Biodiversité Argumentatif

Témoin et victime de la dégradation de notre environnement, l’abeille, première ouvrière de la biodiversité, est en danger… Depuis plus de 10 ans le constat est sans équivoque : l’abeille disparaît de nos campagnes. L’utilisation de manière prépondérante de pesticides puissants, le développement de la monoculture, la disparition des haies et des prairies fleuries, l’urbanisation grandissante, les écosystèmes non respectés, l’assèchement des zones humides… appauvrissent et détériorent les ressources

développement (CNUED) à Rio de Janeiro (Brésil). La Convention entre en vigueur un an et demi plus tard, le 29 décembre 1993. En 1999, 176 pays sont partis à la Convention. La communauté internationale commence à s’inquiéter véritablement de la biodiversité en 1972, à la Conférence des Nations Unies sur l’environnement humain tenue à Stockholm. Sous la houlette du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), le Groupe de travail d’experts sur la diversité biologique (appelé plus tard « Comité

enfants, sans renouvellement des ressources naturelles indispensables à la création des richesses, et avec pour seul but le profit à court terme, n'est pas soutenable. Ce modèle économique et de société détruit les ressources naturelles et la biodiversité, creuse les inégalités de niveau de vie entre les êtres humains, accroît la pauvreté et favorise les émissions de gaz à effet de serre, responsables du réchauffement climatique. Une autre vision de l'économie, plus sociale et solidaire, doit être

propre à la consommation. Elle n’est ni traitée ni filtrée et représente un danger parfois mortel en raison des polluants que l’on peut y trouver. III / La Faune et la Flore : Située dans l'écozone indomalaise*, l'Inde abrite une grande biodiversité : 7.6% des mammifères, 12.6% des oiseaux, 6.2% des reptiles, et des plantes à fleurs vivant sur la Terre s'y trouvent. L'Inde possède beaucoup d'écorégions, commes les forêts de Shola qui présentent des taux extrèmement élevés d'endémisme* :

comestibles, les plantes aux fruits comestibles ou le bon bois d'ceuvre —, malgré leur grande valeur pour les hommes, ont été exterminées dans le passé, notamment lors de l'effondrement des sociétés de l'île de Pâques et de l'île d'Henderson. La perte en biodiversité est tout aussi grave. Le monde naturel tout entier est composé d'espèces sauvages qui nous 546 Effondrement Le monde est un polder... 547 fournissent gratuitement des services qu'il peut être très coûteux, voire impossible, de nous

la pollution des nappes phréatiques. Le trou de la couche d'ozone augmente est réduit la protection aux rayons du soleil. Ainsi, la déforestation, le recul des zones naturelles devant l'urbanisation, les cultures et les pollutions réduisent la biodiversité par l'extinction de certaines espèces de la faune et de la flore. Les activités humaines telles que l’agriculture, l’usage de combustibles fossiles, et les rejets industriels provoque un réchauffement climatique causé par l'effet de serre qui

BIOSPHÈRE ET BIODIVERSITÉ L’écologie est la science qui étudie la biosphère et la biodiversité. Ces deux concepts qui concernent la vie (bios en grec signifie vie) font partie d’un même ensemble, se complètent, interagissent et établissent des relations complexes avec le milieu. LE CONTENANT : LA BIOSPHÈRE Au sens littéral, la biosphère représente la sphère de la vie, c’est-à-dire le volume dans lequel évoluent les êtres vivants : c’est donc le contenant. La biodiversité qui signifie la diversité

Le Parc National de la GuadeloupeLa forêt tropicale et le massif montagneux de la Basse-Terre constituent une zone de biodiversité exceptionnelle en France. En1970, le Conseil général de la Guadeloupe voulu donner une estimation à cette valeur naturel en l’appelant :"Parc Naturel de Guadeloupe" qui sera géré par l'ONF. Des sentiers de randonnée y ont été aménagés. C’est le 20 février 1989 que ce site fut officiellement proclamé Parc Nationale de la Guadeloupe. La Guadeloupe a été désignée Réserve

Greenpeace a proposé la création d'un fonds international par les pays industrialisés pour arrêter la déforestation dans le monde.  Il faudrait de 20 à 27 milliards d'euros par an pour y parvenir d'ici 2015. Cette proposition vise à protéger la biodiversité et le climat.. Les pays riches, qui ont une responsabilité historique dans les émissions de gaz à effet de serre (GES) et le réchauffement climatique, aideraient ainsi les pays à conserver leur forêt tropicale et à ne plus les transformer en surface

| |fortement été montrées au début des années 70 : désertification, déforestation, le « trou » dans la couche d’ozone… qui sont toutes de nouvelles | |inquiétudes auxquelles s’ajoutent la disparition de nombreuses espèces de la biodiversité et le réchauffement climatique. | | | |Pourquoi le développement