mg Orale Orale Orale Orale Orale 160/12,5 mg/mg Orale ANTIHYPERTENSEURS D'ACTION CENTRALE DENOMINATION COMMUNE INTERNATIONALE (DCI) DOSAGE FORME / VOIE D'ADMINISTRATION Guanfacine 2 mg Orale BETABLOQUANTS DENOMINATION COMMUNE INTERNATIONALE (DCI) DOSAGE FORME / VOIE D'ADMINISTRATION Nébivolol Sotalol 5 mg 160 mg Orale Orale DIURETIQUES DENOMINATION COMMUNE INTERNATIONALE (DCI) DOSAGE Amiloride / Hydrochlorothiazide Spironolactone / Altizide

peuvent exister chez des patients glaucomateux. Traitement 1) Médicamenteux Divers médicaments permettent de soulager la pression oculaire et de prévenir les lésions. La plupart sont administrés sous forme de gouttes oculaires : - Des bêtabloquants (par ex. le bétaxolol, le lévobunolol, le timolol), les agonistes alpha-2 (par ex. la brimonidine) - Des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique (par ex. la dorzolamide, la brinzolamide) Ces molécules ralentissent la production du liquide de l'œil

pharmacologiques, physiques ou chimiques. Certaines substances sont "soumises à restrictions" ou ne peuvent être administrées aux sportifs que dans le cadre de justifications thérapeutiques : ¢ alcool, cannabinoïdes ¢ anesthésiques locaux, corticostéroïdes, bêtabloquants. 32 Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 Il faut bien comprendre que le dopage artisanal des années soixante, basé sur l’emploi des anabolisants pour accompagner les entraînements et des stimulants pour transcender les compétitions

et l’anévrisme c- L’athérosclérose et l’hypertension 12- L’embolie pulmonaire est souvent consécutive à une phlébite des membres inférieurs. Quel type de traitement prescrira le médecin en cas d’EP ? a- Des antalgiques de palier II b- Des bêtabloquants c- Des héparines 13- Les glandes sudoripares sont divisées en deux catégories : les eccrines et les apocrines. Comment les distingue-t-on ? a- Par la quantité de sécrétion qu’elle produise b- Par la consistance du liquide qu’elle produise

pharmacologiques, physiques ou chimiques. Certaines substances sont "soumises à restrictions" ou ne peuvent être administrées aux sportifs que dans le cadre de justifications thérapeutiques : ¢ alcool, cannabinoïdes ¢ anesthésiques locaux, corticostéroïdes, bêtabloquants. 32 Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 Il faut bien comprendre que le dopage artisanal des années soixante, basé sur l’emploi des anabolisants pour accompagner les entraînements et des stimulants pour transcender les compétitions, est

édition JIBENA) Classification des produits dopants : (Toutes sont des substances interdites) Les plus connus et utilisés : * Les narcotiques * Les stimulants * Les anabolisants * Les stéroïdes * Les bêtabloquants * Les diurétiques * Hormone de croissance * Les amphétamines * E.P.O. * Autres Leurs effets : Les Narcotiques Les narcotiques sont des substances capables de produire une insensibilité à des stimuli externes

pharmacologiques, chimiques et physiques.Certaines substances ne sont pas considérées comme produits dopants mais elles sont soumises quand même à certaines restrictions. C’est le cas de l’alcool, les cannabinoïdes, anesthésiques locaux, corticostéroïdes et bêtabloquants. Différentes lois sur le dopage ont été signées ces 46 dernières années. La loi Herzog de 1965, punissant le sportif dopé, la loi Banbuck de 1989, plus complète car elle punit également l’entourage du sportif l’ayant aidé au dopage, la loi Buffet

douleur aux différents niveaux du SNC. La découverte des neurotransmetteurs a permis la création de nombreux médicaments agissant comme des feux rouges ou verts. ex. : neuroleptiques, antidépresseurs agissent sur les troubles de l’humeur ; les bêtabloquants agissent sur le rythme et la fréquence cardiaque… La plupart des psychotropes agissent sur la concentration des neurotransmetteurs. 2.3. La mise en évidence de l’influx nerveux Les messages, donnés ou reçus, sont transportés d’une cellule à l’autre

causes non cardiaques, il faut d'abord traiter la cause et non obligatoirement ralentir le rythme cardiaque par des médicaments. En cas de tachycardie mal tolérée ou invalidante, possibilité d'avoir recours à certains médicaments anti arythmiques, bêtabloquants. Pour les causes cardiaques, le traitement est fonction de la cardiopathie ou du trouble du rythme responsable. Médication : Cordarone : traitement d'attaque : Le schéma posologique habituel est de 3 comprimés par jour, pendant 8 à 10