Bétés

ordre pour le plaisir de le faire, mais plutôt par la peur qui les habitent. Par ailleurs, l’auteur mentionne que durant l’époque des lumières, le gouvernement 100 ne faisait aucune différence entre les hommes et les bêtes : Dans un tel gouvernement, le partage des hommes, comme des bêtes, y est sans aucune différences; l’instinct, l’obéissance, le châtiment. (p.32) (lignes 17-18).La gradation des termes (« instinct », « obéissance », « châtiment ») démontre clairement que les hommes, durant l’époque

traitent comme des objets, les abandonnent. Nous devons agir, il existe des associations qui luttent pour le bien-être des animaux comme Animauxen périls, GAIA ou encore la SPA qui sert de refuge mais ce n’est pas assez, il reste encore beaucoup trop de bêtes qui souffrent et luttent pour leur survie. On entend de plus en plus de personnesparler de leur animal comme de leur famille car oui, c’est un membre de la famille et il comble la solitude de certaines personnes et c’est donc d’autant plus tragique

l’éleveur face à ses bêtes. La famille d’une exploitation qui a un élevage, étant obligée de se conformer à l’impératif d’efficacité du modèle industriel, refoule la nécessité de « la chasse aux temps improductifs », justement ceux où peut se créer une relation désintéressée avec l’animal. Le bien-être d’un animal dépend en partie du plaisir que prend son propriétaire à l’élever. Au contraire, la « violence » de l’élevage intensif implique une contagion de la souffrance entre hommes et bêtes. En acceptant

conducteur-chef, cédant à la fatigue, s’était endormi. » aux lignes 9-10. Alors que les soldats eux deviennent aussi des bêtes qui beuglent sous l’effet de l’alcool «  les soldats, dont l’ivresse augmentait, à être ainsi entassés, subitement s’égayèrent de cette course violente, chantèrent plus fort » aux lignes 10, 11 et 12. Tout au long de la cavale du train on constate qu’ils restent de simples bêtes qu’on envoi à l’abattoir « ces wagons à bestiaux emplis de troupiers qui hurlaient des refrains patriotiques

pas bouger et attendre. Attendre pour vivre, attendre même pour qu'on vous tue. C'est trop lâche. C'est une invention des hommes. Tu imagines un monde où les arbres aussi auraient dit non contre la sève, où les bêtes auraient dit non contre l'instinct de la chasse ou de l'amour ? Les bêtes, elles au moins, elles sont bonnes et simples et dures. Elles vont, se poussant les unes après les autres, courageusement, sur le même chemin. Et si elles tombent, les autres passent et il peut s'en perdre autant

s'inscrit par le caractère dépréciatif (univers terreux, fangeux) qui va peu à peu déshumaniser ces mineurs. Finit par une métaphore filée de l'animalisation, de la bestialisation : "troupeaux, bêtes fauves", "mugissement", "claquement des sabots", "galoper", "machoir de bêtes fauves" : cheval (folie), bêtes (fauves, férocité). - Violence par les hyperboles : "gorges gonflées de guerrières". - Hache (c'est une métonymie : prendre un ensemble pour le tout) : emblème de la Révolution de 1789 (guillotine

dos, sans qu’il puisse avoir un seul sous. Je crains que mon discours ne puisse changer les choses, mais ne serait-ce pas mieux de leur remettre leur titre d’être humain ? Ne continuez pas ainsi. Même vos bêtes sont mieux traitées qu’eux, jamais ils ne subiront des actes aussi brutaux ! Or, ces bêtes ne travaillent ni plus ni mieux qu’eux. Cessez d’être égoïstes, pensez à votre prochain. Donnez-leur ce que vous leur aviez promis, donnez-leur un salaire pour leur travail donné, cessez de les maltraiter

des armes pour chasser tel que les lances avec la pointe en silex. Le feu leur était très important et nécessaire car ils pouvaient cuire les aliments et voir la nuit. Ils s’habillaient de peaux de bêtes il y a environ 30 000 ans, durant la période glaciaire. Ils s’enveloppaient de peaux de bêtes qu’ils chassaient. Au fil du temps, ils se sont sédentarisés et ils ont appris à assembler les pièces de peaux à l’aide de coutures. Ensuite, ils ont commencé à pratiquer l’élevage du mouton. Ils tondaient

je pris la coccinelle ; Mais le baiser s'envola. « Fils, apprends comme on me nomme, Dit l'insecte du ciel bleu, Les bêtes sont au bon Dieu3 ; Mais la bêtise est à l'homme. » 10 15 20 _____________ 1 Farouche : sauvage, mal apprivoisé. 2 Fauvette : petit oiseau au plumage fauve. 3 Les bêtes sont au bon Dieu : jeu de mots ; les coccinelles sont souvent surnommées « bêtes à bon dieu ». 12FRLETME-LRM1 Page 3 sur 7 TEXTE B – Jules Laforgue, Premiers Poèmes, 1885 Alors qu’il se

avoir des loisirs, vivre plus longtemps, avoir une retraite, etc...), il exhorte tous les animaux à se soulever contre le fermier, M. Jones, l'unique source de tous leurs problèmes tout en entonnant un chant révolutionnaire sorti de son rêve intitulé Bêtes d'Angleterre. Trois jours plus tard, Sage l'Ancien meurt dans son sommeil. Seul Moïse reste fidèle aux Jones. Par chance, la révolution a lieu plus tôt et plus facilement qu'espéré. Un soir, après une journée bien remplie, le manque de nourriture