Bipartisme Souple

s’expliquer d’une part par la mise en place du marxisme. Les partis concurrentiels : dans un système pluraliste, les différents partis politiques entre naturellement en compétition. On peut avoir le multi partisme=choix clair au l’électeur, le bipartisme=la vie politique est entre 2 partis, il y en a un au pouvoir sous le ctrl de celui à l’opposition, le parti dominant= au sein d’une structure concurrentielle, un parti dominant peut apparaitre, le parti dominant s’identifie à la période historique

d’une révision. Les formules de révisions varient selon si la Constitution est souple ou rigide : Dans le système souple = les lois ont la même valeur que la Constitution, le législateur peut la réviser car c’est lui qui fait la loi. Dans le système rigide = la révision du texte ne peut être que le fait d’un organe spécialement désigné à cette fin, suivant une procédure différente de la procédure législative. En souple et en rigide, l’initiative de la révision doit être réservé à certaine autorité :

pouvoirs fait partie des principes fondamentaux du droit constitutionnel et de la philosophie politique. C’est à partir de ce principe en effet que l’on opère la distinction des régimes politiques. Le régime parlementaire étant un régime de séparation souple alors que le régime présidentiel est un régime de séparation rigide. Mais, en droit positif, le Conseil constitutionnel a reconnu à ce principe une valeur constitutionnelle. Il fait donc partie de la Constitution et s’impose au législateur. Son origine

est un des plus anciens répondant à une théorie de séparation souple des pouvoirs et il dispose de caractéristiques particulières, le faisant ressortir à la fois comme un régime stable et original. Le régime en vigueur en Grande Bretagne est un régime parlementaire composé d’un parlement bicaméral, et d’un exécutif bicéphale. On peut alors se demander quelles sont les caractéristiques dominantes actuelles du régime de séparation souple des pouvoirs britanniques. Nous verrons tout d’abord la nécessité

L’évolution de ce concept a permis une classification des régimes politiques, où l'on distingue maintenant le régime parlementaire (séparation souple des pouvoirs, telle qu’énoncée par Montesquieu) (I), et le régime présidentiel (séparation stricte des pouvoirs, telle qu'énoncée par les juristes) (II). I : Les régimes parlementaires : une séparation souple des pouvoirs Le régime parlementaire résulte d’une lente évolution ; il débuta dans la Grande-Bretagne monarchique au XVIIe siècle. Aujourd’hui

Il y a le bipartisme rigide et le bipartisme souple. Dans le bipartisme rigide les partis connaissent une grande discipline de vote. Souplesse ou rigidité dépend de la cohésion au sein des partis. On peut distinguer le bipartisme parfait du bipartisme imparfait qui repose par le nombre de suffrages exprimés par les 2 partis politiques. Le bipartisme parfait est celui ou les suffrages exprimés sont de 90% pour les 2 partis, chacun peut régner sans alliance. En revanche le bipartisme imparfait,

étaient les mots de Winston Churchill, ancien premier ministre britannique au 20ème siècle, montrant l’attachement du peuple au régime parlementaire. Un régime parlementaire est un mode de fonctionnement de l’Etat caractérisé par la collaboration souple des pouvoirs : le gouvernement y est assuré par un cabinet responsable devant le Parlement. Le chef de l’Etat y est politiquement irresponsable et l’exécutif peut prononcer la dissolution de la Chambre. La Grande-Bretagne fonctionne en vertu de dispositions

parlementaire est un système constitutionnel qui se caractérise lorsque le Gouvernement est politiquement responsable devant le Parlement, et quand celui-ci peut faire l’objet d’une dissolution par l’exécutif. Dans ce régime, la séparation est dite souple parce que les deux pouvoirs ont des moyens d’action réciproques. Au sein du parlementarisme, le législatif et l'exécutif ont le même personnel au sens où les membres du gouvernement sont issus de la majorité parlementaire. Ainsi, le Parlement peut

le scrutin majoritaire uninominal à un tour tend à un système dualiste, avec alternance de grands partis ou coalitions indépendants les uns des autres et enfin, le scrutin majoritaire uninominal à deux tours tend à un système de partis multiples, souples, relativement stables et fortement dépendants les uns des autres, tout en conservant la logique du dualisme (notamment via l'exclusion de la représentation des partis moyens n'ayant pas d'alliés suffisamment puissants). M. Duverger qui a présenté

répartitions de pouvoirs. Paradoxalement , ce même régime est aussi une exception parmi les états puisqu'il ne dispose pas d'une constitution écrite. En réalité , c'est ce paradoxe qui explique l'importance de la Grande-Bretagne. Le caractère très souple des institutions a permis de donner naissance à la fois à la balance des pouvoirs qui a conduit au régime américain et au parlementarisme qui est aujourd’hui la forme la plus répandue des séparations des pouvoirs. Chapitre 1 : Les histoires britanniques