Betise Bourgeoise

travailleurs : rien à voir avec le Second Empire] ; du coup, le personnage de Camy-Lamotte devient inutile, seul son nom est gardé pour un figurant, secrétaire de Grandmorin. Aucun arrière-plan de querelles d'héritage ou de conflits d'ambitions bourgeoises, le film entier est dans un univers interne à la SNCF [autre détail d'époque : dans les compartiments, l'inscription "Etat", il ne s'agit plus d'une compagnie privée]. c) De ce fait, disparaît totalement le "roman judiciaire" de Zola : le juge

particularités et leurs valeurs propres et c’est principalement ce qui les distinguent les unes des autres. Dans la nouvelle de Guy de Maupassant, Boule de Suif, il est vrai que les personnages, outre Boule de Suif, restent fidèles aux valeurs bourgeoises du début à la fin. En effet, les personnages appartenant à de hautes classes sociales restent accrochés aux valeurs de supériorité, d’hypocrisie et d’égocentrisme tout au long du récit. En premier lieu, la valeur de supériorité fait partie intégrante

marquise alors qu'en fait ce serait Dorante qui allait finir par l'épouser puisque plus tard dans la pièce, Madame Jourdain commence à soupçonner quelque chose de son mari et c'était son amour pour la marquise. Pour couronner le tout et pour apprécier la bêtise du protagoniste et la victoire de Dorante, il accepte le mariage en pensant que cela dissiperait les soupçons de Madame Jourdain en disant « Il faut bien l’amuser avec cette feinte ».Pour conclure, cet extrait est d'une grande importance parce qu’avec

esthète et écrivain d’art appartenant à la haute bourgeoisie, fait la connaissance de la jeune Odette de Crécy, sans pour autant avoir d’attrait pour ses charmes. Cette dernière lui fait incorporer le « clan » Verdurin, sorte de petite société bourgeoise dédaignant les milieux mondains et composée de fidèles (le docteur Cotard) rassemblés autour de Mme Verdurin. Un de ces derniers, le pianiste protégé par Mme Verdurin, interprète la Sonate de Vinteuil qui provoque une vive émotion dans le cœur du

« crapules » ? Y a-t-il des tabous en littérature ? Peut-on tout écrire au nom de la littérature, ou la beauté de l’écriture peut-elle tout excuser ? La littérature se situe-t-elle au-delà du bien et du mal ? Y-at-il une lecture qui soit bourgeoise (édifiante) ? Ou anti-bourgeoise (au-delà bien et mal) ? Flaubert, auteur le moins engagé, pourtant politique apparait comme transcendante. A) Le cas Genet. Le Balcon : que faire de son antisémitisme ? De cette fascination pour les nazis ? Eric Marty donne une

ou cantonné à des faire-valoir, fait son entrée sur la scène littéraire par la grande porte et occupe les premiers rôles. Le bourgeois est un des personnages récurrents du roman réaliste. La classe bourgeoise est bien souvent décrite comme une incarnation de l'étroitesse d'esprit, voire de la bêtise crasse. 2/ Les thèmes Les thèmes de prédilection du réalisme traduisent la vision définitivement matérialiste de l'époque, qui nie farouchement la dimension spirituelle de l'univers et de l'homme

ou cantonné à des faire-valoir, fait son entrée sur la scène littéraire par la grande porte et occupe les premiers rôles. Le bourgeois est un des personnages récurrents du roman réaliste. La classe bourgeoise est bien souvent décrite comme une incarnation de l'étroitesse d'esprit, voire de la bêtise crasse. Les thèmes de prédilection du réalisme traduisent la vision définitivement matérialiste de l'époque, qui nie farouchement la dimension spirituelle de l'univers et de l'homme. L'écrivain

des problématique et un complexe sur comment on vit la vie, chacun étant souvent d'un avis bien différent. Le roman interroge sur le bien, la sincérité. Ces deux notion sont représenté par le prince. Celui-ci à son arrivé dans la société bourgeoise de St. Petersbourg bouleverse les habitudes et le quotidien de ces gens. Contrairement à tout les autres personnages qui mentent sans arrêt , n'ont que faire de leur prochain, lui cherche à faire le bien et à être sincère. Pourtant, il ne possède

chapitres le portrait de sa bêtise prend forme, Homais est un médecin raté comme Flaubert, et prétend à la page 162 que la connaissance théorique scientifique est plus importante que la pratique de celle-ci, cette théorie complètement absurde va révélé son activité usurpatrice de médecin. Il ne cesse d'évoquer des critiques sociales comme à la page 131 «c'est une femme de grands moyens et qui ne serait pas déplacée dans une sous-préfecture» en parlant d'une femme bourgeoise. Homais est un personnage

« nécessairement au-dessus de lui », comme si elle devenait pour lui la croyance en la possibilité d’un au-delà. Cette suite d’hyperboles suggèrent que les deux sœurs sont conduites au-delà de leur milieu. Bourgeoises, elles auraient dû avoir une éducation conforme à leur milieu. L’éducation bourgeoise apprend aux femmes l’économie et la conduite d’un ménage, celle que reçoivent les filles Goriot est en total décalage. Ce n’est pas l’économie, mais la dépense qu’elles apprennent, de même le père leur