Bienséance

de son fils. Elle sort désespérée de chez Maude et tente de trouver une solution. Ptique: Montrez que le dramaturge bouleverse les règles traditionnelles du théâtre Plan: 1.Mise en scène qui ne respecte pas les trois unités 2.À l’encontre de la bienséance I/ Un bouleversement des règles des trois unités A) Le non-respect de l’unité de lieu -Le titre « Lieux simultanés » ainsi que la didascalie qui précède la scène nous le rappelle avec l’expression à la fois : On se retrouve chez Mme Chasen, dans

classique. Le classicisme est un mouvement littéraire qui nait en réaction au courant baroque qui est dans l’excès. Le manifeste classique est l’Art poétique de Boileau. Les règles sont les unité de temps lieu et d’action et la vraisemblance et la bienséance. Les classiques veulent divertir et instruire. Racine appartient a la 2 eme partie du XVIIe s , orphelin a 3 ans il reçut une éducation chez les jansénistes. Sa vie se divise en 2 partie. La première religion/mondain et deuxième religion. PH,

La pièce se déroule dans une antichambre du palais de Néron. Elle commence dès l'aube et se termine en début de soirée lors de la mort de Britannicus et l'action accomplie que le destin de Britannicus a été accompli. Ensuite il y a la règle de la bienséance. C'est lorsque les actions sont impossible à voir ; dans Britannicus On ne voit pas la mort de Britannicus car c'est décrit pas Burrhus lorsqu'il est sorti de la salle. Et enfin, il y a la règle de la vraisemblance ; c'est lorsque les actions dans

serions horrifiés, nous acceptons ici, facilement la scène qui se déroule dans ce cadre. La règle de bienséance au théâtre doit malgré tout être respectée afin de ne pas heurter le public avec des scènes choquantes. Les batailles qui engendrent des tueries doivent se dérouler hors scène et être rapportées au spectateur sous forme de récit. Nicolas Boileau illustre cette règle de bienséance à travers cette citation : « ce qu’on ne doit point voir, qu’un récit nous expose ». Nous pouvons

une unité de temps (l'histoire se déroule en une seule journée), une unité de lieu (un seul décor) et une unité d'action (une seule intrigue). Cette règle des 3 unités était censée capter l'attention du spectateur. Une deuxième règle est la règle de bienséance, pour ne pas choquer les spectateurs, qui étaient souvent des femmes et des hommes de la cour du roi. Les meurtres, les suicides devaient se dérouler à l'extérieur de la scène, et racontés par un personnage. Il y a aussi la règle de vraisemblance

va perdre son importance et se transformer : elle est notamment représentée par Crébillon père et Voltaire. Le premier en fait une sorte de drame sanglant très expressif : il inclut sur scène des scènes atroces qui contrastent avec les règles de bienséance qui prévalaient au XVIIème (par exemple, dans une des pièces, un père boit le sang de son fils.) Le genre s'oriente petit à petit vers une tonalité dramatique. Voltaire écrit environ une vingtaine de tragédies dont les plus connues sont Zaïre et

« historiettes » (suffixe dépréciatif – petites histoires sans intérêt). ==> Arrias ne respecte pas les bienséances contredit le code de l'honnête homme, de la mondanité. La Bruyère se moque de ce « mondain » qui ment par pure vanité. Ce portrait constitue un blâme qui vise un défaut moral et social. II. La satire d'un vaniteux Un vaniteux piégé - Outre l'irrespect des bienséances, Arrias est un menteur. Il se laisse emporté par le désir de briller dans la conversation. Il se pense

». Après avoir écrit des poèmes, il se consacre au théâtre. Phèdre en 1677. Au 17ème siècle, la tragédie est le genre majeur du théâtre. Elle est codifiée par la doctrine classique dérivée d’Aristote : L’unité de temps, de lieu et d’ action, la bienséance, la vraisemblance et la catharsis. C’est toujours un héros qui commet une faute, qui subit le conflit de base, il est déchiré entre la passion et la raison. En plus, on trouve régulièrement le triangle amoureux qui cause la dépendance des personnages

donner une illusion de naturel ; il importe avant tout de ne pas choquer le lecteur. C’est pourquoi les règles de vraisemblance et de bienséance jouent un rôle majeur. La vraisemblance correspond à ce qui peut paraître vrai. L'objectif n'est pas de représenter la vérité mais de respecter les cadres de ce que le public de l'époque considère comme possible La bienséance conduit au respect des conventions. Il s’agit, d’une part, de ne pas choquer le public. D’autre part, les agissements et les sentiments

partie des dévots ". Ils luttent contre les libertins, les protestants, les hérétiques, les jansénistes, etc... 4. A l'époque de Molière, " un honnête homme " désigne un noble intelligent, agréable, sociable, conciliant et respectueux des " bienséances ". Sur le théâtre au XVIIème siècle 1. Le baroque s'est exprimé dans tous les arts comme dans l'architecture et la peinture où domine le goût de la décoration spectaculaire et du monumental. Le baroque en littérature traite souvent de l'instabilité