Betise Bourgeoise

logique de continuité vers la liberté. Aux yeux de Guizot, le suffrage universel symbolise le désordre, « la politique de destruction, de démolition, de la politique révolutionnaire » alors que le suffrage censitaire en place conjugue les peurs bourgeoises et les réticences libérales dans un même rejet du règne de la volonté du nombre. Il soumet ainsi l’obtention des droits politiques au cens, donc au revenu, introduisant par là le principe de la capacité politique, qui transparaît au travers de l’enrichissement

peu près la même chose: Madame Bovary démontre l’impossibilité d’échapper à la réalité, laquelle reprend d’ailleurs pleinement ses droits à la fin du roman. Celui-ci s’achève en effet sur l’apothéose du pharmacien Homais, incarnation des valeurs bourgeoises triomphantes: «Il vient de recevoir la croix d’honneur» (III, 11). Le pragmatisme vainqueur dit la faillite de l’idéal et du rêve dans le monde tel qu’il est. Outre les descriptions, les séquences narratives sont également construites de manière

de la justice. Culte de la marginalité. Il déserte plusieurs fois dans la légion étrangère. Il fuit et fugue La marginalité sexuelle; Il affirme son homosexualité, pas comme gide, proust, cocteau qui ont tous choisis des vies respectables et bourgeoises. Lui met en scène le SM. Il inverse l'axiologie admise. Il célèbre la beauté du crime, la marginalité. Littérature de la transgression. Met en scène des univers de pouvoir, des hierrachie de pouvoir. Scène de SM. Il aime l'abjection, se complait

nombreux journaux. Témoin de son temps, il retranscrit avec grande précision la société de son époque, ses travers, ses gloires comme ses injustices. Mondain et voyageur, il manie souvent l’ironie pour dénoncer l’hypocrisie, la bêtise et la morale bien-pensante de la classe bourgeoise et tend à réhabiliter moralement les catégories sociales défavorisées. Pareil à Stendhal, il promène son miroir le long d’un chemin. Grand ami de Zola et disciple de Flaubert, il s’inscrit dans le courant réaliste. Reconnu

du ciel bleu", ce bleu auquel s'opposent si tragiquement les sinistres "crachats rouges", ces taches de sang incongrues, bêtes, sur la verdure innocente et la beauté absolue de la Nature. Là est le scandale suprême : la bêtise humaine (pour être plus précis, la bêtise bourgeoise) souillant le Beau (auquel le bourgeois épicier et prudhommesque est totalement insensible). Ces "pauvres morts" sur lesquels s'apitoie le poète, comme ils "jurent" dans ce cadre idyllique qui les enserre ! On pense bien

il devrait être généreux afin de la rendre heureuse. H ne se fait aucun souci des sentiments des autres. • H n’achète pas de nouvaux vêtements pour ses domestiques et suggère qu’ils doivent essayer de cacher les trous et les taches. Sa vie bourgeoise avec des domestiques et des chevaux est ridicule, car la vérité montre une vie de souffrance et pénurie pour chacun, qui habite chez lui. • Ses chevaux sont: “des fantômes, des façons de chevaux”. H est aussi cruel envers les animaux, à cause

même d'Emma est minutieusement observé depuis le péché virtuel, annoncé lui aussi par les aspirations de l'héroïne, jusqu'à l'adultère répété et finalement la mine financière et le suicide d'Emma. L'ordre de la compromission des valeurs morales bourgeoises par les actes irréfléchis du personnage relèvent du fait que l'écrivain est encore intégré au même système de valeurs que celui qui avait soutenu la construction romanesque balzacienne. Mais Flaubert a renouvelé le genre par le perfectionnement

et il devrait être généreux afin de la rendre heureuse. H ne se fait aucun souci des sentiments des autres. H n’achète pas de nouvaux vêtements pour ses domestiques et suggère qu’ils doivent essayer de cacher les trous et les taches. Sa vie bourgeoise avec des domestiques et des chevaux est ridicule, car la vérité montre une vie de souffrance et pénurie pour chacun, qui habite chez lui. Ses chevaux sont: “des fantômes, des façons de chevaux”. H est aussi cruel envers les animaux, à cause

nature (contre nature) que l'argumentation de Sganarelle créé un effet comique. « Un mariage ne lui coûte rien à contracter, il ne se sert point d’autres pièges pour attraper les belles, et c’est un épouseur à toutes mains, dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud, ni de trop froid pour lui » Il y a une répétition des structures négatives (« il ne... »). Sganarelle mélange les catégories sociales: c'est un kaléidoscope. Dom Juan est un personnage avide, démesuré

contradiction avec M. Roland. Le narrateur a donc un PDV négatif de la pêche. M. Roland est présenté comme un bourgeois car ancien bijoutier « air satisfait de propriétaire » montre sa vie aisée & les moqueries de sa femme & ses fils montrent aussi sa bêtise « ils sont frais cela ! ». Son intérêt pour la pêche lié à son incompréhension des femmes : « j’aime me trouver avec elles et puis (…) je ne pense plus qu’au poisson » en font un pers. totalement ignorant des réalités amoureuses (infidélité de sa