Betterave sucrière

fournissent beaucoup de substances naturelles, telles que le coton, le bois, le lin, les huiles végétales, certaines cordes et le caoutchouc. La production de la soie ne serait pas possible sans la culture du mûrier. La canne à sucre et autres plantes sucrières sont utilisées comme sources de biocarburants, et offrent une alternative à l'utilisation des carburants fossiles. 4 Comprendre les changements environnementaux Les végétaux peuvent aussi nous aider à comprendre les changements dans notre environnement

estimait à 10 000 kg par hectare le rendement à Java contre 4500kg par hectare le rendement le plus important dans les Antilles notamment française. Mais aussi par l’augmentation de la production du sucre de betterave en Europe à la suite des perfectionnements apportés à l'industrie sucrière en Allemagne. De fait, cette crise économique a eu de grandes répercussions sur les travailleurs, majoritairement noirs qui furent les premiers touchés. Ces derniers entrèrent dans un mouvement de grèves et de

plusieurs régions au Maroc avec des parts différentes. Répartition par région de la production des industries de l'agroalimentaire 2. Présentation de l'entreprise mère (COSUMAR) : Fiche signalétique: * Raison sociale : Compagnie sucrière Marocaine et de raffinage. * Statut juridique: Société anonyme. * Capital social : 419 105 700 de dirhams. * Président directeur général : M. Mohammed FIKRAT. * Directeur général: Mohammed LAZAR. * TVA: 30710380 * Registre

des graines ou des céréales. La filière alcool Le biocarburant de la filière alcool est produit à partir d’amidon, de cellulose ou de lignine selon les procédés. Les principaux végétaux utilisés sont le maïs, le blé, la canne à sucre et la betterave sucrière. Le bioéthanol est un alcool issu de la fermentation du sucre présent dans la matière végétale. Les arbres et les graminées, sont également utilisées comme matières premières pour la production d'éthanol. L'éthanol peut être utilisé comme carburant

Rif jusqu'au Moyen Atlas, le bassin de Sebou (36 000 km2) se compose de bas plateaux, de cours d'eau, quelques collines et des plaines fertiles qui permettent la culture de plusieurs aliments. Dans la plaine du Gharb, on trouve des champs de betteraves sucrières, de riz, de cannes à sucre et de tabac. Cette plaine se distingue des autres par la présence de la forêt de Maâmora où on y fait l'exploitation de chênes-lièges et d'eucalyptus. De vastes plaines apparaissent aussitôt qu'on dépasse le pays

avancée (type Angleterre), mais insuffisance du taux d’ouverture. 2) Les sources d’impulsions (page 138) : La croissance agricole : * Progrès isolé, dans l’outillage, augmentation du nombre de cultures de la pomme de terre et de la betterave sucrière. * Augmentation des rendements : hausse du volume de la production. * Intensification : augmentation des surfaces cultivées (diminution de la jachère). La rénovation des transports : * Modernisation des transports traditionnels

d’eau. 11 BETTERAVE Beta Vulgaris var. Altissima Partie utilisée : Racines La Betterave facilite la Digestion Ses origines : La Betterave rouge (Famille des Chénopodiacées) est une plante bisannuelle cultivée pour sa racine pivotante. Elle peut être consommée crue, mais se mange généralement cuite. La Betterave est un légume d’hiver qui supporte bien le froid de nos régions du Nord, et la France reste le principal pays producteur européen. Ses particularités : La Betterave rouge est beaucoup

montagnes, et c'est le seul pays du Maghreb à disposer d'une immense chaîne de montagne l'Atlas. Les plaines ont de très grandes étendues, s'étirant des montagnes du Rif jusqu'au Moyen Atlas. Dans la plaine du Gharb, on trouve des champs de betteraves sucrières, de riz, de cannes à sucre et de tabac. Langues : Le Maroc est une terre de Berbères, partiellement arabisée il y a 13 siècles. Environ 40 % des marocains ont eu pour langue maternelle le berbère ou amazighe. La langue officielle du Maroc

productions irriguées se modifie au cours des années 80; alors qu’elles étaient souvent présentées surtout comme des productions destinées à l’exportation, on les voit de plus en plus satisfaire une demande nationale en expansion. Au-delà des productions sucrières et bananière qui ont bénéficié d’un soutien et d’une protection sans faille de la part du gouvernement afin de substituer des importations, l’abondance des cultures de fruits et légumes, dans un contexte de marché libre et concurrentiel, a permis

plusieurs campagnes de transport de grande envergure telles : | |- le transport de grandes quantités de blé importé, du port de Casablanca vers les minoteries, implantées à travers le Royaume, | |- l´acheminement de la betterave et de la canne à sucre, des champs de culture vers les usines de traitement, | |- le transport de la bouture,