Bienséance

troupes de comédie avec masques, en 1528. Le théâtre classique 1. La règle des 3 unités est al règle qui dit qu’une pièce de théâtre classique doit se passer en maximum 24 heures en un seul lieu et une seule intrigue doit être représentée. La bienséance consiste à ne pas choquer le spectateur. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être rapportés aux spectateurs sous forme de récits. De plus, les personnages doivent agir selon leur rang social pour respecter la vraisemblance

l’unité de lieu (il faut un décor de palais pour une tragédie, un intérieur bourgeois pour la comédie) et l’unité d’ action (il faut tenir l’intrigue à une action principale). • La vraisemblance et la bienséance. La vraisemblance vise à montrer sur scène ce que le public peut croire. La bienséance interdit de faire couler le sang sur scène. On doit mourir en coulisses. Le Cid (1636) de Corneille choqua en mettant en scène la confrontation de Rodrigue et de Chimène après l’assassinat du père de celle-ci

déroule sur une journée à partir du petit matin -la nuit se prolonge à la demande de Jupiter), et une unité d’action (Amphitryon revient de guerre et Jupiter, qui a séduit Alcmène en son absence en prenant son apparence quitte Alcmène) ; même si les bienséances sont respectées, la pièce ne saurait être qualifiée de comédie "classique". Plusieurs arguments peuvent être avancés. En effet, Molière a mélangé les genres et les registres. Certains personnages sont nobles, comme Alcmène et Jupiter (langage

beauté du peuple français. On y retrouve l'idéal de l'honnête homme qui se doit d'agir comme s'il était à la cour du Roi (cultivé, humble, courtois). Elle se doit, de plus, d'être réaliste sans toutefois manquer de respecter les règles de la bienséance, ce qui modère grandement l'aspect de réalisme mais qui conserve la noblesse. C'est une période où on retrouve un climat religieux, moralisateur comme avec les Fables de La Fontaine. On y retrouve aussi un retour aux textes antiques et l'ajout

dernière, l’unité de lieu qui doit respecter le fait que l’action doit se dérouler en un lieu unique. Il existe d’autres exigences comme l’unité de ton pour pouvoir séparer une tragédie d’une comédie, les bienséances externes qui doivent faire attention de ne pas heurter le public et les bienséances internes qui relèvent de la cohérence des caractères des personnages. Leur caractère est développé de manière cohérente jusqu’à la fin de la pièce. Exceptions notables : la mort de Phèdre, dans la pièce

TEST NUMERO 1 : Chapitre 1 : Qu’Est-ce que le droit ? L’organisation du droit -Droit : ensemble de règles qui régissent les rapports entre les hommes dans une société. - Bienséance : ce qu’il convient de dire, de faire ou ne pas faire dans une société, savoir-vivre -Morale : ensemble de normes, de règles de conduite propres à une société donnée. -Coutume : droit crée par les mœurs et les usages (le plus souvent par oral). -Constitution : loi fondamentale d’un Etat, pouvoir judiciaire, législatif

CM 17èmeCM Littérature du XVIIè Licence 1 - Lettres Séance 1 La tragédie au XVIIè siècle I - Placer les pièces dans leur contexte A) Les dates des quatre pièces Tristan l’hermine, La Marianne 1636 (publié en 1637) Pierre Corneille, Cinna 1642 (publié en 1643) Jean de Rotrou, Le véritable Saint Genest entre 1644 et 1646 (publié en 1647) Jean Racine, Britannicus 1669 (publié en 1670) B) Qu’en est-il de la production tragique au XVIIè ? La tragédie n’est pas très prisé, c’est plutôt

une bouche rose, des dents « bien rangées aussi transparentes que de la porcelaine », deux fossettes « aussi fraîches que celles d’un enfant ». Description psychologique : * Elle maîtrise parfaitement l’art des convenances, l’art de la bienséance ainsi que l’art de la flatterie. Pour obtenir les renseignements qu’elle veut auprès d’un homme, elle sait jouer de son charme et utiliser la flatterie au mieux. Elle appelle par exemple Merle « Monsieur l’officier », flattant le capitaine et le

4-1 Quelles sont les autres règles de vie? Il existe deux types de règles de vie : La règle de bienséance : règles de politesse, de courtoisie, de jeux de société. La règle de morale (ex : essayer de faire Le bien autour de soi). 4-2 En quoi ces règles sont-elles différents de la règle de droit ? La règle de droit est obligatoire et sanctionné. Tandis que les règles de morale et de bienséance ne sont pas obligatoire est pas forcément sanctionné. Elles peuvent seulement être sanctionnées par

la vraisemblance et de la bienséance : La règle de vraisemblance n’oblige pas à la vérité mais demande d’imiter le vrai. On retiendra les deux vers de Boileau : « Une merveille absurde est pour moi sans appas L’esprit n’est point ému de ce qu’il ne croit pas.» Les batailles ou les scènes de combat mythologique (la mort d’Hyppolite poursuivi par le char du soleil dans Phèdre) ne peuvent donc être représentes et doivent faire l’objet d’un récit. La règle de bienséance permet de ne pas choquer