Bienséance

autrichienne où chacun occupait une place définie dans la pyramide que représentait alors la société autrichienne à son époque. Les bourgeois, et les aristocrates, ayant grandis dans un monde de finesse, d’esprit (intellectuellement s’entend), de bienséance —où les règles imposaient bon goût, élégance et politesse— siégeaient au sommet de cette pyramide. Ils étaient alors discrets, modestes et paisibles, cultivés et possédaient des impératifs moraux qui en faisaient, des gens respectés et tenus en

35 + voc du cœur, v.36, 69-72, Relever dans la tirade le vocabulaire de la flatterie qu’Alceste reproche aux « gens à la mode », les courtisans. 2) Philinte et la bienséance : « il faut bien », v.38 ; « quand on est du monde … que l’usage demande », v.65-66 ; « il est bon de cacher ce qu’on a dans le cœur », v.76 ; « la bienséance », v.77 Pour lui, rien de pire que le « ridicule », v.74 Il préfère s’amuser que s’indigner des défauts du monde (cf. la vieille Emilie et Dorilas) CCL : (en fonction

c’est l’exemple que donne Yasmina Réza avec ses personnages Alain et Véronique qui s’accapare la conversation et les représente comme des personnages vaniteux. De même, nos pulsions et notre emportement entrainent d’autres réactions venant gêner la bienséance d’une conversation. La Rochefoucauld nous exprime le fait que parfois la conversation devient le souhait d’offenser l’autre. Une fois la pièce de théâtre nous montre des personnages faisant preuve d’animosité, d’ironie, et se critiquant ouvertement

règles bien précises, à savoir, la règle des trois unités, c'est à dire une unité de temps (l'histoire se déroule en une seule journée), une unité de lieu (un seul décor) et une unité d'action (une seule intrigue). Une deuxième règle est la règle de bienséance, les meurtres, les suicides devaient se dérouler à l'extérieur de la scène, et racontés par un personnage. Il y a aussi la règle de vraisemblance, c'est-à-dire que l'intrigue et la situation d'énonciation doivent être possibles. De plus, les comédies

pour le potier, ces vases seraient tous de tailles et de couleurs différentes; une différence considérable aurait fait que ces vases seraient inclassables. En théatre, il y a également des règles à respecter. Les plus connues sont celles de la bienséance (unités de temps de lieu et d'action),règles qui furent respéctées dès la seconde moitié du XVIIème siècle. L'écrivain devait les respecter, sinon ce qu'il avait écrit n'était pas considéré comme une oeuvre. En revanche, même si la liberté du

registres de langue, au nom de la sacro-sainte règle de la bienséance (voir plus bas). - L’établissement de règles et de contraintes, et ce dans tous les genres littéraires. Citons pour le théâtre la règle des trois unités (unité de lieu, de temps et d’action) édictée par Boileau dans son Art poétique : « Qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli/ Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli .» La règle de la bienséance est également établie, au nom de la vraisemblance : il

En effet, au fil des siècles, de certaines habitudes de représentation se sont transformées en règles. Il y par exemple a partir du XVIIe siècle, la règle des trois unités : unité de lieu, unité de temps, unité d’action. Il y a aussi la règle de bienséance et d’autres … Mais ces règles n’ont pas toujours étaient respectées. En effet durant l’antiquité par exemple, certaines pièces de théâtre ne pouvaient être jouer car elles étaient trop longues … De la même façon, plus tard au XVIIe siècle, certaines

des rôles et des rapports de forces sociaux au théâtre. RB en décalage avec sa société (rentré dans la haute société sous un faux nom et par le crime qu’il a commis) → archétype du héros romantique. Mort de RB sur scène → plus de règle de bienséance. Mélange des genres (sublime, pathétique et tragique) Nouvel alexandrin (trimembre) Conclusion Contraste entre les deux personnalités mais une évolution de chacun tout au long de la scène où ils se révèlent tous deux. Mélange des tonalités

(de lieux, d’action et de temps) ne sont plus respectées comme nous pouvons voir la didascalie qui introduit la scène «dix-sept ans après» or selon la règle des trois unités l’action ne devait durer que vingt quatre heures. De plus, la règle de bienséance n’est plus suivie, effectivement, on peut lire dans la didascalie de la ligne 25-26 «Oedipe aveugle apparaît» ou plus loin a la ligne 58-59 «Jocaste parait […] morte blanche, belle, les yeux clos» car rappelons que selon les règles du théâtre classique

caractéristiques du romantisme a) la liberté : Les romantiques voulaient un 14 juillet des lettres (révolution littéraire) La liberté par la forme et le contenu Règles imposées par le classicisme (racine, bienséance (pas de scène choquante), Règle des 3 unités Refus de la règle de bienséance (mort) Refus de la règle des 3 unités Refus de la vraisemblance On peut rire et pleurer (mélange de tous et de genre (Shakespeare)) Met de coté les formes fixes (vers, sonnet) et on a un style plus libre