Bioéthique Et Eugénisme

la SFSPM, Lille, novembre 2006. 11 Kaplan J.C. Grandes manœuvres des assureurs : la tentation de l’apartheid génétique. Le Monde Diplomatique, Mai 2000. 12 Conférence des églises européennes, commission église et société, groupe de travail sur la bioéthique : Les tests génétiques et la médecine prédictive. Octobre 2003 __________________________ 5 Sandrine de Montgolfier, décembre 2008 © Cet article est protégé et ne peut être reproduit ou copié sans l’autorisation de l’auteur. 10 En cas de citation

réflexion éthique 16 1) Au niveau international 17 2) Au niveau national 17 b) Les questionnements éthiques 17 1) Thérapie génique somatique 18 2) La thérapie génique germinale 18 c) Aspect législatif 19 1) Les lois de bioéthique de 1994 19 2) La loi de bioéthique de 2004 20 2) Révisions en 2009, 2010, 2011 et 2012 21 d) Découverte des lauréats du prix Nobel de médecine 2012 21 e) Problèmes éthiques des cellules souches dentaires 23 CONCLUSION. 24 AVIS PERSONNELS 26 LEXIQUE

n’est pas atteint de ladite maladie (CSP, art. L. 2131-4). Quant à la technique dite du double DPI, ou « bébé médicament », elle a été introduite, « à titre expérimental », en droit français par la loi n° 2004-800 du 6 août 2004 relative à la bioéthique. Elle est réalisée à partir de cellules prélevées sur l’embryon in vitro, pour permettre la guérison d’un enfant aîné atteint d’une maladie génétique (CSP, art. L. 2131-4-1). Vulgaris. Le processus en est le suivant. Un enfant se révèle atteint

C. ENSELLEM, « l’a-filiation : la question de l’accouchement sous x », Problèmes politiques et sociaux, 914, « Filiations : nouveaux enjeux », 2005. A. CHEMIN, « Nés sous X…, la marque du secret », Le Monde, 13 février 2007. A. CHEMIN, « La loi bioéthique française impose depuis 1994 une procédure judiciaire », Le Monde, 15 janvier 2005 / Article 226-28 du code pénal. Sur la recherche de l’identification d’une personne par ses empreintes génétiques. - Activité proposée : Recherche sur l’énigme

l'influence de l'eugénisme dans le sens d'une élimination « douce » de populations « non désirables », puis d'élimination de ces populations sans que le sens de « bonne mort » soit retenu. À ce titre elle intègre l'ensemble des moyens envisagés par les eugénismes scientifiques ou idéologiques pour empêcher ou limiter l'existence de ces populations : stérilisations et avortements forcés, enfermement, déportation, séparation des sexes, etc. Le point culminant de ces pratiques d'euthanasie est leur première

Pages 6-8 : Le médecin imprudent Pages 9-10 : Le médecin indifférent Pages 11-12 : Le médecin imprudent Pages 13-21 : Les causes d'irresponsabilité pénales du médecin Pages 13-16 : La dépénalisation de certains actes particuliers, la bioéthique au sein du droit pénal Pages 17-18 : Le cas particulier de l'urgence Pages 19-20 : Vers un système indemnitaire Page 21 : Bibliographie Introduction : «  Dans la mesure où la mort n’est plus acceptée comme un régulateur

lequel apparaît hybride, exigeant une approche sui generis et se situant dans une position médiane entre les catégories d’objet et de sujet de droit. Un positionnement – certes nécessaire – sur le statut juridique du corps humain engage une réflexion bioéthique contemporaine sur deux aspects. Dans un premier temps, la détermination des pôles de l’existence juridique peut poser problème en raison du « décalage » des temps juridique et biologique : on plaide en vain pour anticiper l’avènement de la personnalité

2002 : « Bioéthique et santé mentale - Sexualité et handicap : de nombreux participants y ont dénoncé les pratiques eugénistes (Axel Kahn, Jacques Testart, Dominique Folscheid). Mais le professeur Milliez a expliqué pourquoi son Service de Dépistage Prénatal (DPN) pratiquait l'euthanasie fœtale », qualifiée « d'eugénisme médical », un « bon eugénisme » puisque répondant à la liberté des parents. Pour Jean-Marie Le Méné, « cette simplification est irrecevable ». Il n'y a pas un eugénisme gentil (médical

nature » ? Dans quel horizon plus inquiétant s'inscrit cette promesse perçue aujourd'hui comme étant tout autant une menace ? II L’envers du pouvoir : contrôler la vie ? 1) Les questions sont souvent posées à cet égard sous forme de dilemmes bioéthiques et concernent plus particulièrement la procréation médicalisée, les formes de médecine « prédictive » liées à la maîtrise des « informations » génétiques (tests, prévisibilités de pathologies), et les « fins de vie », elles aussi de plus en plus

et la morale exercent une influence l’un sur l’autre. Ex : phénomène des mères porteuse qui débute en 1983 aux U.S.A. cela entraîne la loi du 29 juillet 1994 : relative au respect du corps humain ou encore la loi du 6 août 2004 : relative à la bioéthique. Art 16-7 du code civil : toute convention portant sur la procréation ou la gestation pour le compte d’autrui est nul. Il existe bien sur des différences entre les pays puisque certains acceptent ce phénomène. B- Les règles juridiques contribuent