Blame Paradoxal

accumulation de savoir = qqch de négatif c) La vanité du savoir accumulé, la bibliothèque selon « L’Ane » DOC 4 : « L’Ane », V. Hugo, 1880 => dimension satirique => // polémique => // épidictique = Il fait le blâme d’envisager le savoir à travers les livres des hommes & le blâme de la bibliothèque Il dénonce la vanité et rejette de la bibliothèque = espace mortifère, « nécropole » = mort du savoir Cette accumulation est vaine car les hommes font tirs le mal = dépravation croissante de

Le narrateur est comme le lecteur et semble donc, au fil de sa lecture, découvrir le personnage principal. Ce procédé nous donne une impression déstabilisante et énigmatique. Nous nous identifions plus au narrateur qu'au personnage. Ce qui est paradoxal. Par ailleurs, nous pouvons aussi observer qu'un effet de distanciation entre le personnage et le lecteur est présent dans cet extrait. C'est inhabituel car dans le genre romanesque, il fallait plutôt multiplier les procédés pour créer une identification

L’essentiel n’est abordé qu’à la fin de sa tirade. -> G joue le rôle du questionneur dans le dialogue. Ce passage permet d’arrimer la scène et d’alléger l’effet produit par les tirades. Ici, Sga mène la scène à sa guise. -> Après l’éloge du tabac, le blâme de DJ. Sga nous fait un portrait satirique, ironique et presque caricaturale de son maître. 2 Absence du personnage principal -> Cette scène d’exposition se distingue par l’importance donnée à Sga: c’est l’une des seuls scènes où le valet est

philosophie * Pour les sophistes, l’objet du discours importe moins que l’effet produit sur l’interlocuteur. La parole est spécieuse dans la bouche des sophistes. Le sophiste cherche à imposer sa loi au réel. * Le discours de Lysias est un éloge paradoxal, il faudrait coucher avec quelqu’un sans avoir de l’amour pour lui. * « Et lorsque l’orateur, ignorant de ce que sont le bien et le mal, trouve une cité qui l’ignore également et entreprend de la persuader, non pas en faisant l’éloge de l’ombre

valeur polémique ou satirique Notes personnelles : Le polémique : Origine : Du grec polemos , la guerre Objectifs : combattre des personnes ou des thèses sur un ton violent, dénoncer ou ridiculiser un adversaire, défendre un point de vue paradoxal (qui va contre l’opinion du plus grand nombre) Les procédés du registre polémique : Enonciation : Forte implication du locuteur, marques de la 1ère personne, apostrophes, dialogue fictif Temps verbaux : présent domine Figures de style : images

convertible négativement et où « telle que » prend la valeur de comparatif intensif : « telle qu’il y en eut jamais en enfer » = « pire que l’enfer ». L’ « harmonie » n’est que cacophonie et désordre de la guerre. Ainsi, l’éloge est ici le support d’un blâme. C’est dans ce cadre argumentatif que prennent sens les inversions ironiques. L’éloge est montré, mis en scène, comme un point de vue dont le narrateur se dissocie. 2. L’arithmétique d’une bataille Le récit de la bataille se développe selon deux

caractéristiques humanistes du texte. I. La domination écrasante du tyran 1) La Boétie compare le tyran à un criminel a A de nombreuses reprises, le roi dont il est question dans le texte est directement comparé à un criminel ce qui est plutôt paradoxal dans la mesure où un roi est censé donner l’exemple à son peuple. Un premier niveau de lecture nous permet de déceler un champ lexical du larcin : D’une part, les verbes « enlever, piller, dévaster, dépouiller »l.2-3 sont employés dans une accumulation

Quelles sont les intentions de l’auteur ? Les effets ressentis par le lecteur ? - Dénoncer l’horreur des conditions de travail des enfants dans les mines. - Susciter la pitié du lecteur envers des enfants fragiles et impuissants. - Faire le blâme du travail forcé.Citations Procédés Interprétations Explications V1 à 3 : « Où vont tous ces enfants […] voit cheminer seules ? Questions rhétoriques, parallélisme, périphrase, expansions du nom Un portrait pathétique des enfants : des individus

écrivit cette chanson pour Joha Heiman, femme qu'il a aimé 30ans, jusqu'à sa mort. Constitué de 6 strophes en octosyllabes & d'un refrain comprenant deux alexandrins, ce poème à la particularité d'être un éloge paradoxal comportant donc 2 degrès de lecture ; le premier est un blâme du mariage, et le second un éloge de l'amour et de l'union libre. A l'époque où Brassens a écrit cette chanson, le mariage est encore considéré comme sacré et nécessaire pour ne pas vivre dans le péché, et c'est en

caractéristiques humanistes du texte. I. La domination écrasante du tyran 1) La Boétie compare le tyran à un criminel a A de nombreuses reprises, le roi dont il est question dans le texte est directement comparé à un criminel ce qui est plutôt paradoxal dans la mesure où un roi est censé donner l’exemple à son peuple. Un premier niveau de lecture nous permet de déceler un champ lexical du larcin : D’une part, les verbes « enlever, piller, dévaster, dépouiller »l.2-3 sont employés dans une accumulation