Bétique

la vie c'est à dire , la famille , le bonheur et la santé. C'est ce qui est le plus important pour leur personnages dans leur texte. ECRITURE D'INVENTION. Vous avez séjourné en Bétique. Déçu, vous décidez de partir . Écrivez le discours d'adieu que vous prononcez devant les habitants . Chers habitants de Bétique, Je suis Madame CHEKURCHILL. J'étais parmi vous pour faire une étude scientifique sur les familles . Cela consistait à évaluer le montant des revenus de chaque famille, et de pouvoir

oriental : « vizirs » et «  murphi » à la ligne 1. Le narrateur des Lettres persannes nous décrit un peuple purement imaginaire nommé «  les troglodytes ». Les textes nous dépaysent aussi temporellement parlant. En effet, le pays des habitants de la Bétique, dans les aventures de Télémaque , « semblent avoir conservé les délices de l’âge d’or », cet élément renvoie à une époque idéale de l’Antiquité pendant laquelle les hommes n’avaient pas besoin de travailler. De même maniére, Montesquieu inscrit sa

exemple dans la texte de Fénelon, l'auteur dépeint un pays idéal, la Bétique. Pour ce faire, il utilise l'ekphrasis qui donne l'impression d'un tableau. Il utilise beaucoup de figures de style ; comme des énumérations ( ligne 10-11 par exemple ), d'adverbes ( « toujours » répété deux fois à la ligne 10  ), de répétitions ( « simples et heureux dans leur simplicité » La polyptote appuie sur le fait que les habitants de la Bétique mène une vie simple, qui ne nécessite que l'essentiel. ) pour appuyer

Fénelon, dans Les Aventures de Télémaque, place le pays extraordinaire de la Bétique dans l’Antiquité héroïque. Montesquieu, dans ses Lettres persanes, nous rapporte la fable d’un peuple oriental imaginaire, les Troglodytes. Quant à Voltaire, il place la fin des avantures de Candide, dans les environs de Constantinople. Pistes pour le dépaysement : - Textes A et B sont des « utopies » (des lieux qui n’existent pas) : la Bétique, les Troglodytes A opposer au texte C où l’on trouve des références réalistes

dépaysant le lecteur se livre t-il à une critique de la société de son temps? Dans un premier temps, nous parlerons d’un cadre surprenant : la Bétique, puis d’une description élogieuse et enfin d’une critique du monde réel. Nous pouvons voir que l’auteur essaye de nous dépayser puisqu’il nous fait la description d’un pays idyllique, la Bétique. Tout d’abord géographiquement « le fleuve Bétis » ligne 1 , « les colonnes d’Hercule » ligne 3, « la terre de Tharsis » ainsi que « la grande Afrique »

échappant à la corruption par la monnaie. Ensuite ce peuple refuse de différencier les métaux vils des métaux précieux: « l’or et l’argent parmi eux employés aux mêmes usages que le fer, par exemple, pour des socs de charrue. » Les habitants de la Bétique recherchent une vie simple, la santé et la longévité. Leur bonheur se fait de leur liberté d’esprit à l’égard des richesses, du refus de l’envie mimétique et de sa violence. De plus, Les romancier n’ont pas le plus souvent parcouru

 Dans ce texte, l’auteur se livre à une dénonciation implicite des valeurs et des mœurs du siècle de Louis XIV. On note tout d’abord la volonté de montrer que les habitants de la Bétique vivent au milieu de l’abondance d’un climat parfait. Par exemple l’énumération à la ligne 11 « lauriers, de grenadiers, de jasmins » attire l’attention du lecteur sur la variété de plantes, l’abondance est aussi marquée par « une double moisson » à la ligne 10, de plus, le rattachement de ce pays

etc. II, Un texte critique, proche de la pensée des Lumières. Habitants, paysages, climats proches de l'Europe → la Bétique est voisine de la France « assez près des colonnes d'Hercule », «  Terre de Tharsis » = péninsule ibérique. Fénelon se sert de cette proximité pour critiquer implicitement le peuple Français. Fénelon dénonce le superflue : les habitants de la Bétique méprisent ceux que les Européens adorent : l'or et l'argent. → L'auteur invite à s'interroger sur la valeur et le rôle

pouvons parler de l’éloignement dans le temps ou l’âge d’or mythique domine. En effet il y a également un éloignement dans le temps synonyme de merveilleux. Fénelon s’est inspiré de L’Odyssée pour évoquer les aventures de Télémaque. Il affirme que la Bétique « semble avoir conservé les délices de l’âge d’or ». Les vieux rêves de l’humanité surgissent ainsi chez le lecteur. Il s’agit d’étonner et de faire rêver à un autre monde possible, un ailleurs paisible, enviable et très éloigné de notre réalité quotidienne

Les Aventures de Télémaque Télémaque et son précepteur Mentor sont de retour aux abords de l’île de Calypso. Ils rencontrent un capitaine de navire dont le frère Adam leur livre les dernières nouvelles et leur dépeint un pays extraordinaire, la Bétique. Le fleuve Bétis coule dans un pays fertile et sous un ciel doux, qui est toujours serein. Le pays a pris le nom du fleuve, qui se jette dans le grand Océan, assez près des Colonnes d’Hercule1 et de cet endroit où la mer furieuse, rompant ses digues