Blason Sur La Femme

même mode). On remarque en effet de multiples répétitions : -André Breton traverse à cette époque des moments d'incertitudes amoureuses. Dans ce poème, André Breton exprime tout son amour en s’adressant à aucune femme précise, ainsi, nous ne savons pas si c’est celui pour sa femme dont il vient de se divorcer, Simone Khan, ou bien un hymne à sa rencontre avec Jacqueline Lamba… - ce texte surprend par sa très grande liberté, que ce soit au niveau du sens ou de la forme : Breton refuse les

(toi, tes grâces). Dans la tradition du blason, la femme aimée est idéalisée à travers un éloge ambigü de sa beauté corporelle. Le blason se concentre sur des parties du corps (les cheveux, la peau, les mains etc.) pour en détailler les beautés, ce qui participe en fait d’un processus de réification de la femme (objet offert à la contemplation et à la virtuosité stylistique du poète). Or, dans le poème de Labbé, contrairement à ce qui se passe dans le blason, le corps de l’être aimé n’est nullement

n°4 : Baudelaire ''A une passante'' Femme : La femme est anonyme ''elle''. Le physique de la femme est présentée en antithèse avec la rue. L'oxymore au vers 5 avec ''agile'' et ''jambe de statue'' montre la dualité de la femme. Elle est double, en deuil, mais de l'autre côté elle est sensuelle. C'est une beauté figée et artistique à la fois. Et sa ''jambe de statue'' fait penser à une œuvre d'art. Elle concilie l'inconsolable. Cette femme caractérise le blason du regard. Au vers 8, ''fasciner'' s'oppose

Ainsi, le blason « le front » de Maurice Scève, à travers la description poétique du front de la dame, dresse de cette dernière un portrait idéal : son front révèle à la fois sa beauté, son intelligence, sa noblesse, sa distinction et sa vertu. De même, le blason moderne qu’est « la Courbe de tes yeux » du surréaliste Paul Eluard exalte-t-il les yeux de la femme aimée en faisant d’elle une figure rassurante et puissante à la fois, qui offre le monde au poète. La courbe des yeux de cette femme est un

confond avec la poésie car ils sont l’un et l’autre création perpétuelle ». A une époque où le surréalisme et la poésie moderne sont en pleine extension, les poètes libérés de toute contrainte peuvent plus aisément mettre en valeur le thème de la femme. Cependant, depuis de nombreux siècles maintenant, l’amour constitue une source d’inspiration pour les poètes : nous allons étudier la manière dont ils l’expriment dans leur travail. Dans un premier point, nous nous intéresserons aux liens qui unissent

(1552). Finalement, il décéda le 27 décembre 1585 au Prieuré de Saint-Cosme en Touraine. 2/ Quelles sont les strophes, les mètres, les rimes utilisées ? Et recherche : qui est Cassandre dans la mythologie ? /2pts Les strophes utilisées dans ce blason forment un sonnet, ce dernier se prépare dans les onze premiers vers, et se manifeste dans les trois derniers. Il est composé de quatorze vers de même mesure, et les huit premiers sont partagés en deux quatrains et roulent sur deux rimes. Les six

gaie » Etude linéaire : Titre : « A celle qui » est une dédicace ; le mot « trop » est une indiation du blame que fait Baudelaire. Les sentiments trop gais de la femme sont en opposition avec le spleen de l 'auteur. 1e strophe : -On décrit le blason de la femme (son physique) + répétition de « beau » -La femme est associée au paysage (habituel chez Baudelaire) -Le « rire » = la joie + personnification du rire qui « joue » -Synesthésie

à sa muse Gala, son amour de jeunesse et désormais sa femme. Il place le poème « La courbe de tes yeux », l'avant dernier du recueil, sous le signe de la joie d'aimer et du partage amoureux, comme l'ensemble de son œuvre qu'il veut panégyrique de ce qui fait, selon lui, la valeur de la vie : le sentiment d'appartenir à la communauté humaine. Il y dresse le portrait de sa femme, à partir du seul organe de ses yeux. En quoi le regard de la femme aimée est un miroir de la relation avec le poète et un

«  en endurant ». D'autres sensations sont également évoquées, au vers, 3 la sensation tactile, au vers 8 des sensations visuelles. La métaphore contenu dans ce vers assimilant la femme à la nature est l'expression traditionnelle du lyrisme amoureux. Mais ici, les saisons évoquées permettent à la fois de relier cette femme à la souffrance ( «je sèche» ) et à la joie ( « je verdoie » ). Le désordre amoureux est donc aussi perceptible dans ce corps soumis puisque que la poétesse insiste sur le changement

la relation qu’entretient Gala, sa femme dont il est profondément amoureux avec son ami Max Ernst. Le poème que nous allons étudier a pour incipit La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur. Nous justifierons la place particulière qu’Eluard lui accorde dans le recueil, il se situe en effet en avant dernière position ! Pour ce faire nous adopterons un plan en 3 parties, tout d’abord I Le poème de la réconciliation : La fin d’une crise II Un poème en blason : la fin d’un doute III Une parole