Blame Paradoxal

d'asexuel dans la mesure où il ne "récupère" pas les conquêtes de Dom Juan, ce que pouvait faire un valet moliéresque. Sganarelle mêle souvent les dictons populaires, fait preuve d'un certain bon sens, mais reste assez maladroit. En revanche, l'éloge paradoxal (le célèbre éloge du Tabac, acte I, scène 1) est un procédé littéraire complexe. Il s'adresse à Gusman, le valet de Done Elvire de manière déconcertante : loin de profiter de ce moment d'égalité (en tant que valet), pour s'exprimer dans le patois

chance d’une ville à l’autre. Par sa tirade, il manifeste dès le début de la pièce son goût de l’intrigue et des entreprises risquées, qui lui ont déjà valu des revers de fortune (voir les antithèses « accueilli » / « emprisonné », « loué » / « blâmé ») et l’ont obligé à quitter Madrid (Beaumarchais doit rendre vraisemblable sa présence à Séville). 3. La satire sociale Si l’intrigue se déroule par convention en Espagne, Beaumarchais s’en prend en réalité à la société française. C’est d’abord

temps, afin d'éviter des regrets. Il diffère la future décrépitude de la jeune femme à son propre avenir grâce à l'euphémisme exprimant que lui ne meurt pas mais prend « [s]on repos » au vers 10. Césaire est contre le racisme et il le prouve dans le blâme du « nègre du tramway » qui permet de convaincre le lecteur de l'horreur du racisme. On trouve une hyperbole et une métaphore du nez de l'homme à la ligne 7 « péninsule » et à la ligne 12 « deux tunnels ». Le poète dresse un portrait monstrueux du

placé en tant que source/origine de la Peste, il est condamnée / critiqué / blâmé lors d’une parodie de procès tenu par le LoupLogique de renversement du Renard appliqué au crime de l’âneVoix du Narrateur ici qui guide ainsi la lecture, l’interprétation de la fablev.63-64Parallélisme de construction avec double oxymore « puissant // misérable », « blanc // noir »Couleurs symboliquesEmploi du « vous »MoraleAssociation paradoxale, contradictoire du puissant au blanc, du misérable au noir, alors que la

regret. Elle aurait voulu qu’on lui apprenne le réel visage de la société par exemple au sujet du mariage, on voit qu’elle a eu une éducation cloitreée. CHOIX DE LECTURE ? La femme de la pièce, la duchesse apparaît comme une figure incomprise et blâmée par la société dans Quitte pour la peur. Elle qui aime d’un amour pur et profond n’a pas le droit de vivre son amour au grand jour. C’est la société dans laquelle elle vit qui la met dans une telle situation. La société manque de bon sens, elle privilégie

soit de ce fait toute doctrine dictant une manière de vivre visant à perfectionner l’homme : en niant ses instincts, l’homme devient décadent. Cependant, peut-on vivre uniquement par instinct ? Ne pourrait-on pas l’assimiler à la raison ? Nietzsche blâme tout d’abord le fondement de la philosophie de Socrate qu’il considère comme faux. Puis, il explique que cela concerne toute doctrine quelle qu’elle soit : vouloir lutter contre la décadence est une autre expression de décadence. Ensuite, il introduit

prose, pour nous dire que le poème en prose n'a pas de théorie possible ; Le poème en prose est, pour Baudelaire, comme une pratique en excès par rapport à toute théorie. Enfin, cette préface est totalement désordonnée, ce qui est paradoxal par rapport au recueil ; Or Baudelaire définit son ouvrage comme n'ayant "ni queue ni tête, puisque tout, au contraire, y est à la fois tête et queue, alternativement et réciproquement". Donc si tout est à la fois tête et queue, peut-être que la

Jean-Jacques Rousseau. C’est un texte posthume qui a donc été publié après sa mort. Rousseau fait parti du Siècle des Lumières, à l’époque où d’autres auteurs comme lui étudient le monde qui les entoure. Au XVII è siècle et au XVIII è siècle, l’éloge et le blâme servent à ces auteurs afin de critiquer certains aspects de la société. Ils servent aussi à faire l’éloge de la nature ou bien d’une personne. Ce texte est un récit autobiographique où l’auteur fait, à travers un point de vue omniscient, une rétrospection

croyons être le plus intime est en réalité le produit de notre environnement immédiat ? 1. La position de la thèse A. Origine de l’idée du Moi Alain engage sa réflexion par une affirmation qu’il place sous le signe de l’évidence bien qu’elle soit paradoxale : « l’idée du Moi se forme corrélativement à l’idée des autres ». Or par « Moi » nous entendons plutôt ce que nous avons de singulier, d’unique, et donc d’exclusif. D’où vient la représentation que nous avons de nous-mêmes ? Cela est précisé par

D’UN ÉDIT TURC CONTRE L’IMPRIMERIE A. Les éléments qui s’inspirent du mandement réel (la situation d’énonciation, l’Orient,…) B. Un mandement apparent (structure, arguments, décision, verbes d’ordre et de défense, champ lexical de la religion) C. Un blâme apparent de l’imprimerie (vocabulaire péjoratif, appui sur Dieu, logique apparente et différents domaines des arguments) II. MAIS LA PARODIE D’UN MANDEMENT : UN FAUX ÉDIT A. Les éléments fictifs (Joussouf Chéribi,…) B. L’absurdité comique du raisonnement