Black feminism

d'aujourd'hui est un extrait d’un livre - Nouvelles Questions Féministes. Dans cet extrait intitulé «De la Parité: Un genèse d’un concept, naissance d’un mouvement», elle retrace la naissance et l'histoire de la parité en tant que concept dans le féminisme et la politique française. L’idée de la parité est devenue très populaire dans les années 80s et 90s. La parité peut être considérée comme un concept dans lequel un accès égal est garanti à tous les postes élus (pour tous les groupes de la société

des femmes tandis que d'autres forces (liées à la montée des intégrismes, à l'offensive néolibérale dans le monde, au développement de nouvelles guerres dans de nombreuses régions) mettent en cause ces fragiles acquis. La plus grande conquête du féminisme des années soixante-dix, dans les sociétés occidentales, fut celle de la liberté (dans certaines limites malgré tout) de la contraception et de l'avortement. C'est un bouleversement sans précédent dont ne bénéficient pas encore toutes les femmes

ségrégation sociale et géographique : Cf. l’East End et autres quartiers-ghettos décrits de manière quasi apocalyptique par ENGELS ou par Jack LONDON dans son reportage fantastique sur Londres : Le peuple de l’abîme, de 1902. - destruction du milieu : Black Country, pollution des fleuves… ( ces dégâts du progrès vont engendrer une très radicale critique du capitalisme urbain, qui apparaît chez les grands noms de l’élite cultivée tout autant que chez les militants socialistes : CARLYLE, RUSKIN, MORRIS

inégalitaires ? En quoi la question du genre est-elle un enjeu politique ? Quels ont été les effets de l’apparition des mouvements LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels) sur la scène politique ? Quels rapports y a-t-il entre études sur le genre et féminisme ? ❖ Méthodologie : Au travers d’une investigation à la fois sociologique, politique et historique reposant sur les recherches et les études antérieures, les auteurs visent à répondre à toutes ces questions de manière objective et à présenter

commencent à envisager la discrimination positive. Si la contestation était jusque là non-violente, deux courants font irruptions, beaucoup moins pacifistes : les Black Panther Party et les Black Muslims (Malcom X, assassiné en 1965). Cette contestation s’exprime notamment aux JO de Mexico en 1968. Deux athlètes brandissent le poing à la manière du Black Power et font une déclaration qui est perçue comme une négation de l’Etat et du respect du code olympique. Ils disent que tout n’est qu’une vague supercherie

africaines, la littérature est non seulement un acte de reconquête de la parole féminine longtemps confisquée, mais aussi une façon de contester, à des degrés divers, le pouvoir du mâle et de la société qui le consacre. Les protagonistes littéraires du féminisme africain vont alors pratiquer une mise à distance de la famille, creuset où s’élaborent l’aliénation et la domestication des filles depuis des siècles. Elles brisent le mythe de la mère admirable célébrée par les poètes de la Négritude, car c’est

En France la contre culture apparût après Mai 1968 et fût représenter par la presse. (Libération, Actuel, Novamag, Radios Libres, … c. Différentes contre-cultures Selon l’époque, on peut associer différents mouvement comme contre-culture : - Le féminisme - punk rock - rock indépendant - métal - hip hop - les arts de la rue - anarchisme - nombreux mouvements artistiques (dadaïsme, situationnisme, romantisme) - les fanzines - les tags - Graffitis - Peintures murales - mouvement hippie La principale

d’Amérique et de l’Europe, ce courant déferle sur le monde entier pour finalement arriver en Afrique noire dans la seconde moitié du XXème siècle. Confronté aux mouvements nationalistes qui émergent sur l’étendue du continent dans les années 1960, le féminisme n’est pas, à cette époque, l’une des préoccupations majeures du monde africain. Selon Pierrette Herzberger-Fofana, « les premiers écrits sur la femme africaine datent du XIXème siècle et proviennent d’anthropologues, missionnaires et gouverneurs

Washington. 3) Les Black Panthers Party, → Forrest rencontre un des membres du Black Panther Party lors de l'assemblée pacifiste à laquelle il participe. 4) L'émancipation des femmes Au début du film, Jenny est une petite fille. Elle se fait battre par son père puis, plus tard dans sa vie, elle deviendra strip-teaseuse. La partie de sa maltraitance étant enfant peut être perçue comme la soumission de la femme puis par son émancipation. Cela correspond à l'engouement du féminisme, est plus précisément

envoie sa police politique vous arrêtez parce que vous vous opposez à quelque chose. On peut également parler du marginalisme. A la fin des années 60, notamment en 1968, un certain nombre de mouvements politiques et sociaux ont explosé (ex : le féminisme qui revendique que notre corps nous appartient et que la politique va jusqu’à la maitrise du corps et de la vie). On définit à nouveau la politique comme quelque chose qui va très loin dans l’identité intime de chacun. De dire que tout est politique