Biosphère II

tissus → organes → organismes → population Biocénose ou communauté : ensemble des populations de différentes espèces, interagissant entre-elles, dans un lieu donné, à un moment donné. Biome : subdivision de la biosphère, homogène du point de vue macroclimatique et macro géographique. Biosphère : ensemble des êtres vivants peuplant la planète, et en interaction indirecte ou directe. Contribuent à former l'écosphère. Le vivant s'organise par imbrication structurelle... Le tout est plus que la somme de

l'évolution de quatre types de capital qui interagissent les uns sur les autres. Objectif : préserver les possibilités de développement pour les générations futures. *Capital naturel Stock des ressources: minéraux, plantes, animaux, air, pétrole, de la biosphère terrestre, qui sont des moyens de production d'oxygène, de filtration de l'eau, de prévention de l'érosion, ou comme fournisseur d'autres services naturels. Le capital naturel constitue une approche d'estimation de la valeur d'un écosystème. La croissance

A) Les expériences et les découvertes de l'homme sur la vie fermé sur Mars -Les biosphères. -Les expériences. Depuis le début de la conquête spatiale et notamment après le débarquement de l'homme sur la Lune en 1969, une mission spatiale habitée sur Mars est un grand projet de l'astronautique. Sur Terre, les formes de vie ont besoins de nombreuses conditions pour subsister notamment la présence d'eau qui est obligatoire, une atmosphère adequate, une planète a distance proportionnelle du soleil

la croûte terrestre: eau souterraines, combustibles fossiles et métaux). Section 3 - LA GÉODYNAMIQUE EXTERNE. La surface de la Planète n'est pas statique, mais obéit aussi à une dynamique contrôlée par les interactions entre l'hydrosphère, la biosphère, l'atmosphère et la litho/asthénosphère. C'est cette interaction qui détermine nos conditions de vie sur Terre, entre autre les climats et leurs changements. * Les Continents (la sculpture des continents par les processus d'érosion, eau, glace

l’exemple. Il prend soin de la terre. Notamment en recyclant les éléments dont dépendent toutes les formes de vie de la planète. Un numéro spécial de Scientific American a traité de plusieurs de ces cycles: les cycles énergétiques de la terre et de la biosphère, les cycles de l’eau, de l’oxygène, du carbone et de l’azote, ainsi que les cycles minéraux.         Lewis Thomas, biologiste dont les ouvrages sont largement publiés, a rédigé cet éloge à la terre dans la revue scientifique Discover:  

d’entités appelées écosystèmes et perçues comme étant la plus grande unité de classification écologique du monde vivant. Les définitions de l’écosystème sont multiples. Il s’agirait d’un fragment de la biosphère, la partie vivante de la Terre, considérée comme une entité autonome. Cette portion de biosphère de nature terrestre, marine, lacustre renferme des organismes vivants et des substances inertes qui intéragissent dans l’échange de matériaux et d’énergie. L’écosystème est une entité localisable

Notre groupe est formé de et moi-même . Nous nous somme vite mis d’accord sur notre sujet de TPE et nous avons donc choisie d’étudier le pétrole car cela était pour moi un sujet d’actualité qui était donc intéressant d’approfondir grâce à nos recherches . Nous nous sommes donc répartie le travail pour ma part j’ai décidé de me consacrer à la recherche de « nouveaux pétrole «  qui pourrait le remplacer car il devient de plus en plus rare et qu’il est aujourd’hui et depuis longtemps source de conflits

technique ont engendré la croyance que désormais les humains, seuls maîtres du monde, pouvaient tout se permettre et se devaient de « maîtriser la nature ». Cette conception a été intégrée chez l’homme qui la conduit à l’exploitation sans vergogne de la biosphère, considérée d’une manière significative comme étant l’ensemble des ressources naturelles au seul service de l’homme. Ils ne protégeaient que des éléments déterminés de la nature, comme les stocks de poissons, oiseaux ou phoques à fourrure… Uniquement

sciences sociales en général, dans leur relation avec les sciences naturelles. L’humanité est en effet devenue une «force géologique» selon les termes du prix nobel de Chimie Paul Crutzen, capable par ses activités, de modifier significativement la biosphère. Nous sommes entrés dans une nouvelle ère, l’anthropocène, dans laquelle la Terre ne suit plus une histoire indépendante des activités humaines. Les liens entre les sciences sociales et les sciences humaines sont à repenser. Ce cours en posera quelques

elle. Cependant // cette même question est perçue par L.Ferry comme milieu des polémiques futures confrontant écologistes et anthropocentriques dans des dimensions philosophiques et judiciaires. Quelle est la relation entre l’homme et sa biosphère ? Il y a un grand écart entre les deux, affirme P.Legendre : l’homme est supérieur car il est // doté d’une âme ce qui lui donne le statut de sujet, tandis que l’animal n’est qu’un objet inexistant. Toutefois, M.Serre y voit une relation de complémentarité