Blaise Cendrars

Introduction : En montrant la position inconfortable de l'homme entre deux infinis, le grand et le petit, Blaise Pascal (1623-1662) entend ici souligner la faiblesse de l'homme. Comment l'auteur si prend t'il pour imposer à notre esprit le principe de ces deux abîmes ? On peut aborder cette question sur les techniques argumentatives mises en œuvre dans cette page des Pensées en distinguant les procédés qui s'adressent à la raison du lecteur et ceux qui le séduisent dans sa sensibilité et sa capacité

pas remettre l'action à demain. Je dois manger, etc. Descartes va même jusqu'à prôner le conformisme en matière d'opinions politiques, morales, ou religieuses : là-dessus, on adoptera celles de notre pays. Peu de gens parlent du doute en doutant. (Blaise Pascal)

par lui-même et avec plus d’importance et d’attention sur le problème posé. En somme, La Fontaine laisse entendre que par l’imagination et l’évasion de la pensée, l’homme est plus apte à comprendre le sujet abordé, cependant d’autres écrivains comme Blaise Pascal réfute totalement cette vision des choses dans Pensées « L’imagination » considérant que l’imagination apporte seulement l’illusion et détourne la raison de la vérité.

Blaise Pascal, philosophe et moraliste français du dix septième siècle, meurt à l’âge de trente neuf ans, laissant derrière lui plusieurs liasses de réflexion qui sont rassemblées et publiées, de manière posthume, sous le nom des Pensées en 1670. Tout au long de cette œuvre, dont nous étudierons les liasses II à VIII, il dresse à plusieurs reprises le portrait d’un roi aux multiples facettes. En ce sens nous nous demanderons quelles figures du roi nous propose le penseur. Dans un premier temps,

Dissertation Pascal, ayant été un mathématicien, un physicien et un penseur, amèna une grande richesse de perspective à ses pensées philosophiques: «Comme la télévision nous permet de contempler un spectacle [...] sous des angles divers sans être, comme le spectateur cloué en un seul point, Pascal avait sans doute projeté un ouvrage surhumain, magique, où ses pensées auraient pu se mouvoir, se suivre et s'interrompre, se recomposer diversement, comme les couleurs le font au coucher du soleil dans

L'artificiel est son parfait contre-exemple. Le respect de la nature est une valeur morale qui semble faire de l'homme un être capable de respecter le monde qui l'entoure. Qui le rend apte à se respecter lui-même. On peut donc penser aisément comme Blaise Pascal prétendant que l'homme n'est presque rien sans la nature. C'est pour cette raison que l'on devrait être poussé pour la respecter, la remercier. Cependant, il ne faut pas oublier que ce n'est pas par hasard que l'on a munit l'homme d'une conscience

théâtre. Auteurs et œuvres : Antiquité : Ulysse et les sirènes & La Gorgone : Caravage. Moyen Age : XVIè : Jean-Baptiste Chassignet, Le Mépris de la vie et consolation contre la mort : Louise Labé, Sonnets. XVIIè : Boileau, Satires, X Blaise Pascal, Pensées, XVIIIè : Montesquieu, L’Esprit des lois, présentation de la préface Voltaire, Candide. XIXè : Chateaubriand, Mémoires d’outres tombes. Flaubert, Madame Bovary. 1900-1950 : Marcel Pagnol, Topaze Albert Camus, La Peste 1950-Maintenant :

de son livre, Exemplaire de Bordeaux. 3] Dans cet extrait, le discours argumentatif s'adresse plutôt aux sentiments, l'auteur nous parle de son ressentit lorsque le temps est « mauvais » ou « incommode ». 4] 5] Pascal : Pensées 1] Blaise Pascal (1623-1662) est un mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français du 17ème siècle. Il est l'auteur de Provinciale ou les Pensées. 2] Les Pensées de Pascal sont considérées comme une pièces maîtresse et

différentes employés par l'auteur. Ce corpus est composé d'un essai, d'une poésie, de pensées et d'une fable. L'essai est réalisé par Michel de Montaigne il s'intitule :  « Que philosopher, c'est apprendre à mourir. ».Ensuite il y a les pensées de Blaise Pascal. Ce corpus contient aussi une poésie écrite par Jean de la Sponde . Pour finir cet ensemble de textes contient une fable, c'est un apologue:  « La mort et le Bucheron » écrite par Jean de la Fontaine. I:Explication de la conscience : comment

dans la déchéance, qui rappelle les accents de François Villon. * « Spleen et idéal » : section fondamentale, où misère et grandeur de l’homme, pour reprendre un couple de termes pascaliens (Baudelaire c’était un lecteur assidu des Pensées de Blaise Pascal) s’affrontent sans issue. Entre l’Idéal et le Spleen, le rapport est de cause à effet, car si l’être est attaqué par l’angoisse, c’est qu’il porte un désir d’infini, de bonheur absolu, que rien ici-bas ne peut contenter. Pis encore, l’Idéal