Bien Agir Par Devoir

La morale – liberté, devoir, bonheur – La morale est un savoir particulier qui permettrait de bien agir, de connaître le bien et le mal, de faire en sorte d’agir selon certaines valeurs que nous considérons comme légitimes. Mais il ne suffit pas de suivre un code de bonne conduite pour agir moralement – cf distinction de Comte-Sponville entre politesse et morale -. La morale suppose un sujet capable de s’interroger sur ses actes et ses devoirs, un sujet conscient de ses responsabilités

Vrai, le Bien et le Beau sont reliés dans l’allégorie de la caverne (République , VII). Donc la vraie morale serait la bonne , celle qu’il faut suivre. « La vraie morale se moque de la morale » * « La morale » serait la fausse morale, la mauvaise morale * Principe de responsabilité ? morale positive de la responsabilité * Différence entre moralité et légalité (agir conformément (par peur) au devoir ou par devoir) * Morale : discours hypocrite des faibles ? chacun doit agir par conscience

soi-même ? - Agir moralement, est-ce nécessairement lutter contre ses désirs ? - Le sentiment du devoir accompli suffit-il à fonder la moralité de nos actions ? - La morale est-elle affaire de principes ou d'expérience ? - Y a-t-il des actes impardonnables ? - Morale conséquentialiste (conséquentialisme) et morale déontologique (déontologisme) 2. La connaissance morale ; la connaissance de la morale - La morale s'apprend-elle ? - Faut-il savoir ce qui doit être pour bien juger de ce qui

ne sont plus considérés comme un instrument mais une fin, alors que si l’homme voudrait uniquement chercher un bien matériel, il tombera dans l’erreur car il fait de lui-même un instrument. C’est pour cela que Kant n’invite pas l’homme à agir selon une sensation quelconque, mais selon la sensibilité qui fait de lui un Homme, et ce n’est pas seulement une invitation mais plutôt un devoir. Et pour Kant l’homme est sous cette obligation car il peut et parce que un acte semblable rendre à l’homme sa

: « Fais ton devoir sinon gare à la sanction ! » est un ordre que subit celui à qui il s’adresse, dès lors qu’il est accompagné d’une menace extérieure, ordre qui vise à inscrire l’action dans le cadre d’une nécessité irrésistible et à supprimer sa liberté de choix de son auteur. Le pouvoir d’agir qu’implique de faire son devoir, sinon de le réussir, est alors la conséquence de la menace et de la peur qu’elle provoque et non de la capacité du sujet à s’engager volontairement à agir parce qu’il sait

pur calcul égoïste. Certes on peut constater souvent que c'est l'intérêt qui motive nos actions, mais ne peut-on pas penser que les hommes agissent parfois de manière désintéressée ? Si l'acte moral est possible c'est que les hommes peuvent ne pas agir que par intérêt. Nietzsche montre ainsi que l'intérêt est toujours présent malgré tout. Est-ce dire alors qu'aucun acte moral n'est possible ? Généralement, lorsqu’on dit d’une personne qu’elle ne recherche ou ne poursuit que son intérêt, on signifie

intérêt général, mais aussi parce qu’elle permet un équilibre et un certain ordre social. Mais il faut alors se demander si l’obéissance aux lois, si les devoirs de citoyens n’empêche pas les hommes d’être heureux. Le bonheur n’est pas quelque chose de collectif, il est personnel. Ainsi, il ne réside jamais dans la même chose selon les individus. Agir au gré de ses envies et les voir toutes satisfaites correspond à un idéal de bonheur fort répandu. Mais chacun sait que l’existence des hommes ensemble

débat repose des questions qui concerne plus profondément la question de : 1. (sur le plan des questions existentielles) : La liberté. 2. (sur le plan éthique ou moral) : La morale (ou raison , bonheur) 3. (sur le plan politique) : Le devoir Développement de ces trois raisons : Idée 1. (formulation de la 1er raison)Définition(s) (des mots clefs) | L’homme même s’il croit être libre, ses volontés sont en fait déterminées par des causes, comme n’importe quel phénomène naturel. La liberté

l’obéissance à une loi (obligation et non contrainte) =direction déontologique (=ce qui doit être) I- La direction éthique de l’action 1/ Le bonheur comme Souverain Bien : l’agir prudentiel ARISTOTE, Ethique à Nicomaque Toute action et toute chose visent leur Bien cad leur finalité, l’accomplissement de leur être. Le bonheur est le Bien Suprême de l’homme cad l’accomplissement de son humanité. Le bonheur correspond à un accomplissement pratique du logos = pensée (car essence de l’homme) en tant

TENDAYOUDABANY Radja Lundi 3 janvier 2011 TS5 Devoir de philosophie Sujet : Que vaut cet adage : « Le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions » ? Tout d’abord un adage est une énonciation courte, qui tien un certain fait important de l’expérience, qui est considéré vraie et importante a de nombreuses personnes, de plus un adage gagne en crédibilité avec sa longue utilisation. Les adages peuvent être très différent les unes des autres, comme par exemples de l’observation intéressante