Bienveillance Kant

(irdische Glückseligkeit). C’est pourquoi on essaye de se libérer de toute forme de dépendance (die Abhängigkeit) spirituelle et politique. En 1783 le philiosophe Immanuel Kant caractérise l’Aufklärung comme “l’homme émergeant d’une tutelle qu’il s’est infligé lui-même”; par cette “tutelle” (Unmündigkeit) – ou immaturité spirituelle – Kant entend “l’incapacité de se servir de sa Raison sans la conduite d’autrui”. Est donc décisive l’utilisation de la Raison (die Vernunft) et le courage de penser par soi-même

polémique. L’extrait étudié en fait parti. Dans ce dernier, Eichmann est donc accusé d’être un criminel nazi. Pour se défendre, il déclare avoir agit selon les principes de Kant. Cependant, Hannah Arendt essaye de démontrer que ses actions n’ont absolument aucun rapport avec les principes de ce célèbre philosophe. Kant est un philosophe qui a beaucoup étudié la question de la morale. Selon lui, agir par devoir c’est agir de manière totalement désintéressée et autonome. C’est à dire agir selon

conséquencialiste. La théorie Kantienne, elle, ne prend pas en compte les conséquences de nos actions. Selon Kant, les hommes ont un devoir général de vérité. Dans certaines situations comme celle-ci, cette règle engendre des comportements absurdes. Prenons un exemple: des malfaiteurs qui sont à la poursuite d'une personne innocente veulent savoir où cette dernière se trouve. D'après la théorie déontologique de Kant, il serait plus moral de livrer cette personne aux malfaiteurs que de la cacher. Sachant que les

cette contrainte ne signifie pourtant pas une absence de liberté, au contraire. Kant : c'est seulement parce que l'homme a une volonté imparfaite, ie susceptible d'être déterminée par la sensibilité et non par la seule raison, que, du coup, les exigences de la raison lui apparaissent comme des contraintes, et qu'elles prennent  la forme d'impératifs : elles s'énoncent selon la forme "tu dois...". Mais il faut, dit Kant, distinguer deux grandes sortes d'impératifs :   - les impératifs hypothétiques

Les hommes sont gouvernés par des règles de conduite qui sont d’essences différentes, parmi elles ont retrouvent le droit, la morale et la religion. Parler de Kant, Ripert etc, pour en venir à la définition des trois termes. Problématique : « Dans quelle mesure concilier la morale et la religion dans l’élaboration de la règle de droit ? » Annonce de plan : I la conciliation d’intérêt à priori antagonistes A) La pénétration de la morale et de la religion dans l’élaboration de la règle

Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l’ordre du monde ; et généralement, de m’accoutumer à croire qu’il n’y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir, que nos pensées, en sorte qu’après que nous avons fait notre mieux, touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est, au regard de nous, absolument impossible. Et ceci seul me semblait être suffisant pour m‘empêcher de rien désirer à l’avenir

LUMIERES définir le mot « lumières » • quel est son sens figuré ? • Quel sens spécifique peut-il prendre • Quel lien unit ces deux définitions ? • Quelle est la définition des « lumières » selon Kant ? (cf. texte joint) I. les grandes découvertes au temps des lumières : 1) l’économie : • Quelles sont les innovations économiques majeures ? • Qu’est-ce que la révolution industrielle ? Comment naît-elle 

bac », certains points (raison et passion, par exemple) ne sont pas développés, d'autres (l'évidence) le sont plus qu'il n'était possible en commentaire. Et on trouve ici des allusions à un cours particulier, dont l'élève ne dispose pas forcément (Kant, Rousseau). Mais cela respecte en gros la forme attendue d'un commentaire. Je vois,par exemple, que deux fois deux font quatre, et qu'il faut préférer son ami à son chien, et je suis certain qu'il n'y a point d'homme au monde qui ne le puisse voir

L’existentialisme selon Sartre est une doctrine qui se caractérise principalement par la subjectivité de l’homme qui dirige son propre destin. L’existentialisme chrétien et l’existentialisme athée dont Sartre fait partie ont tous les deux une conception différente de leur philosophie «excepté l’existence qui précède l’essence». La conception athée de cette doctrine a comme point de départ la subjectivité de l’humain. Dans l’existentialisme de Sartre, Dieu n’existe pas. S’il existait nous devrions

Dieu7». Le mystique tentera de se rapprocher de ce mystère par des voies qui ne sont pas celles de la raison. ------------------------------------------------- Foi et raison[modifier] ------------------------------------------------- Chez Kant[modifier] Kant semble illustrer le conflit dans la Critique de la raison pure quand il écrit : « J’ai donc dû supprimer le savoir pour lui substituer la croyance8 » Plusieurs traductions ont été proposées : a) « J’ai donc dû supprimer le savoir pour lui substituer